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Anomalie #2303
Améliorer le design de l'interface d'adhésion
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Description
Le formulaire d'adhésion nécessite un certain travail d'amélioration. Nous proposons déjà d'abandonner le CGI actuel pour un formulaire PHP se basant sur l'API actuelle de gDTC.
Le formulaire d'adhésion sera découpé en différentes pages pour limiter au maximum le texte affiché et ne conserver que ce qui est pertinent. Au niveau de l'interface, nous proposons de déployer un workflow proche des « wizards » actuellement en vogue dans le e-commerce.
En clair :
- l'adhérent potentiel choisit son type (personne morale, physique, type de personne physique) ;
- il est redirigé vers un formulaire lui demandant les détails appropriés. Nous proposons de supprimer certains champs non nécessaires (date/lieu de naissance, commentaires). Le formulaire est pré-validé en Javascript et ensuite côté serveur ;
- après validation positive, l'utilisateur est redirigé vers une page qui lui propose de renseigner le montant de sa cotisation et de choisir entre paiement unique et paiement échelonné. Éventuellement, une option « je paierai ma cotisation plus tard » pourrait être proposé, mais on pourrait tout à fait décider de ne pas la rendre présente ;
- en fonction du choix, l'utilisateur se voit proposer un choix de modes de paiement avec un minimum de texte, éventuellement une simple phrase expliquant nos préférences ou la valeur ajoutée de chaque type de paiement ;
- puis en fonction du type de paiement choisi, l'utilisateur est redirigé vers un formulaire de paiement ou une page explicative ;
- une fois cette page validée, une page de remerciement s'affiche avec des liens pertinents (facture, espace personnel, partage sur les réseaux sociaux, ...).
History
Updated by Isabella Vanni almost 3 years ago
- Status changed from Résolu to Fermé
Si l'étape "Coordonnées" est validée (en cliquant sur le bouton "Suivant"), une fiche est créée dans gDTC, avec le statut "En cours d'adhésion".
Suite à la validation de l'étape "Mode de paiement" (en cliquant sur "Valider mon adhésion et régler en..."), le statut passe à "En cours de validation".
Quelques minutes après, le statut devient automatiquement "membre".
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EXPOSITION PHOTOS
Le produit final de l'atelier photographie à l'Agrupamento de Escolas de Nisa dans le cadre de la 4ème rencontre au Portugal était une exposition de photographies avec des photographies prises dans la région de Nisa par les élèves des cinq écoles après avoir suivi une courte formation par un photographe professionnel. L'exposition de photographies s'est déroulée dans le hall central du groupe scolaire Agrupamento de Escolas de Nisa et était ouverte aux élèves, aux enseignants et aux parents de l'école portugaise.
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Après avoir présenté les technologies proposées, puis les premiers essais pratiques, nous sommes heureux de vous convier à approfondir un peu plus le sujet : résultats concrets, faisabilité économique et nouveaux développements sont à l’ordre du jour.
Le programme est en annexe et les inscriptions sont ouvertes sur https://svut.ch/phosphorrecycling_aus_abwasser_und_kl_rschlamm
Renseignements complémentaires
TECORBE : email@example.com 024 441 09 52
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La recherche scientifique au parc national Kouchibouguac
Les parcs nationaux du Canada ont comme mandat de préserver et protéger l’intégrité écologique des écosystèmes qu’ils contiennent en plus de les rendre disponibles pour la jouissance et l’éducation de la population canadienne. Que ce soit dans le domaine de la biologie, de l’écologie, de l’environnement, de la géographie ou tout ce qui a trait aux visiteurs, les décisions que prennent les gestionnaires du parc national Kouchibouguac se basent sur la science.
Malgré que notre équipe de conservation des ressources soit très compétente, ses membres ne peuvent être experts dans tous les domaines, d’où l’importance des partenariats. C’est ainsi qu’au fil des années, le parc a su développer des partenariats avec plusieurs universités et collèges canadiens, ainsi qu’au niveau international, afin d’avoir accès à cette expertise dans une variété de domaines spécifiques.
Pour les scientifiques qui collaborent avec Parcs Canada, les parcs nationaux leur servent de véritables laboratoires à ciel ouvert. Les recherches qu’ils effectuent au sein du parc servent, entre autres, à générer de l’information sur les espèces et les écosystèmes. Tous ces projets de recherche offrent aussi des occasions de formation aux étudiants et étudiantes postsecondaires. Depuis 1969, au-delà de 60 thèses de maîtrise et cinq doctorats ont été effectués au parc national Kouchibouguac. Celles-ci ont servi à approfondir nos connaissances et recueillir des données portant sur les oiseaux, les mammifères, les poissons, les invertébrés, les plantes, les espèces en péril, les processus géomorphologiques et les comportements des visiteurs du parc.
La recherche au sein des parcs nationaux génère aussi des opportunités de bénévolat enrichissantes qui servent à supporter les efforts de conservation des ressources. De plus, l’information recueillie par l’entremise de la recherche sur les espèces et les écosystèmes servent ensuite aux interprètes dans leurs efforts de diffusion et d’éducation du public.
Au cours des prochaines pages, nous vous présenterons deux exemples de projets de recherche qui se font présentement au parc, notamment la loutre de rivière et le harle huppé. Celles-ci aident l'équipe de gestion à maintenir l'intégrité écologique du parc dont nous en sommes les gardiens.
Pour plus d’information sur la recherche au parc national Kouchibouguac, ou pour faire du bénévolat scientifique, nous vous invitons à contacter un membre de l’équipe de conservation des ressources au 506-876-2443.
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Le nom de format complet des fichiers qui utilisent l’extension HMY est Hemingway Content Management System Plugin. Altuit, Inc. a défini le format standard Hemingway Content Management System Plugin. Les fichiers avec l'extension HMY peuvent être utilisés par les programmes distribués pour la plate-forme Windows. Le format de fichier HMY, avec 5273 autres formats de fichier, appartient à la catégorie Autres dossiers. Le logiciel recommandé pour la gestion des fichiers HMY est Hemingway. Sur le site officiel de Altuit, Inc. developer, vous trouverez non seulement des informations détaillées sur le logiciel Hemingway, mais également sur HMY et d’autres formats de fichiers pris en charge.
Le tableau ci-dessous répertorie les programmes prenant en charge les fichiers HMY. Les fichiers HMY peuvent être rencontrés sur toutes les plates-formes du système, y compris les appareils mobiles. Cependant, rien ne garantit que chacun d'eux les prendra en charge correctement.
L'impossibilité d'ouvrir les fichiers avec l'extension HMY peut avoir différentes origines. Ce qui est important, tous les problèmes courants liés aux fichiers avec l’extension HMY peuvent être résolus par les utilisateurs eux-mêmes. Le processus est rapide et n'implique pas un expert en informatique. Vous trouverez ci-dessous une liste de consignes qui vous aideront à identifier et à résoudre les problèmes liés aux fichiers.
La cause principale et la plus fréquente empêchant les utilisateurs d'ouvrir les fichiers HMY est qu'aucun programme capable de gérer les fichiers HMY n'est installé sur le système de l'utilisateur. La solution à ce problème est très simple. Téléchargez Hemingway et installez-le sur votre appareil. La liste complète des programmes regroupés par système d’exploitation se trouve ci-dessus. L'une des méthodes de téléchargement de logiciel les plus sans risque consiste à utiliser des liens fournis par des distributeurs officiels. Visitez le site Web Hemingway et téléchargez le programme d'installation.
Si Hemingway est déjà installé sur vos systèmes et que les fichiers HMY ne sont toujours pas ouverts correctement, vérifiez si vous disposez de la version la plus récente du logiciel. Parfois, les développeurs de logiciels introduisent de nouveaux formats qui prennent déjà en charge les nouvelles versions de leurs applications. La raison pour laquelle Hemingway ne peut pas gérer les fichiers avec HMY peut être que le logiciel est obsolète. Tous les formats de fichiers gérés correctement par les versions précédentes d'un programme donné devraient également pouvoir être ouverts avec Hemingway.
Si la dernière version de Hemingway est installée et que le problème persiste, sélectionnez-le comme programme par défaut à utiliser pour gérer HMY sur votre appareil. Le processus d’association des formats de fichier à une application par défaut peut différer selon les plates-formes, mais la procédure de base est très similaire.
La procédure pour changer le programme par défaut dans Windows
La procédure pour changer le programme par défaut dans Mac OS
Si le problème persiste après les étapes 1 à 3, vérifiez si le fichier HMY est valide. Des problèmes d’ouverture du fichier peuvent survenir pour diverses raisons.
Si le fichier est infecté, le logiciel malveillant qui réside dans le fichier HMY empêche toute tentative de l'ouvrir. Analysez immédiatement le fichier à l’aide d’un antivirus ou de l’ensemble du système pour vous assurer que tout le système est sécurisé. Le fichier HMY est infecté par un logiciel malveillant? Suivez les étapes suggérées par votre logiciel antivirus.
Si le fichier HMY vous a été envoyé par quelqu'un d'autre, demandez à cette personne de vous renvoyer le fichier. Pendant le processus de copie du fichier, des erreurs peuvent survenir rendant le fichier incomplet ou corrompu. Cela pourrait être la source de problèmes rencontrés avec le fichier. Il se peut que le processus de téléchargement du fichier avec l'extension HMY ait été interrompu et que les données du fichier soient défectueuses. Téléchargez à nouveau le fichier à partir de la même source.
Parfois, pour accéder aux fichiers, l'utilisateur doit avoir des privilèges d'administrateur. Basculez vers un compte disposant des privilèges requis et essayez de rouvrir le fichier Hemingway Content Management System Plugin.
Si le système ne dispose pas de ressources suffisantes pour ouvrir les fichiers HMY, essayez de fermer toutes les applications en cours d'exécution, puis de nouveau.
Un système à jour et les pilotes pas seulement pour rendre votre ordinateur plus sécurisé, mais peuvent également résoudre les problèmes avec le fichier Hemingway Content Management System Plugin. Des pilotes ou des logiciels obsolètes peuvent avoir entraîné l'impossibilité d'utiliser un périphérique nécessaire pour gérer les fichiers HMY.
Si vous disposez des renseignements complémentaires concernant le fichier HMY nous serons reconnaissants de votre partage de ce savoir avec les utilisateurs de notre service. Utilisez le formulaire qui se trouve ici et envoyez-nous les renseignements sur le fichier HMY.
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Source :
Les Dogons est la dénomination d'un peuple vivant sur le plateau desséché de Bandiagara au Mali et qui font état dans leur tradition, d'une cosmogonie si fantastique qu'elle semble tout droit sortir d'un roman de science-fiction.
Le peuple Dogon affirme descendre des habitants d'une planète orbitant autour de Sirius..Ils pensent que Sirius possède un compagnon plus petit et surtout plus lourd qu'ils nomment PO.
Ce sont deux ethnologues français , Marcel GRIAULE et Germaine DIETERLEN qui après avoir été initiés par un prêtre Dogon en 1946, publieront après 4 ans d'enquêtes en 1951 une étude dans le journal de la " Société des Africanistes" sous le titre: " Un système soudanais de Sirius", suivi d'un ouvrage intitulé "Le renard pâle" sous-titré " le mythe cosmologique , travaux et mémoire de l'Institut d'Ethnologie à Paris" où ils ont fait le récit de ce que leur a dévoilé, ce prêtre sur la vision des Dogons de l'Univers et ce qu'ils ont raconté alors, était tellement extraordinaire, que personne ne voulut les croire. La connaissance astronomique des Dogons leur avait été importée des étoiles proches de SIRIUS A par un être qui allait devenir leur maître, et qu'ils nommèrent Nommo, selon leurs paroles.
Parmi cet apport de connaissances, il était question de SIRIUS B et d'un diagramme gravé et retranscrit par les Dogons, il y a des générations.
Pendant de nombreuses années, ce diagramme est resté incompréhensible, jusqu'à ce que l'on découvre avec nos nouvelles techniques d'observations que Sirius A avait une jumelle qui gravitait autour d'elle! La ressemblance entre les deux prolongations linéaires (Dogons et moderne) était frappante!
Les Dogons prétendent, en premier lieu, connaître depuis longtemps deux étoiles compagnes de Sirius qui est l'étoile la plus brillante du ciel et que l'on peut voir, en début de Février presque au dessus de notre tête, en Guadeloupe vers 20 heures. Mais à l'œil nu, on ne peut apercevoir qu'une seule étoile et ce n'est qu'en 1862 que, l'astronome américain Alvan CLARKE découvrit, grâce à un télescope puissant, la deuxième étoile qui fut nommée alors: Sirius B . Cependant les Dogons eux affirment qu'il existe une troisième étoile, que nous pourrions nommer Sirius C, et ils nous disent surtout que leurs ancêtres seraient justement venus, il y a des millénaires, d'une planète en orbite autour de cette troisième étoile que nous ne connaissons pas encore.
Ils affirment que Sirius possède d'abord un compagnon plus petit et surtout plus lourd qu'ils nomment PO Tolo ou Po-Digitaria du nom d'une graine de céréale, africaine très petite et très lourde qu'ils utilisent régulièrement.
Mais surtout les Dogons savent que Sirus B (Po-tolo) boucle son orbite elliptique autour de Sirius A en 50 ans et c'est pour cela que ces Dogons célèbrent tous les cinquante ans, la " fête de Sigui " dont les cérémonies visent à régénérer le Monde, mais aussi pour que les récoltes des Dogons soient bonnes.
C'est d'abord l'allemand Bessel qui fut le premier, en 1844, à soupçonner l'existence de cette 2ème étoile, pour expliquer les oscillations insolites du mouvement apparent de Sirius A, alors que l'orbite théorique de cette étoile Sirius B, on le sait, invisible à l'œil nu, fut calculé par Peter en 1851 et sa période de révolution fut précisé de 50090 ans par Van Den Bas en 1960. Les Dogons le savaient déjà! Mais comment ont-ils su que la période de révolution était justement de 50 ans.
Sirius B est ce que l'on appelle une "naine blanche". Elle est plus vieille que Sirius A, mais ne mesure que 30000 Km environ de diamètre, 2 fois et demi celui de la Terre et sa densité est de 50000 alors que sa masse atteint 90% de celle de notre Soleil. Mais que dire de cette troisième étoile Sirus C que les Dogons affirment connaître? Ils la nomme " Emma Ya " ou "Sorgo" ou encore " L'étoile des femmes " (chez les Egyptiens Sirius représente NEITH-ISIS) et ils disent que cette étoile a une période de révolution de 32 ans autour de SIRIUS A, sur une orbite elliptique très excentrique et qui est, (et cela est plutôt remarquable comme prècision), perpendiculaire à celle de SIRIUS B.
Les Dogons, qui ont dessinés ces orbites sur leur objets précieux sans doute pour mieux les visualiser, affirment surtout que Emma ya, possède plusieurs planètes en orbite autour d'elle et que c'est de l'une de ces planètes, que seraient venus leurs ancêtres, il y a très longtemps à bord du NOMMO vaisseau inter-stellaire dont la forme et le comportement ressemble beaucoup à ceux de la fusée lunaire Apollo.
En 1991 dans la revue "Astronomy & Astrophisics" , les astronomes, Jean Marc Bonnet-Bidaud et Cécile Gry nous disent qu'ils en soupsonnent l'existence par suite de la constatation d'un changement de couleur du système, à travers les ages, et pensent que cet hypothétique troisième compagnon de Sirius pourrait bien avoir une orbite très aplatie comme une comète et après analyse grâce à un coronographe occultant la lumière aveuglante de SIRIUS A, ils ont sélectionné deux d'entre ces corps voyageurs sans arriver encore à déterminer lequel de ces astres montre le même mouvement propre que SIRIUS.
Cependant dès les années 1920 une demi-douzaine d'astronomes rapportèrent l'observation d'une 3ème étoile très faible susceptible d'appartenir au système, mais aucune confirmation n'a pu émerger jusqu'alors. Les Pétroformes sont des arrangements de pierres selon une mystérieuse mais précise disposition. Ils pourraient être comparés à des cercles de pierres " celtiques ", ou tout autre arrangement de matériaux premiers laissés par les civilisations passées.
D'un peu plus loin on pourrait peut-être esquisser une similitude entre les fameux "Crop Circles" et les Pétroformes.
Certains ont été retrouvés en Afrique de l'ouest, la terre des Dogons, mais également ailleurs dans le monde. Rien ne relie toutefois les pétroformes directement aux Dogons, mais en comparant l'image d'un pétroforme avec l'orbite particulier des étoiles SIRIUS et SIRIUS B, ont constate une étrange similitude.
Les derniers travaux menés par les astronomes jean-Louis Duvent et Daniel Benest de l'observatoire de Nice qui utilisèrent des simulations numériques d'ordinateurs, semblent renforcer l'hypothèse de l'existence du 3ème corps d'une masse très faible, de 0,5 fois au plus la masse solaire et de magnètude apparente de 5 à 10 fois plus faible que Sirius A.
D'ailleurs les Dogons ont également d'autres connaissances astronomiques toutes aussi étonnantes de la part d'une tribu arriérée qui vit au centre d'Afrique et pratiquement sans contact extérieur. Ils connaissent les différentes phases de Vénus, qui sont à peu près analogues à celles de la Lune et ils ont donné 6 noms différents aux divers aspects que présente, d'après eux, cette planète comme s'ils avaient su comment faire pour l'observer de l'extérieur.
D'autre part, ils divisent le Ciel en 22 parties égales et en 266 constellations et ils disent aussi que Venus possède un compagnon, qui pourrait être sans doute l'astéroïde Toro, récemment découvert entre la Terre et Vénus. Ils connaissent aussi les 4 plus gros satellites de Saturne pourtant invisibles à l'œil nu, mais ils ignorent cependant les planètes au delà de Saturne donc Uranus, Neptune et Pluton alors qu'ils connaissent les compagnons stellaires de SIRIUS. Il est donc évident que ces Dogons n'ont pas pu , par eux même, acquérir leurs connaissances et ils ne peuvent en avoir eu la révélation, que par des initiateurs cosmiques.
Les Dogons prétendent aussi que tout l'Univers tourne en spirale conique et qu'il a été créé à partir d'un noyau central par la voix d'AMMA leur dieu suprême et cela ressemble assez à ce qui est dit dans la Bible tel qu' "Au commencement était le Verbe de YaHWeH ". Pour eux l'Univers est infini, mais cependant mesurable, ce qui rejoint les théories d'Einstein et de plus, ils croient que les mondes infinis s'éloignent de nous à des vitesses très grandes dans un mouvement spiralé donc par une combinaison de translations et de rotations, combinaison qui se retrouve aussi bien disent-ils dans les structures élémentaires infiniment petites que dans celles infiniment grandes et nous voyons là qu'ils anticipent ainsi sur les conclusions les plus modernes concernant l'expansion et la structure de notre Univers.
La tradition des Dogons, que nous raconte le prêtre OGOTEMMELI, dit aussi que leurs ancêtres étaient des amphibiens et c'est pour cela qu' ils célèbrent l'anniversaire de leur arrivée sur Terre sous le nom de "jour du Poisson" et cela fait encore penser à la tradition Sumérienne qui nous parle d' OANNES l'homme poisson qui apparut à plusieurs reprises sur les plages du Golfe Persique pour civiliser et éduquer les hommes.
Le NOMMO était rouge comme le feu (une étoile rouge) quand il atterri au Nord-est du pays, dans un tourbillon de poussière, puis il fut traîné dans une dépression remplie d'eau et il put ainsi flotter. Puis les astronautes amphibiens sortirent de la capsule. D'ailleurs l'eau joue un grand rôle chez les Dogons qui considèrent que l'eau douce est de nature masculine et l'eau de mer de nature féminine que cette eau est la force vitale de la terre, force qui se trouve même à l'intérieur de la pierre car l' humidité est partout.
NOMMO, qui désigne aussi le Commandant du vaisseau, est descendu sur la terre, porteur de fibres végétales tirées des plantes qui poussaient déjà dans les "champs du Ciel" et après avoir créé la Terre, les plantes et les animaux, il créa le premier couple humain, qui engendra par la suite, les huit grands ancêtres de l'Humanité. Sa tâche terminée, NOMMO regagna le Ciel.
Ceci se rapproche, on le voit , de beaucoup d'histoires connues, et on découvre bien ici, que les Dogons savent qu'il existe des Terres cultivées ailleurs, dans le ciel, alors qu'il n'y a pas bien longtemps en 1772 certains savants dont le grand chimiste Lavoisier, pensaient que les météorites ne pouvaient tomber du ciel car d'après eux, "il n'y avait pas de pierres dans le ciel".
Mais ce sont les révélations sur l'eau, que nous raconte ce prêtre Dogon, qui sont encore plus surprenantes, quand on sait que la science actuelle n'a que récemment découvert la possibilité d'obtenir de l'eau à partir de la roche du sol, en voulant optimiser les possibilités de survie des hommes qui pourraient séjourner sur la Lune pour de longues périodes et cela extrayant de ces pierres lunaires, à l'aide de procédés très pointus et onéreux. Les Dogons peuvent réparer les ordinateurs avec les ondes de SIRIUS ?
Les connaissances cosmiques, extraordinaires, des Dogons, nous interpellent, dès maintenant, et on se demandera longtemps encore, comment ils ont pu connaître tout cela, sans microscope ni télescope, et sans appliquer les mathématiques supérieures qui nous ont été nécessaires pour progresser. Et on peut, si tout cela est vrai, alors émettre l'hypothèse que le passé de notre planète serait bien plus fabuleux et révélateur que celui que l'on nous a jusqu'alors, si modestement présenté.
Les Dogons ne savent pas ce qu'ils ont ! Il est impossible d'observer Sirius B à l'oeil nu, Sirius B est totalement invisible. Ce peuple a certainement récupéré des documents qui'ls ne peuvent pas comprendre. C'est le VESICA PISCIS , un symbole de la précession des équinoxes. La mythologie des Dogons est injectée de certaine connaissances de la mythologie des Egyptiens que l'on retrouve dans toute l'Europe, en Orient et en Asie.
La carte des étoiles des Dogons indique le NORD et le SUD, on pourrait y voir la croix du Sud mais cette constellation est récente et elle n'existe pas en Egypte, c'est une création récente avec une fusion de plusieurs signes et des manipulations du ciel. Les Dogons ne peuvent donc pas connaitre laCROIX DU SUD ! C'est aussi le cas avec la CROIX DU NORD inventée par l'Empereur Constantin.
Cette carte des étoiles a été dessiné par les Dogon et montre la Croix du Nord comme l'étoile polaire traversant le plan glactique de la Voie Lactée en se connectant avec la Croix du Sud (Crux). L'ethnologue français Marcel Griaule a identifié la Croix du Nord avec Polaris, qui est l'étoile polaire d'aujourd'hui, mais absolument pas dans l'antiquité, il y a 5000 ans l'étoile polaire est dans le Dragon qui était au centre du ZODIAQUE.
C'est peut-être la constellation du Cygne que les Dogons représente avec la constellation de la Croix du Nord, car CYGNUS est aussi en forme de croix. Mais CYGNUS n'existe pas dans l'antiquité, c'est la constellation de la LYRE et son étoile VEGA que l'on a allongé pour inventer la CROIX. Outre l'étoile polaire du Nord ayant la forme d'une croix, les Dogons parlé de quelque chose comme la " mue ". L'étoile du POLE NORD a été identifié avec " la maîtresse du discours " et elle est symbolisés par une autruche.
Sur la carte des Dogons, Vénus serait en haut à gauche, et la lune et le soleil sont à la droite de la Voie Lactée sur le plan galactique. Depuis que certains pensent que les Dogons identifient le signe de la Croix du Nord avec l'étoile polaire, il faudrait prendre alors le ciel en replaçant les constellation selon le cycle de la précession des équinoxes et la période où le peuple Dogon commence la création de ce dessin, et si l'étoile polaire était la Croix du Nord (Cygnus). Une position similaire de ce ciel remonterait à plus de 60 000 années, ce qui semble impossible. Il faudrait donc reprendre à zéro les cartes des Dogons et leurs constellations, c'est toute la structure de la légende des Dogons qui ne tient pas la route astronomiquement !
Dans " Le renard pâle ", par Marcel Griaule et Germaine Diéterlen, les ethnologues qui ont étudié de très près les traditions des Dogons indiquent pourtant que les Dogons connaissaient depuis toujours la densité exceptionnelle de SIRIUS B. Mais que devient SIRUS C ? Mystère ! La place primitive de l’astre dans l’espace est celle où se trouve actuellement le soleil, qui est dite « assise de PÔTOLO qui serait SIRIUS B dont les Dogons connaissaient depuis toujours la densité exceptionnelle.
Comme les autres étoiles, elle s’est éloignée de la terre, dont seul le soleil est resté proche, selon les auteurs. Ce n'est pas astronomiquement cela, SIRIUS indiquait le soleil levant en Egypte, ce qui n'est plus le cas. SIRIUS s'est donc éloignée du Soleil levant, et non pas de la Terre. Les Dogons auraient donc acquis leurs connaissances d’explorateurs ou de missionnaires savants de la région, les cultes de SIRIUSet si PÔTOLO est SIRIUS ne peuvent en aucun cas avoir été acquises auprès d’occidentaux.
La légende raconte la formation du soleil à partir du placenta d’un renard des sables et celle de SIRIUS à partir du placenta et du sang coulant de l’éviration d’un poisson (silure). Ce poisson ressuscitera sous forme humaine et descendra sur Terre sur une arche, avec les ancêtres des hommes créés avec la matière de son placenta.
Ce sont les constellations de l'Egypte, que l'on retrouve sur le Zodiaque de Denderah, les POISSONS des Dogons dont le nom est proche du Dieu poissons babylonien DAGON sont certainement la constellation des POISSONS ou un autre POISSON du ciel (Poisson austral, Baleine, Dauphin, etc..) de l'époque, avecSIRIUS indiquant le soleil levant de l'EST.
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Is Achilles tendon blood flow related to foot pronation?
E. Wezenbeek | T. M. Willems1 | N. Mahieu | I. Van Caekenberghe | E. Witvrouw | D. De Clercq (2017)
Introduction au sujet de la tendinopathie d’Achille :
Le tendon d’Achille est le tendon le plus épais et le plus fort du corps humain. Néanmoins, 5% à 34% des coureurs développent des tendinopathies d’Achille ou des douleurs sur ce dernier (2-4). La tendinopathie Achilléenne (TA) représente donc l’une des blessures les plus répandues chez les coureurs à pied. De nombreuses études se sont alors intéressées aux facteurs à risque concernant les TA. La pronation du pied serait ainsi fortement associée à cette blessure (6-10).
Ainsi, la pronation lors de la course à pied produirait une torsion du tendon. De plus, des études récentes ont montré que les personnes atteintes de TA montraient en moyenne plus de pronation sur la phase d’appui face à des populations contrôles (7-10). La torsion créée par la pronation provoquerait ensuite une vasoconstriction du tendon (diminution de taille des vaisseaux sanguins) (16). Ainsi, les auteurs de l’étude ont émis comme hypothèse que les sujets ayant un excès de pronation lors de la course à pied auraient un flux sanguin moins important dans le tendon d’Achille face aux sujets sans ou avec moins de pronation.
Matériels et méthode :
Cette étude a été réalisée en Belgique. 25 coureurs sains (sans blessures) ont été introduits pour cette étude. Tout d’abord les sujets ont bénéficié d’un temps de repos de 10 minutes, allongés sur une table d’examen. Ensuite, près ce repos, le flux sanguin a été mesuré une première fois. À la suite, une analyse de course biomécanique (2D) pieds nus a été réalisée. À l’issue de ces 10 minutes, une nouvelle mesure du flux sanguin est exécutée dans la même position. Puis une nouvelle analyse de course, cette fois chaussée (chaussures universelles), est réalisée. À la fin de la deuxième analyse de course une nouvelle mesure est alors effectuée.
Les mesures de flux sanguins ont été réalisées 4cm au-dessus du calcanéum (talon), au centre du tendon d’Achille, à l’aide d’un système non-invasif O2C (oxygen-to-see). Ce système a par ailleurs été reconnu comme reproductible et fiable (17-19).
Résultats/Discussion sur la tendinopathie d’Achille:
Les résultats de cette étude ont alors montré un effet significatif de l’amplitude de pronation sur le flux sanguin du tendon d’Achille lors de la course. En effet, plus la pronation serait élevée, moins le flux sanguin serait important. Autrement dit, la pronation réduirait le flux sanguin dans le tendon d’Achille lors de la course à pied. Ainsi, cette étude confirme l’effet de torsion du tendon créée par la pronation, provoquant la constriction sanguine du tendon.
Par ailleurs, seuls deux autres études se sont intéressées à la pronation (dynamique) lors de la course et aux TA. Ces 2 études ont trouvé des résultats similaires, montrant plus de pronation chez les sujets blessés (10,7,8). Ainsi, les auteurs encouragent à prendre en considération la pronation et à réduire ce mouvement du pied (en cas d’excès), tant en prévention qu’en stratégie de traitement des TA.
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Paru le 03/01/2013
traduit de l'islandais par Eric Boury
Mme Nathalène Goossens (Librairie Atout-Livre)
C'est un gamin qui est le phare de la trilogie de Jón Kalman Stefánsson, un gamin confronté très tôt à la solitude, à l'âpreté de la nature islandaise, aux bourrasques des tempêtes qui balaient la Lande, au péril de la pêche en haute mer qui endort à jamais les marins. Au cœur de ce paysage dont la beauté vertigineuse révèle aussi le caractère impitoyable, le gamin découvre la naissance du désir et de l'amour, le compagnonnage fidèle d'amitiés silencieuses et le pouvoir salvateur et pourtant douloureux de la poésie.
Stefánsson est un conteur de haute volée. Entre ciel et terre, La tristesse des anges et Le cœur de l'homme nous transpercent l'âme, pour longtemps.
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Le désir est, à son plus littéral, « le sentiment qui accompagne un état non satisfaite. » Le désir peut conduire à de nouvelles et meilleures choses; il peut aussi nous causer des ennuis. Depuis Aristote, les philosophes et les théoriciens ont considéré désir l’impulsion pour à peu près tout; le désir est possible.
Qu’est-ce que le désir?
En règle générale, nous avons tendance à penser du désir comme une émotion - qui est, découlant de notre état mental, semblable à l’affection ou la colère ou la douleur ou la surprise ou l’extase. Mais ce n’est probablement pas le cas. De nombreux scientifiques et psychologues croient maintenant que le désir est, en fait, une envie corporelle, plus analogue à la faim ou le besoin d’oxygène du sang. Pour toute personne qui a été exaspérante amoureux, conduit au bord du désespoir par un désir inextinguible pour une autre, cela ne semble pas probablement jusqu’à présent tirée par les cheveux. Selon le psychologue clinique Dr Rob Dobrenski (denizen de shrinktalk.net), « à bien des égards, nous ne pouvons pas contrôler ce que nous désirons parce qu’il est une réponse émotionnelle et physiologique dur câblé. »
Le Dr Dobrenski parle spécifiquement sur le désir sexuel. Pas de surprise: le désir et la sexualité sont pratiquement inextricable. Le mot « désir » amène sans doute à l’esprit des romans d’amour, tawny activités pour adultes seulement, et un désir de connexion sexuelle. Le désir sexuel peut en fait être le seul type de désir; la théorie psychanalytique considère que toutes les autres formes de désir et l’énergie créatrice sont le résultat de l’énergie sexuelle rerouté - souvent appelée « la libido » - vers d’autres activités. L’envie corporelle du désir est seulement de nature sexuelle; tout le reste est un état émotionnel développé à partir de ce désir primaire.
Que vous ou ne pas acheter cela, il est clair que le désir sexuel est l’un des - sinon le - la plus forte des besoins humains. En règle générale, il faut une grande partie de notre temps, d’énergie émotionnelle, et la vie. Pourquoi? Ce qui conduit le train de marchandises souvent imparable du désir sexuel?
Formation du désir
Selon sexologues Mlle Jaiya et Ellen Heed, « le désir est le rassemblement des repères visuels, biochimiques, émotionnels et biomécaniques qui déclenchent une cascade hormonale qui peut aboutir à la réussite de la fécondation d’un ovule par un spermatozoïde. » Une explication assez clinique, mais largement tenu tout au long de la profession et des domaines connexes d’études. Travail clé de voûte de David Buss L’évolution du désir: stratégies de Mating humaine est peut - être le manuel sur le sujet. Buss fait valoir que, en substance, l’ instinct règle notre désir; les préférences que nous avons dans nos vies sexuelles sont, plus ou moins, simplement une expression de notre recherche d’ un avantage évolutif.
Dans le livre, Buss affirme un certain nombre de principes de la sagesse populaire en ce qui concerne la préférence sexuelle par un appel d’évolution:
- De bons regards sont plus importants pour les hommes qu’ils ne le sont aux femmes parce que bonne mine signal de bonne santé et donc une plus grande capacité à se reproduire.
- Les femmes trouvent sociale debout essentiel dans un second parce que les signaux d’ une capacité de soins et de protéger leurs futurs enfants.
- Les femmes préfèrent les hommes plus âgés parce qu’ils sont plus susceptibles d’avoir les ressources nécessaires pour subvenir à leurs besoins et à leurs enfants.
Buss prétend que ces et quelques autres instincts de base conduisent le désir et sont les mêmes dans toutes les cultures et les sociétés. Quand il revient à lui, pour Buss et bien d’autres, il est tout au sujet de la nécessité de se reproduire.
De toute évidence, l’explication de Buss simplifie grandement la complexité de la sexualité humaine. Certains pourraient faire valoir qu’il simplifie au point de délit. Lorsque, par exemple, les hommes qui préfèrent les hommes comme partenaires sexuels entrent dans cette explication? Ou les femmes qui préfèrent les femmes? Et pourquoi les gens qui sont physiquement incapables de se reproduire encore sentir le désir sexuel? Néanmoins, l’argument est convaincant.
Dr Dobrenski est d’accord: « Le désir est en effet basé sur un besoin d’évolution, » at-il dit. « Nous avons une très forte, le désir parfois inconscient de perpétuer notre espèce. » Dobrenski souligne une distinction importante: l’humanité est Perpétuant inconscient. L’expression du désir sexuel - nos sentiments conscients et nos performances de la sexualité - est beaucoup plus complexe que d’essayer d’avoir des bébés.
L’expression du désir sexuel est très probablement ses racines dans l’enfance. En tant qu’expert de gestion du stress souligne Debbie Mandel sur « Les enfants observent leurs parents et absorbent des leçons sur la sexualité des parents et le désir. » Bien qu’au premier abord on n’a pas la capacité ou l’occasion de les exprimer, ces premières impressions du désir ne sont pas perdus sur nous. Quand nous entrons dans la puberté, nous commençons à sentir le désir d’évolution vers la reproduction. Immédiatement, ce désir commence à s’exprimer comme la sexualité appris que nous avons depuis l’enfance profiter. Comme nous vieillissons, il change comme il est façonné par les indices sociaux de nos pairs et par des représentations des médias de masse. Il peut prendre un nombre quelconque de formes; bien que le désir peut être simple, la sexualité est multiple et variée. La sexualité est l’expression du désir, et l’aspect du désir que nous pouvons accéder, manipuler,
Le parfum d’activité
Le désir sexuel est lui-même un lecteur logé profondément dans l’intestin, travaillant à notre insu et au-delà de notre contrôle. Jaiya et Heed croient que nous sommes attirés les uns aux autres à un niveau subconscient, à la suite d’indices biomécaniques, y compris la posture et les phéromones qu’ils dégagent - leur « parfum » sexuelle - qui nous amènent à choisir les compagnons que nous faisons. fabricants de parfums et ad-hommes ont accroché à cette théorie des phéromones, des parfums de marketing qui soi-disant « vous aider à attirer l’attention sexuelle instantanément du sexe opposé! » Mais qu’est-ce qu’ils vendent réellement?
Les phéromones sont des signaux chimiques envoyés par un membre d’une espèce afin de déclencher une réponse naturelle à un autre membre de la même espèce. Il a été bien observé que les phéromones sont utilisés par les animaux, en particulier les insectes, de communiquer les uns avec les autres sur les niveaux sublinguale. En 1971, le Dr Martha McClintlock a publié une étude maintenant bien connue montrant que le cycle menstruel des femmes qui vivent ensemble dans des quartiers proches ont tendance à se synchroniser au fil du temps. McClintlock et d’autres croient que cet effet est causé par la communication de la phéromone femelle humaine et que ce n’est qu’un exemple d’un type de communication sexuelle qui est produit constamment entre les humains au niveau sublinguale.
Jaiya et Heed, en interprétant quelques décennies de recherches menées par le Dr R. Douglas neuroscientifique Fields, croient que les phéromones « parler aux centres sexuels du cerveau et peut déclencher une libération d’hormones sexuelles spécifiques, » la testostérone et l’oestrogène. Les effets des phéromones sont plus clairs dans les cas où, par exemple « les couples qui, pour toutes les raisons devraient se désintéresser de l’autre coup ne peut pas rester en dehors de l’autre de présence après un« de près et personnelle rencontre » - collègues sur un voyage d’affaires, par exemple.
Ces dernières années, les scientifiques ont commencé à soupçonner qu’un nerf crânien peu connu peut être la clé pour le fonctionnement mystérieux de phéromones. Tout d’abord découvert chez l’homme en 1913, le « zéro nerf crânien » ou « nerf terminale » va de la cavité nasale au cerveau, se terminant par ce que le Dr Fields appelle « les régions du sexe chaud bouton du cerveau. » Pendant des années, les scientifiques ont cru que le nerf zéro faisait partie du nerf olfactif, aidant notre cerveau interprète les odeurs. Mais en 2007, le Dr Fields a découvert que si le cerveau d’une baleine pilote avait absolument aucun nerf olfactif, il a eu le nerf zéro. Quelle différence cela fait un cerveau baleine? Les baleines ont évolué depuis longtemps à perdre la capacité de sentir, leur nez devenant soufflures. Et pourtant, bien que les baleines ne sont plus du matériel de neurones pour l’odorat, ils ont encore nerf zéro, reliant le trou d’air de la baleine à son cerveau. Dr Fields a fait d’autres expériences, découvrir que la stimulation a déclenché des réponses sexuelles automatiques chez les animaux nerveux zéro.
Dr Fields, ainsi que beaucoup d’autres, croient maintenant que nerf crânien zéro peut être responsable de la traduction des signaux de phéromones sexuelles et d’initier des comportements de reproduction. En d’autres termes, nerf crânien zéro peut être la bio-machines pour le désir.
Un cocktail Potent
Phéromones peuvent agir comme une sorte de feu rouge pour le désir sexuel. Ils nous savons que nous sommes bons pour aller, mais ils ont certainement ne travaillent pas seuls. Peu importe ce qui l’a transformé, quelque chose est encore faut que ce soit conduire la voiture. Il se révèle être un mélange enivrant d’hormones et neurochimiques de tir dans le cerveau.
Cette « région de sexe chaud bouton » mentionné par le Dr Fields est le noyau septal, qui, entre autres choses, contrôle la libération des deux hormones sexuelles primaires dans le corps: la testostérone et l’oestrogène. Les deux hormones sont essentielles dans le processus du désir. Les scientifiques savent, parce que les hommes vieillissent, ils ont tendance à perdre la testostérone et, par conséquent, de développer des problèmes d’érection et la libido. Les femmes perdent aussi la testostérone à mesure qu’ils vieillissent. Cependant, en raison des mauvais résultats des tests portant sur l’administration de testostérone chez les femmes avec une perte de désir sexuel, les scientifiques croient maintenant qu’une combinaison de testostérone et l’oestrogène est l’ultime « hormone de l’amour. »
Œstrogène et la testostérone, à son tour, stimulent neurochimiques dans le cerveau - en particulier, la dopamine, la sérotonine, norapenephine et de l’ocytocine. Dr Craig Malkin, un psychologue clinicien qui écrit actuellement un livre sur la façon dont nous contrôlons le désir, a noté que la puissance de ce cocktail neurochimique peut être puissant. « La combinaison de neurochimiques déclenche des sentiments vertigineuses d’excitation, l’euphorie et la passion », at-il dit. « Certaines études d’imagerie cérébrale montrent une similitude entre l’activité neuronale chez des sujets souffrant d’un trouble obsessionnel-compulsif et ceux qui tombent amoureux. » L’amour - ou tout au moins le désir - littéralement vous rend fou. Comment? Quels sont ces produits chimiques en train de faire?
- Dopamine - Dopamine a surtout été étudiée dans le contexte de la toxicomanie. Pour l’ essentiel, il est le neurotransmetteur qui fait des stimuli externes éveiller. Dopamine vous entraîne à associer le sentiment d’être repu et pleasured avec certaines choses. Dans le cas du désir sexuel, la dopamine est libérée dans le cerveau chaque fois que vous rencontrez quelque chose auquel ou quelqu’un à qui vous êtes attiré.
- Serotonin - Serotonin est semblable à la dopamine; il est un neurotransmetteur qui enseigne votre corps un cycle de désir et de satisfaction.
- Norapenephrine - Habituellement, ce neurotransmetteur est stimulée quand nous avons besoin d’ énergie supplémentaire pour échapper à une situation dangereuse ou effrayante. Mais il a aussi tendance à augmenter pendant la masturbation et le sexe, avec un pic à l’ orgasme, puis la baisse.
- Ocytocine ocytocine a été appelé « hormone câlins. » On croit jouer un rôle essentiel dans la liaison parent-enfant et dans la formation des partenaires. Une étude réalisée en 1992 par l’Institut national de la santé mentale du campagnol des prairies - un animal connu pour être fermement monogame - a montré que lors de la formation d’ une liaison avec un compagnon, le cerveau du campagnol libère une ruée vers l’ ocytocine. Plus révélateur encore, lorsque l’ ocytocine est bloqué, le campagnol ne peut pas établir une connexion à tous. Ocytocine ne provoque pas l’ excitation, mais il peut faire partie de l’effort global qui est le désir. Selon le Dr Malkin, il « se détend garde et approfondit la confiance. »
Diverses études au cours des années ont montré que toutes ces substances neurochimiques et plus (y compris l’adrénaline, polypeptide alpha mélanocytes, phényléthylamine et gonadotrophines), sont d’une manière ou d’une autre impliqué dans le désir sexuel. Mais quand il revient à lui, il est à peu près impossible d’isoler tout un mécanisme. Il est utile de faire un petit pas en arrière pour voir pourquoi.
Mystères du désir
Lorsque la technologie à regarder l’activité cérébrale pendant la stimulation sexuelle est devenu disponible, les scientifiques s’y attendaient pour montrer un chemin assez simple de reconnaissance visuelle à l’intérêt émotionnel / sexuel. Et pourtant, les études d’imagerie cérébrale effectuées par Stephanie Ortigue et Francesco Bianchi-Demicheli en 2007 a montré que le désir sexuel crée un réseau incroyablement complexe et non linéaire de l’activité cérébrale, y compris l’éclairage des régions dans le cerveau généralement consacré à des fonctions « supérieures », tels que d’autres la conscience de soi et la compréhension, avant d’allumer les sections de réponse physique plus simples. Tout se passe très vite et souvent sous le radar de la conscience. Dans de nombreux cas, les gens ne semblent même pas savoir ce qui les allume.
Tenter une explication scientifique du désir est une sombre affaire: Ortigue et l’étude de Bianci-Demicheli ont révélé une plus grande complexité. L’interaction des neurochimiques impliqués dans le désir est dense et alambiquée. Et la mécanique de ce qui peut se révéler être l’élément le plus essentiel du désir - phermones et nerf crânien zéro - reste peu claire. Tout de cette confusion aide à expliquer pourquoi les méthodes de traitement pour la perte de libido semblent au mieux hasardeux et souvent inefficace. Dans de nombreux cas, placebos ont tendance à travailler aussi bien que la vraie chose. [Si vous êtes intéressé, oui, le Viagra fonctionne, mais il ne touche pas réellement le désir; elle affecte l’excitation, un mécanisme corporel tout à fait différent (et un tout autre débat)].
Peut - être que la confusion est pas si mal. Ce qui est bien l’incapacité de la science à démêler complètement ce mystère est qu’il garde une partie de la magie de l’ amour et le désir vivant. Après tout, si le désir était une chose connue, peut - être il ne serait plus une chose pour nous maintenir. Peut-être sans l’incertitude, nous ne l’ aurions pas eu Adam et Eve, ou Souffrances du jeune Werther, ou Titanic . Alors peut - être il est préférable de ne pas savoir , après tout.
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Vous vous posez des questions quant aux aspects fiscaux de votre succession. Voici les réponses aux questions les plus courantes.
Pour plus d’informations, n’hésitez pas à nous contacter.
Qui doit régler les droits de successions ?
Chaque héritier est tenu de régler les droits de successions sur sa part nette. En conséquence, le montant des droits pourra être différent pour chaque héritier.
Les éléments à prendre en compte sont :
Les sommes nettes perçues ;
Et le lien existant entre l’héritier et le défunt.
Quand déposer la déclaration de succession ?
Elle est obligatoire, et doit être souscrite dans les 6 mois du décès (1 an pour les décès à l’étranger) auprès de la recette des impôts du domicile du défunt.
Quel est le montant des droits de successions et de donations ?
Pour chaque héritier ou bénéficiaire, il faut procéder aux opérations suivantes :
- Déterminer la part de l’actif net (actif-passif) ;
- Déduire son abattement spécifique ;
- Calculer le montant des droits sur cette part nette taxable : appliquer la formule lui correspondant ;
- Réduction éventuelle du montant des droits à payer .
Comment évaluer les biens meubles et les biens immobiliers ?
L’évaluation de l’actif successoral, comme du passif successoral, est faite par les héritiers.
L’ACTIF SUCCESSORAL
Les immeubles
Les immeubles doivent être évalués à leur valeur vénale. Pour cela, vous pourrez comparer des estimations faites par des agences immobilières ou votre notaire.
- Un abattement de 20% sur la valeur de la résidence principale du défunt est pratiqué si, lors du décès, la résidence principale est occupée par :
- au moins un enfant mineur ou majeur protégé ;
- ou son conjoint ou partenaire pacsé survivant.
Les meubles
Il faudra distinguer ce que l’on appelle
- les meubles meublants : ils sont vendus dans les 2 ans du décès, il faut déclarer le produit de la vente. A défaut, il faudra déclarer la valeur retenue dans l’inventaire notarié réalisé dans les 5 ans du décès ou prendre une estimation représentant au moins 5% de l’actif brut successoral ;
- les bijoux (objets d’art ou antiquités) : ils doivent être déclarés en plus ;
- les objets de valeurs ;
- les valeurs mobilières : doivent être déclarées dans leur intégralité.
LE PASSIF SUCCESSORAL
Le passif du défunt doit être déduit de l’actif successoral, ce qui diminue la base taxable. Cependant l’administration fiscale n’admet pas la déduction de toutes les dettes.
Les éléments déductibles sont :
- Le passif existant au jour du décès ;
- Les frais funéraires dans la limite de 1.500 EUR ;
- Les Impôts non encore acquittés par le défunt au moment de son décès.
- Les emprunts
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|Clasificación|
|Titulo del libro||Extrait Du Cours Sur Les Armes À Feu Portatives: À lUsage Des Sous-Officiers Et Caporaux|
|Idioma||Español|
|ISBN||978-41235023|
|Formatos disponibles||PDF, EPUB, CHM, MP3, PGD, DOC|
|Tamaño del archivo||16.42Mb|
|Descargas||966|
📚 Descripción del Libro
Аналогичная ситуация с предлогами «sous, au-dessous» (только sous — и с контактом и без контакта употребляется, а Les officiers sont donc les fonctionnaires de l’époque, et avec les progrès de l’Etat, leur nombre augmente de façon considérable. Sous condition qu'ils agissent en cas d'absolue nécessité et de manière proportionnée dans l'exercice de leurs fonctions, qu'ils portent un uniforme ou un brassard, les policiers sont autorisés à utiliser leurs armes dans cinq situations. Selon l’Inspection Générale de la Police Nationale (IGPN), ces tirs sont « révélateurs de la hausse des violences exercées contre les policiers ». ● Dans une note publiée par LCI, l’IGPN a confirmé une hausse de l’usage des armes à feu par les fonctionnaires de la... Militaire des armées et de la gendarmerie pourvu d'un grade qui en fait l'auxiliaire de l'officier dans l'exercice du commandement. (Dans les armées de terre, de l'air et dans la gendarmerie, les grades des sous-officiers s'échelonnent de celui de sergent ou...
Standardsuche - Digitale-Sammlungen.de Voyage autour du Monde et principalm. à la côte Nord-Ouest de l'Amérique, fait en 1785, 1786, 1787 et 1788 a bord du King-George et de la Queen-Charlotte, par les Capitaines Portlock et Dixon - Dédié, par permission, a Sir Jos. Banks. Signatur It.sing. 289 qk, Paris 1789. George William Manby ARCHIVES PARLEMENTAIRES - Stacks
Full text of "Cours élémentaire sur les armes portatives par F. Gillion" See other formats ... LEGISLATION ARMES - www.balistique-joel-serre.fr Elles font également l'objet, avant leur mise sur le marché, de l'apposition des poinçons d'épreuves selon les modalités prévues par les stipulations de la convention du 1er juillet 1969 pour la reconnaissance réciproque des poinçons d'épreuves des armes à feu portatives. Les armes à feu appartenant à l'Etat font en outre l'objet ... Décret Armes du 30 juillet 2013 - SlideShare Elles font également l'objet, avant leur mise sur le marché, de l'apposition des poinçons d'épreuves selon les modalités prévues par les stipulations de la convention du 1er juillet 1969 pour la reconnaissance réciproque des poinçons d'épreuves des armes à feu portatives. Les armes à feu appartenant à l'Etat font en outre ...
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Il y a cinquante ans, le 25 octobre 1960, la ville de Pampelune, en Espagne, remit à Josémaria Escriva de Balaguer le titre de citoyen d’honneur, à la salle des fêtes de l’Hôtel de Ville, en présence du nonce de sa Sainteté, mgr Hildebrand Antoniutti et de don Enrique Delgado, archevêque de Pampelune.
Don Miguel Xavier Urmaneta, maire de Pampelune, s’est adressé à cet illustre citoyen : «Aujourd’hui notre joie est complète puisque ce qui lui manquait lui a été accordé. En effet, monseigneur est plein de vertus, mais il lui en manquait une : il n’était pas né à Pampelune. Désormais, il est Pampelonais […]. Je me permets de lui demander que, quant à nous, son esprit ne nous fasse jamais défaut, qu’il soit toujours près de nous pour nous aider dans notre travail quotidien, dans le train-train de tous les jours ».
Et saint Josémaria lui a répondu, entre autres : “J’ai un faible particulier, nous en avons tous quelques-uns, et mon faible c’est la Navarre. En effet cette terre féconde, peuplée de hêtres et champs de blé, avec sa foi inébranlable, son attachement à la tradition, son activité silencieuse et sa morale sans faille, semble avoir été spécialement préparée par Dieu pour y faire fructifier ces oeuvres d’apostolat universel qui, dans un ensemencement à pleines mains, espèrent procéder à une bonne récolte. Et c’est ce que l’Opus Dei est venu faire, avec de très larges visées ».
Dans la matinée avait eu lieu à l’ancien Réfectoire de la Cathédrale, l’acte académique solennel de proclamation du Studium Generale de Navarre, en tant qu’Université.
Dans le discours qu’il prononça à cette occasion, il parla brièvement du rôle de l’université :
« Nous tenons à faire de la Navarre un foyer culturel de premier plan au service de notre Mère l’Église. Nous voulons y former des hommes cultivés, ayant un sens chrétien de la vie, nous voulons qu’en ce climat propice à la réflexion sereine, l’on cultive la science enracinée dans les plus solides principes et que sa lumière soit projetée sur toutes les voies du savoir ».
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Monnaie, banque, finance, valeur actionnariale, stratégie dentreprise, comptabilité, MVA market value added, EVA valeur économique ajoutée, investissement, actionnaire, Aglietta
Stratégies des entreprises pour valoriser les actifs (leurs actions) sur les marchés boursiers ainsi que les conséquences que les marchés financiers ont en retour du comportement des firmes. Relations entre la sphère financière et la sphère réelle. Dans une économie soumise à la concurrence, les entreprises sont contraintes de maximiser leur profit. Sil elles ne le font pas, elles sont éliminées du marché. Pour cela, elles doivent investir dans du capital pour innover et donc faire du profit.
[...] On ne crée pas de la valeur on le partage. Ce partage s'effectue sur une différence de taux (taux de rendement et taux de rendement attendu par les actionnaires sur les marchés financiers, macroéconomiques). Cette différence peut exister pour une entreprise particulière, mais pas pour l'ensemble des entreprises. En valeur comptable : K = FP+D Les rendements attendus sur les marchés financiers sont attendus par rapport à des valeurs boursières (de marché) et pas par rapport à des valeurs comptables. [...]
[...] C'est parce qu'il va y avoir une différence entre ces deux taux qu'il va y avoir de la création de valeur d'une entreprise par rapport à une autre. Dans le partage secondaire de la valeur ajoutée, toutes les entreprises ne peuvent pas créer en même temps de la valeur actionnariale. On ne crée pas de la valeur, il y a une valeur créée pour l'ensemble des entreprises et ensuite elle est partagée entre elles. Il va y avoir des transferts de valeur et cela va se traduire par une augmentation de la valeur sur le marché boursier. [...]
[...] Les chartes de gouvernance sont au contraire des moyens de contrôle direct et interne. IV. Quelles sont les nouvelles normes de gestion qui montrent que les actionnaires exercent une souveraineté ? En quoi modifient-elles les modalités de la gouvernance ? Quels sont les moyens de contrôles internes et externes ? Changement dans le fonctionnement de l'économie : inversion de la relation entreprise/finance. Risque de solvabilité (capacité de l'entreprise à faire face à ses engagements financiers) lié à l'effet de levier. Les stratégies de la valeur actionnariale accentuent le risque de l'effet de levier, car le taux d'endettement apparaît comme une fonction croissante. [...]
[...] Monnaie, banque, finance – Le principe de la valeur actionnariale Stratégies des entreprises pour valoriser les actifs (leurs actions) sur les marchés boursiers ainsi que les conséquences que les marchés financiers ont en retour du comportement des firmes. Relations entre la sphère financière et la sphère réelle. I. Présentation du principe de la valeur actionnariale Dans une économie soumise à la concurrence, les entreprises sont contraintes de maximiser leur profit. Sil elles ne le font pas, elles sont éliminées du marché. [...]
[...] La marque et la confiance vont donc rentrer en compte. Le 4e aspect est la maîtrise de la technologie, la capacité d'innovation de l'entreprise. Il s'agit ici des 4 dimensions du capital immatériel de l'entreprise. Tout ceci nécessite de l'argent. Derrière chacune de ces dimensions, il y a une somme qui est dépensée (information, management, etc.). La comptabilité prend en compte uniquement les immobilisations, mais ceci n'est qu'une partie du capital de l'entreprise. En réalité l'entreprise a d'autres dépenses qui entrent dans la création de la valeur du capital. [...]
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Elle se veut avant tout pratique et doit permettre aux participants de :
? comprendre et appréhender les risques liés à l’usage des médicaments,
? favoriser les signalements d’événements iatrogènes médicamenteux,
? obtenir l’adhésion et l’implication des participants dans la gestion du risque médicamenteux
? participer à l’analyse d’erreurs médicamenteuses.
La formation se déroule en deux temps : une ½ journée consacrée à un apport de connaissances puis d’1 ½ journée d’analyse de cas et d’exercices en groupe.
A l’issue de cette formation, les personnels formés doivent ressortir avec des idées claires et des outils pour leur pratique quotidienne. Ils doivent également constituer un relais efficace au sein de leurs services et unités respectifs.
Organisme DPC : École du Val de Grâce
Professions visées : Infirmier, Médecin, Pharmacien, Préparateur en pharmacie
Format de la formation : présentiel
Référence de la formation : 15522000012
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L'anthracnose est une maladie causée par un champignon qui infecte le gazon déjà stressé par les températures élevées et la sécheresse. Les températures favorables à l'infection se situent entre de 25 et 35 ºC avec une humidité relative proche de la saturation.
La gestion environnementale est une technique par laquelle on réduit grandement la présence des mauvaises herbes, des maladies, des insectes ravageurs d'une façon efficace et surtout sécuritaire pour l'environnement.
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Pourquoi il n'aime plus l'école ?
Les copains
Il peut être en conflit avec un ou plusieurs camarades de classe. Là, il ne faut pas dramatiser. Faites-lui dire ce qui ne va pas avec ses copains. Cela vient-il de lui ou des autres ? Est-ce lui qui a peur des autres ? Dans ce dernier cas, n’hésitez pas à en parler avec sa maîtresse, qui a peut-être déjà remarqué quelque chose. S'il est le "souffre-douleur", phénomène classique, il se sent sans doute mis à l'écart.
En conflit avec un professeur
Il n’aime pas son professeur. Rappelez-lui que, s’il ne lui est pas demandé d’aimer tous ces professeurs, son inimitié ne doit pas pour autant entraver ses résultats. L’erreur à ne surtout pas faire serait de se rallier à son point de vue en disant que « ce professeur, ce n’est vraiment pas un cadeau ». Le suivre ainsi dans son raisonnement ne lui serait pas d’un grand service. Au contraire, vous lui prouvez qu’il a donc raison de ne plus aimer la classe.
La réussite n’est pas au rendez-vous
Avoir une mauvaise note n’est pas forcément dramatique. En revanche, s’il traîne des pieds systématiquement en cours, il faut l’aider à trouver des résolutions qui lui permettent d’obtenir de meilleurs résultats. L’erreur à ne pas faire serait de laisser aller le cours des choses sans réagir. Car ne plus aimer l’école peut devenir la stratégie de défense de votre enfant face à une réussite qui le fuit dans la durée. Tous les enfants ont envie d’apprendre, de prendre conscience de ce monde qui les entoure, encore faut-il leur donner envie d’avoir envie d’apprendre.
Un enfant instable
Votre enfant ne possède peut-être plus de repères suite à un changement de situation autour de lui. Cela peut être un changement de résidence, un nouveau collège, un divorce dans la famille, la perte d’un grand-parent. L’enfant devient alors instable car le milieu dans lequel il vit manque de cohésion et de constance. Il peut alors être conseillé de consulter un psychologue.
Conseils pour le remotiver
La réussite scolaire est une alchimie composée d’estime de soi, de compétence et de motivation. L’enfant qui se dit "nul" est un enfant qui n’a pas confiance en lui. En classe, il va déclencher une "anxiété de performance". Cette anxiété est un mauvais stress qui inhibera ses capacités. Si on ne prend pas garde de lui redonner confiance en ses capacités, il peut facilement entrer dans une spirale de l’échec.
On ne valorise jamais assez
On a trop l’habitude de pointer ce qui ne va pas et on oublie de citer les points positifs. A cet enfant qu’on a appelé 7 fois avant de venir à table, on va dire : « Il a encore fallu que je t’appelle 7 fois pour venir ici ! » Mais si le lendemain, il vient dès votre premier appel, on oublie alors de le complimenter pour son effort. Attention aussi à ne pas banaliser les aspects positifs, ni à leur donner un aspect négatif. Par exemple, votre enfant a ramené une bonne note. Vous lui dites que même si c’est bien, il aurait pu en ramener une encore meilleure. Vous court-circuitez le mouvement positif qui lui apportait satisfaction et plaisir avec une injection de négatif.
Développer sa confiance en toute situation
On a trop l’habitude de focaliser notre attention sur les résultats scolaires. Mais, votre enfant peut être bon en d’autres disciplines : en sport, en musique… Parlez-en avec lui et faites une liste de toutes ses qualités. Se faire facilement des amis, être leader de son groupe de camarades de classe, être toujours à l’écoute de ses copains, être vif… sont autant de qualités que votre enfant doit prendre pour telles. Même face à un de ses échecs, faites le point avec lui pour savoir ce qu’il a compris et ce qu’il n’a pas compris. Faites preuve de compréhension.
Parlez-lui d'égal à égal
Enfin, parlez-lui toujours comme s’il était un interlocuteur valable, capable de jugeote et de discernement. Sachez qu’un enfant qui a l’habitude de s’exprimer librement à la maison prendra plus facilement la parole en dehors du cercle familial. Parlez lui d’égal à égal : « Voilà une chose que je n’ai pas comprise moi aussi. Essayons de trouver la solution ensemble si tu veux bien. »
Avec la collaboration d'Audrey Platania, psychologue du centre Cogito'Z
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Comment utiliser l’huile d’eucalyptus pour mettre fin au ronflement cette nuitjanvier 4, 2020
Si vous cherchez un remède naturel pour arrêter le ronflement, l’huile d’eucalyptus est le remède naturel magique pour mettre fin au ronflement rapidement a la maison
Botaniquement appelé Eucalyptus Globulus, cela a aussi des noms étranges – écorce filandreuse, ou arbre à fièvre, en fonction de son emplacement. Originaire d’Australie, l’huile d’eucalyptus est extraite de ses feuilles fraîches.
Les bienfaits de l’huile d’eucalyptus biologique sont variés et bien connus. Il présente des propriétés anti-inflammatoires, décongestionnantes, antispasmodiques, antiseptiques, déodorantes, stimulantes, antibactériennes et autres propriétés thérapeutiques. Il est incolore et possède une odeur et un goût distincts.
L’huile essentielle d’eucalyptus est incolore et a un goût et une odeur distinctifs. L’arôme de cette huile est utilisé pour calmer les nerfs et donner au corps humain des sentiments positifs.
- Étape 1: Vous pouvez prendre deux à trois gouttes d’huile d’eucalyptus et un bol d’eau chaude.
- Étape 2: Ayez une serviette, versez l’huile dans l’eau et passez le chiffon sur votre tête.
- Étape 3: Amenez votre visage dans le bol et inhalez la vapeur ou la vapeur par la bouche et le nez.
Comment cela marche-t-il?
L’huile contient de soixante-dix à quatre-vingts pour cent de 1,8-cinéole (eucalyptol), et ce composant peut fluidifier le mucus et rendre les voies respiratoires faciles à des fins respiratoires.
L’huile est un agent anti-inflammatoire naturel lorsqu’elle est appliquée près du nez, entraîne une réduction de la paroi interne des voies nasales et des narines.
L’huile d’eucalyptus n’est pas bonne si:
Vous souffrez de vomissements, d’étouffement, de vertiges ou de nausées la première fois; n’utilisez pas cette méthode.
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Et la lune qui luit , cette nouvelle version du poème: Chroniques martiennes titre original: On y trouve également une introduction et deux articles signés Ray Bradbury ainsi qu’un cahier pédagogique établi par Jacques Chambon [ 6 ]. Monsieur Xxx, le psychiatre, les considère comme des Martiens psychotiques ayant des hallucinations qu’ils sont capables de projeter hors de leur esprit et de les rendre visibles par les autres Martiens. Quand il revient plusieurs jours plus tard, il dit aux hommes présents dans le campement à ce moment-là qu’il est le dernier Martien et abat une partie de l’équipage avant de disparaître à nouveau. Les Chroniques martiennes , dans une adaptation de Louis Pauwels et une mise en scène de Jean-Claude Amyl , font l’objet d’une version télévisée réalisée par Renée Kammerscheit et diffusée le 13 décembre sur la chaîne FR3. Les meilleurs films de tous les temps.
|Nom:||chroniques martiennes film|
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|Système d’exploitation:||Windows, Mac, Android, iOS|
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|Taille:||32.82 MBytes|
Mais comme l’illusion ne se dissipe pas, il se croit contaminé et se suicide. Le lendemain, elles doivent prendre une fusée pour Mars, afin d’y rejoindre leurs hommes. Pourtant, on suit parfois les péripéties avec un petit plaisir et on peut reconnaître vers la fin fillm sacrée bonne relecture du livre! Un autre téléphone se met à sonner, mais il loupe chroinques une fois la communication. Suivre son activité 7 abonnés Lire ses critiques. Les Terriens s’efforcent de faire reconnaître la vérité en lui montrant leur fusée.
Des gamins s’en vont jouer dans une cité martienne morte.
Les décors sont très mal faits, les acteurs sont assez nuls, peu de choses sauvent le film! Le mari parvient à l’arracher à sa nouvelle famille, mais d’autres personnes croient reconnaître en lui quelqu’un d’autre et se le disputent, provoquant ,artiennes mort. Il viendra des pluies douces est adapté en court-métrage d’animation en par le réalisateur ouzbek Nazim Tulyakhodzayev [ 24 ].
Par une nuit pluvieuse, ils entendent quelqu’un s’approcher de leur maison. Le père explique à ses enfants qu’ils sont venus ici pour prendre un nouveau départ, changer de mode de vie, avec la poignée de Terriens qui doit les chroniaues bientôt. Une nuit d’été sur Mars. Les noms des membres des premières expéditions sont plusieurs tilm cités Nathaniel York, Williams, Spender Des décors digne de Cosmosune belle performance d’acteur de Rock Hudson nominé aux oscars.
Critique du film Chroniques martiennes – AlloCiné
Elle sera remplacée dans les années par une couverture en couleur avec une illustration dans une sphère [ 5 ]. Lorsque Simplet s’en va flm sa famille en voiture, Teece l’entend lui crier: Se méprenant sur ses intentions, il prend peur et le tue. La première édition du livre est dédiée à la femme de l’auteur, Marguerite. La quatrième expédition a établi un campement sur Mars.
Ils annoncent même qu’ils leur cèdent la moitié de Mars, et qu’un grand événement concernant la Terre va cnroniques produire.
Alors qu’il se repose après avoir traversé les ruines d’une cité martienne, il fait la rencontre d’un Martien nommé Muhe Ca.
Mais pour arriver à cette happy end, il aura fallu que martiens et terriens paient le prix fort La conquête de Mars est pacifique, les martiens étant décimés par un de nos virus Après avoir vu les 2 versions, dont la version longue de 4 Heures 53 diffusée en épisodes à la télévision, on peut dire que c’est chose faite.
Première publication dans Thrilling Wonder Storiesdécembre [ 17 ].
Suivre son activité 6 abonnés Lire ses critiques. Pour ceux qui ne connaissent pas Ray Bradbury ce film est une véritable invitation, je dirais même incitation à le lire.
Avis sur Chroniques martiennes
Navigation Accueil Portails thématiques Article au hasard Contact. La même année, cette adaptation fait l’objet d’une version télévisée diffusée le 13 décembre sur la chaîne FR3, réalisée par Renée Kammerscheit. Mais quand bien même En attendant, à bord d’un canot à moteur, le père emmène sa femme et ses enfants sur un canal. Suivre son activité 5 cnroniques Lire ses critiques. Devenir rédacteur Qui sommes nous? Sur Terre, dans une ville du sud des États-Unis, des hommes blancs apprennent le départ imminent pour Mars de tous les Noirs de la localité.
FB facebook TW Tweet. Inquiets pour les proches qu’ils ont laissés sur Terre, ils décident de rentrer.
C’est la Terre, sur laquelle un conflit nucléaire global vient d’éclater. Quand il revient plusieurs jours plus tard, il dit aux hommes présents dans le campement à ce moment-là qu’il est le dernier Martien et abat une partie de l’équipage avant de disparaître à nouveau. Les dates associées aux textes sont changées, projetant le récit trente et un ans dans le futur par rapport aux dates d’origine. Sam et Elma se font rattraper par les Martiens qui, à leur grande surprise, ne leur en veulent pas.
Il n’ y a pas de personnage principal dans les Chroniques martiennes.
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Les Origines du Culturkampf allemand/02
II. LA FORMATION SOCIALE DES CATHOLIQUES ALLEMANDS [1]
L’Église catholique d’Allemagne avait bénéficié du mouvement révolutionnaire de 1848 sans jamais y avoir trempé. Au jour du bilan, elle recueillait certaines libertés définitivement conquises sur les bureaucraties. Mais, tandis que les membres de la secte schismatique des « catholiques allemands, » tandis que les protestans « amis des lumières, » avaient pris part aux émeutes, l’Eglise, en Prusse, par la voix de l’évêque Diepenbrock, avait formellement prêché le respect du pouvoir royal et la fidélité au devoir civique, notamment au paiement de l’impôt.
Lorsqu’en 1849 et 1850 la réaction survint, il était naturel que les pouvoirs raffermis gardassent aux catholiques quelque gratitude pour un tel loyalisme. Un jour de mai 1849, deux fonctionnaires causaient dans une rue de Carlsruhe. « Les Jésuites, disait l’un, sont les vrais ennemis de l’Etat ; en comparaison, les radicaux insurgés sont des amis. » Survinrent, en file menaçante, cinq cents soldats en rupture de ban, tout prêts à piller. « Nous dormirions plus tranquilles, riposta l’interlocuteur, si c’étaient cinq cents Jésuites. » Le mot de cet homme correct traduisait avec une bourgeoise franchise les dispositions gouvernementales de l’époque ; le général commandant de Breslau, à qui l’on demandait licence de tenir un congrès catholique, parlait comme le fonctionnaire badois. Naturellement, aussi, les évêques, pour désarmer les dernières suspicions de la puissance civile, s’empressaient de faire valoir la fidélité qu’avaient témoignée, durant les troubles, prêtres et fidèles. Geissel, l’archevêque de Cologne, excellait à évoquer ce souvenir : il y insistait dans une lettre à Frédéric-Guillaume IV ; il expliquait au roi de Hanovre, jadis hostile à l’émancipation des catholiques anglais, que les sièges épiscopaux sont toujours une garantie pour le bon ordre. « Actuellement, observait le chanoine Trost au ministre prussien Manteuffel, l’Eglise a presque moins besoin des évêques que n’en a besoin l’Etat. » A Mayence, à Rome, les propos du nouvel évêque Ketteler, ceux du cardinal Antonelli, donnaient la même note. Le roi de Prusse en personne pouvait être invoqué comme témoin : passant à Paderborn, en 1851, il félicitait l’évêque pour le bon esprit de son peuple, et puis tournait le dos au surintendant de l’Eglise évangélique, en lui jetant une remontrance sur les mauvaises têtes de ses ouailles, qui méritaient une correction. La Civiltà cattolica, que dirigeaient les Jésuites de Rome, racontait complaisamment l’incident. « On a compris à Berlin, disait-elle, que permettre les journaux radicaux était un mal et que prohiber les missions était prohiber un bien ; aussi a-t-on supprimé ces journaux et a-t-on favorisé les missions. » Le livre du catholique baron d’Andlau sur les émeutes badoises, et les nombreux sermons prêches dans toute l’Allemagne, s’attachaient à établir un lien de filiation entre l’incroyance et les idées de révolte.
Certains protestans allaient plus loin : ils s’en prenaient à la Réforme elle-même, la condamnaient sans appel, comme la devancière de la Révolution, et passaient à l’obédience de Rome ; ce fut le cas, en 1852, pour deux officiers prussiens dont la conversion fit du bruit, Rochus de Rochow et Traugott de Pfeil. A peine remise des chaudes alertes de 1848, l’Allemagne acclamait le catholicisme comme le soutien constant et fidèle de la notion d’autorité. L’Eglise s’apercevait, au jour le jour, que le reflux même de la réaction politique amenait les princes et les préfets, les généraux et les riches bourgeois, à faire bon marché de leurs susceptibilités protestantes ; qu’ils accueillaient bien les missions, les encourageaient, les félicitaient, faisaient présenter les armes lorsque les missionnaires élevaient la croix. C’était déjà beaucoup ; et l’Eglise, peut-être, en retour des services politiques qu’elle consentirait à rendre, pouvait obtenir d’autres marques de faveur, ou même exiger un surcroît de libertés.
Mais une équivoque était menaçante, d’où résultait un grand péril. L’Allemagne traversait une de ces périodes de représailles qui succèdent à l’effarement des révolutions : il semble, durant ces périodes, que les nations reculent ; en réalité, elles ne font que marquer le pas ; l’effet des révolutions subsiste ; les nations, ayant repris haleine, poursuivent leur marche, au prix d’autres bousculades ; la course au progrès, vaste pièce que joue l’humanité, est coupée par les intervalles de réaction comme par des entractes ; mais les actes joués demeurent joués. Si l’Eglise s’enlizait dans une suite de coquets manèges avec les puissances politiques et sociales enfin rassurées ; si, monnayant aux masses, exclusivement, les promesses divines qui récompensent la résignation, elle obtenait en échange, des Etats satisfaits, certains droits inédits ou certains privilèges inattendus ; si ces victoires mêmes la faisaient apparaître aux populations allemandes comme la force réactionnaire par excellence, que deviendrait-elle et quelle figure ferait le Christ au jour inéluctable où la période de réaction serait close ? Alors, pour avoir trop finement joué, l’Eglise se trouverait à la merci des gouvernemens nouveaux, et séparée de l’âme populaire par de haineux et durables malentendus. Le Verbe de Dieu, en Allemagne, avait cessé d’être enchaîné : allait-il, au lendemain de son émancipation, passer compromis avec les puissans, pour commander le silence des peuples ? De la réponse que ferait à cette question l’Eglise d’Allemagne, l’avenir dépendait. Sous le nom de « libertés, » les années 1848 à 1850 apportèrent au catholicisme, dans plusieurs pays, de somptueux cadeaux : la façon diverse dont il en profita, sous les diverses latitudes, fixa pour longtemps ses diverses destinées…
Les catholiques d’Allemagne eurent le mérite de comprendre que si parfois il est bien de réclamer des libertés, il importe, avant tout, d’user laborieusement de celles que l’on possède ; que les campagnes d’ « affranchissement » ne doivent jamais absorber la vie des hommes, des partis ou des Eglises ; qu’il y a dans ces parades quelque chose de négatif ; que la liberté ne vaut que pour l’emploi qu’on en fait ; qu’elle est un moyen beaucoup plus qu’un idéal ; et qu’aux fatigues enfin qui la conquièrent doivent succéder d’autres fatigues, moins éclatantes, mais plus méritoires, au prix desquelles on l’utilise. Exaltée par les sourires émancipateurs de l’année 1848, l’Eglise d’Allemagne aurait pu laisser confisquer son activité par une politique de réclamations incessantes et de marchandages tenaces. Assurément elle sut, lorsqu’il le fallait, disputer le terrain, vaillamment, à l’indiscrétion des bureaucraties et à l’importunité des majorités parlementaires, et nous verrons bientôt comment se développa, dès le lendemain de 1848 et jusqu’en 1870, l’action politique des catholiques et comment, à l’aube du Culturkampf, leur apprentissage civique était achevé. Mais l’Eglise d’Allemagne aurait cru manquer à son devoir si elle n’avait eu d’autre souci, durant ces vingt années, que de faire valoir, vis-à-vis de l’Etat, ses droits théoriques de « société parfaite, » et si elle avait mis toute sa gloire à les faire reconnaître, morceau par morceau. Elle aspirait à mieux et à plus qu’à être quelque chose dans l’Etat, ou qu’à faire figure de personne vis à-vis de l’Etat ; il semblait même qu’aux victoires qui grandissent, mais qui parfois isolent, l’Eglise d’Allemagne préférât l’action modeste et pénétrante, qui descend dans la vie populaire pour y faire le bien, et qu’au prestige ombrageux et boudeur des lendemains de triomphe elle préférât, lorsque c’était possible, la cordialité des contacts quotidiens avec toutes les forces vives du peuple allemand. Fidèle à la maxime de ces papes du moyen âge, qui ne voulaient être libres que pour se montrer en toute générosité les serviteurs des serviteurs de Dieu, l’Eglise d’Allemagne attachait peu de prix aux satisfactions d’orgueil quelle aurait pu trouver dans la conquête successive des libertés les plus imprévues ; dès qu’elle était suffisamment libre pour se dévouer à sa vraie tâche d’Eglise, c’est-à-dire pour développer la vie religieuse des fidèles et pour imprégner de christianisme les rapports sociaux, c’est à cette tâche qu’avant tout elle se consacrait.
Lorsque aux vingt ans de calme respiration qui, dans la plus grande partie de l’Allemagne, avaient été accordés au catholicisme succédèrent les heures essoufflées du Culturkampf, le clergé d’Allemagne, du moins, avait, depuis 1850, assez activement profité de ses éphémères libertés, pour qu’aux souffrances de la persécution ne s’ajoutât point le remords du temps perdu. Son esprit de dévouement aux masses ouvrières et rurales était récompensé. L’Eglise, guettée par le Culturkampf, avait déjà des racines populaires contre lesquelles le chancelier de fer devait être impuissant à prévaloir. L’Autriche, puis la France, avaient été en retard sur Bismarck ; le clergé, lui, était en avance. C’est après avoir assisté à cette besogne d’action sociale, à cette lente conquête des foules allemandes, qu’on pourra comprendre pourquoi, dans l’histoire du chancelier, après les noms de Sadowa et de Sedan, s’inscrivit celui de Canossa
Comment l’église devait-elle se conduire à l’endroit des laïques, et quel rôle devait-elle leur consentir dans sa propre vie ? La question, au lendemain de 1848, passionnait beaucoup d’esprits en Allemagne. D’aucuns, en tête desquels le théologien Hirscher, auraient volontiers introduit dans l’organisme ecclésiastique, sous la forme de synodes, un certain contrepoids démocratique à la vieille hiérarchie. Si quelqu’un était hostile, et par sa doctrine, et par son tempérament, à ce qu’on appelait la « démocratisation de l’Eglise, » c’était assurément le juriste Jarcke, protestant converti, et familier de Metternich ; mais il observait cependant, que « du jour où les laïques réputeraient les affaires de l’Eglise comme étrangères au cercle de leur activité, il adviendrait, alors, ce qu’on voyait en Autriche : la force et la vie de l’Eglise seraient brisées. » Jarcke, à la veille de Pâques de 1849, s’attardait à ces pensées avec d’anxieux scrupules : comment faire pour maintenir la hiérarchie à l’abri de toute usurpation démocratique, et pour éviter d’autre part que le peuple des fidèles fût réduit à n’être plus qu’un troupeau de pratiquais, enclins à se désintéresser du sort de l’Eglise, nonchalans sous un masque de docilité, inertes sous les dehors d’une passive soumission ? « D’une part, reprenait Jarcke, de fausses aspirations, — et des velléités de démocratiser la société religieuse ; d’autre part, un esprit d’étroitesse, de mort spirituelle ; une sorte de racornissement, — l’étouffement de toute vie dans l’Eglise : voilà les deux abîmes entre lesquels il faut trouver une route. Chercher la solution moyenne, la solution vitale : voilà, ce me semble, notre tâche d’aujourd’hui. » La solution fut bientôt trouvée : ce fut la tenue annuelle de vastes congrès groupant des représentans de toutes les associations catholiques allemandes et mettant à l’étude, avec une compétence strictement délimitée, certaines questions nettement fixées. Un jour où le cabinet de Berlin demandait à Geissel, archevêque de Cologne, d’accepter à l’avance la responsabilité de tout ce que diraient les congressistes et ne voulait autoriser leur réunion qu’à cette condition expresse, Geissel répondit par un refus ; il n’admettait pas que les évêques fussent rendus responsables de tout ce que pourraient tenter ou proposer, dans ces assemblées largement ouvertes, des orateurs de bonne volonté. Ainsi se dessina, dès le début, la physionomie très spéciale des congrès ; les dignitaires de l’Eglise prirent l’habitude d’intervenir fidèlement à la séance d’ouverture, de la bénir, de sceller par quelques mots de bienvenue le lien des congressistes avec l’Eglise enseignante, et puis de s’effacer tout de suite, en laissant aux orateurs, quatre jours durant, une complète liberté d’initiative, comme si la hiérarchie eût craint d’intimider et de paralyser leur esprit d’entreprise en demeurant trop proche d’eux. Ayant courbé leurs fronts sous sa main bénissante, l’évêque ne voyait plus en eux que des citoyens chrétiens, discutant librement sur les moyens les meilleurs de servir leur foi.
Les assemblées annuelles des catholiques allemands n’ont jamais cessé, depuis cinquante ans, de se dérouler comme des actes de vie civique, et non point seulement comme des manifestations religieuses [2] ; une opinion publique catholique s’y élabora ; une expérience laïque s’y développa, qui, dans chaque diocèse, ensuite, seconda les désirs de l’épiscopat. Jamais des paroles dites à ces congrès ne provoquèrent de difficultés graves entre les puissans de l’Eglise et les représentans improvisés du peuple chrétien ; toujours, entre les uns et les autres, la confiance subsista, les congressistes s’abstenant soigneusement de toucher à des questions de foi, de discipline et d’administration diocésaine, et les évêques à leur tour veillant sur l’action des laïques avec une sollicitude amie, plus prompte à se réjouir qu’à se défier. L’expérience de ces meetings fit sentir aux laïques, annuellement, à quelles fonctions agissantes ils étaient appelés dans la société religieuse, et quels devoirs et quels droits ces fonctions entraînaient pour eux.
Il advint, maintes fois, que les spectateurs hostiles cherchèrent à diminuer la portée des congrès en les représentant comme des chambres d’enregistrement des volontés du sacerdoce : mais les comptes rendus mêmes des discussions attestaient l’existence d’une force vraiment autonome, s’organisant pour l’initiative, s’équipant pour la lutte. Les aspirations de l’élément laïque à devenir une personnalité d’Eglise furent ainsi tout à la fois satisfaites et limitées ; et cette solution, tout en conjurant le péril dont l’année 1848 avait menacé la hiérarchie, permit au catholicisme de bénéficier de tout ce qu’il y avait de légitime et d’invincible dans les habitudes d’esprit que l’année 1848 avait implantées et dans les besoins d’action qu’elle avait éveillés.
Le prêtre Heinrich, de Mayence, dès 1849, assignait aux groupemens catholiques un triple but : la défense des droits de l’Église, la propagation des principes chrétiens dans le peuple, et le travail social. Dans ce programme, la lutte défensive figurait, si l’on peut ainsi dire, pour un tiers ; la besogne positive pour l’épanouissement religieux et social du christianisme figurait pour deux tiers. Ketteler insistait à son tour, à la même date, sur la nécessité d’introduire dans les jeunes organisations catholiques la préoccupation du relèvement populaire. Les congrès annuels qui groupaient l’élite des prêtres et des fidèles orientaient vers les trois buts définis par Heinrich leurs études et leurs conclusions ; à mesure qu’on descend la longue série de ces congrès, on voit les questions sociales y prendre, chaque année, une plus grande place.
A Cologne, en 1858, on parla des compagnons et des émigrans ; à Fribourg, en 1859, des compagnons encore ; à Aix-la-Chapelle, en 1862, des domestiques. A Francfort, en 1863, une séance tout entière fut consacrée à la question ouvrière. Le régime corporatif, la situation des travailleurs des fabriques, occupèrent en 1864 le congrès de Wurzbourg ; la question de l’émigration fut traitée à Trêves en 1865 ; Innspruck, en 1866, entendit un vicaire exposer les infortunes du prolétariat industriel ; l’assemblée de Dusseldorf, en 1869, eut à l’égard de l’action sociale un rôle instigateur sur lequel nous reviendrons. On ne trouvait, dans ces congrès, ni cette paresse d’esprit qui parfois passe outre aux questions délicates en alléguant qu’elles ne sont pas assez mûres, ni cette prudence conventionnelle qui souvent les écarte en objectant qu’elles pourraient diviser les catholiques. Les congressistes de Cologne et de Francfort, de Wurzbourg et de Dusseldorf, estimaient au contraire que, sous la chaude lumière de la pensée chrétienne, ils devaient aider les questions à mûrir, et qu’il est dans les destinées de cette pensée, dès qu’elle veut s’épanouir pleinement, de devenir un objet de division, de scandale même, a dit le Christ ; et ces grandes assemblées annuelles attestaient au peuple allemand l’anxieux attrait qui courbait l’Eglise vers trois grandes misères : celle des compagnons, celle des paysans, celle des ouvriers d’usines.
De ville en ville, avec besace et bâton, d’innombrables compagnons, — Gesellen, comme on les appelait, — promenaient la gaieté de leur âge et la détresse de leur métier. Le temps n’était plus où ils appartenaient à peu près à la famille de leurs maîtres ; sous le nom de liberté, une fée capricieuse, — bonne ou mauvaise, on en discute encore aujourd’hui, — avait commencé son voyage autour du monde et distendu tous les liens qui parfois gênaient les hommes et qui plus souvent les aidaient à mieux s’aimer. Les « libres » compagnons d’Allemagne étaient fort isolés ; parmi eux, les mauvais garçons étaient nombreux, et le conservatisme des hautes classes méprisait volontiers une classe sociale aussi mêlée. Ces disgraciés, pourtant, étaient des Allemands, des baptisés : ainsi se gaspillait beaucoup d’énergie allemande, ainsi se tarissait beaucoup de sève chrétienne. Il fallait se mettre à la piste des compagnons, les moraliser, les encadrer, les suivre dans leurs vagabondages, les joindre dans leurs ateliers ; la tâche semblait surhumaine, parce qu’elle était comme un défi pour les mœurs nouvelles introduites par la liberté économique ; au lendemain de 1848, cette tâche cependant s’accomplit. L’histoire, ici, a tout l’imprévu d’une légende. A l’automne de 1837, les catholiques de Cologne, atterrés par l’emprisonnement de leur archevêque, négligèrent sans doute le spectacle assez rare d’un jeune homme de vingt-trois ans, survenant au gymnase parmi les écoliers, pour se frotter aussi, lui, d’un peu de latin. Il s’appelait Adolphe Kolping, et, la veille encore, était compagnon cordonnier, si diligent et si pieux, que son patron le voulait pour gendre ; et dans l’échoppe toute la famille versa des larmes lorsque Kolping, pleurant lui-même, mais parfaitement résolu, s’en retourna près de son curé lui dire qu’il désirait se faire prêtre. Ne sutor ultra crepidam, prononça le curé : les premiers mots latins qu’apprit le pauvre cordonnier lui fermaient le rudiment et le séminaire. Heureusement pour lui, un vicaire se rencontra, moins effrayé des ascensions sociales ; Kolping encouragé put consacrer aux déclinaisons la vingt-quatrième année de sa vie. Il précipita les étapes ; en 1841, il s’en fut, aux frais d’une dame pieuse, étudier à l’université de Munich ; ordonné prêtre en 1845, il devenait, tout de suite, vicaire à Elberfeld. Là, dans une boutique d’abord, et puis dans le local d’une société de secours, quelques jeunes compagnons, chaque dimanche, se réunissaient devant un broc de bière pour chanter la Vierge et saint Laurent, patron de la ville ; un brave instituteur, Breuer, songeait à développer la confrérie. Breuer vit Kolping, lui soumit les statuts d’une association de compagnons, où ces jeunes gens trouveraient des livres, des conférences, un enseignement primaire solide. Le vicaire s’éprit du projet ; en novembre 1846 le premier Gesellenverein était fondé. Kolping en 1847 en devint président ; en 1849, il publiait une brochure intitulée : « Le Gesellenverein : encouragement pour ceux qui ont à cœur le vrai bien du peuple ; » il y décrivait la vie nomade des compagnons, les périls qu’ils couraient ; il y montrait comment leur abandon les prédestinait à des sottises et combien il était inique de les condamner au lieu de les aider ; il faisait ressortir l’importance de cette classe sociale.
« Il ne s’agit pas ici, déclarait-il, de l’importance que lui attachent nos démagogues jaloux de se hisser sur l’obélisque de la gloire. Non, c’est en un tout autre sens que je parle. La classe des compagnons forme la vaste assise du peuple, sur elle repose le bien-être de la société civile. » Et Kolping réclamait pour ces jeunes gens une direction morale, un domicile, des divertissemens, une culture professionnelle, une instruction religieuse, une formation charitable. Comment l’accuser d’utopie, puisque sous ses yeux, à Elberfeld, en moins de deux ans, 251 compagnons s’étaient rassemblés, et puisque, à travers la bourrasque révolutionnaire, la nouvelle association s’était loyalement comportée ? Kolping conjurait donc l’Allemagne catholique d’imiter l’exemple d’Elberfeld ; il entrevoyait déjà de nombreux groupemens qui, ramifiés entre eux, formeraient une sorte d’ « école pour une littérature populaire, plus substantielle, plus instructive, pour une littérature manquant encore. » Il terminait par un appel « à l’active charité de l’Allemagne, pour qu’elle ménageât aux compagnons des asiles de paix. »
Tout le premier, dès 1849, Kolping fit essaimer l’œuvre ; comme, à la cathédrale de Cologne, un vicariat fort mal rémunéré se trouvait vacant, il sollicita de l’archevêque Geissel ce médiocre poste. Une fois exaucé, il gagna le prêtre Vosen, professeur de religion dans un gymnase, à l’idée de fonder, à Cologne, un Gesellenverein. « Le bonheur dont nous jouissons à Elberfeld, il faut le donner à d’autres. Nous devons avoir de nouveaux frères, des frères proches, des frères lointains, dont la volonté ne fera qu’un avec la nôtre, des frères que tu conduiras tous, avec nous, vers un même but. » Tel fut, à Elberfeld, un jour de 1849, l’adieu des compagnons au « Père » Kolping, qui s’en allait porter son cœur et sa parole à leurs nombreux camarades de la grande ville.
A Cologne, d’abord, ils ne furent que sept. Mais chaque jour amenait des recrues. Les jeunes gens, à l’origine, ne se réunissaient que le dimanche et le lundi ; la maison, bientôt, fut ouverte toute la semaine. Le premier local devint rapidement trop petit ; on prit un immeuble d’où la franc-maçonnerie déménageait. Pour cette installation il fallut mendier : Kolping promena partout son aumônière. Les compagnons affluaient ; parce que dédaigneux de l’alcool, on les appelait les frères de l’eau ; parce que dévots, les éplucheurs de rosaire ; Kolping les consolait en les nommant ses enfans. Il prêchait pour eux. « Personne ne s’inquiète, disait-il un jour du haut de la chaire, si un pauvre garçon étouffe, corps et âme, dans la fange de l’atelier. Et combien de ces malheureux sombrent sans laisser de traces ! et pourtant ce sont des hommes comme vous. Moi-même j’ai été compagnon, et je ne rougis pas du métier honnête, j’ai senti moi-même toute la misère qui pèse sur les compagnons, qui les exclut de la société humaine. » Et une autre fois : « Je connais notre peuple à fond. Il n’est pas si mauvais qu’on le dit. Qu’on l’instruise, qu’on s’approche de lui, qu’on lui témoigne de l’amour, au lieu de garder à son égard un isolement distingué, au lieu de se réputer d’un autre bois que lui, au lieu de croire avoir les mains trop tendres et trop fines pour se dévouer au service du peuple. » Adolphe Kolping prêchant à Cologne, ce n’était pas l’Eglise allant au peuple, c’était l’Eglise sortie du peuple et restée peuple, parlant avec des susceptibilités plébéiennes un langage plébéien, et toute prête à s’invectiver elle-même si elle négligeait ses devoirs envers les humbles. « Vous en particulier, messieurs les ecclésiastiques, continuait Kolping, vous ne remplissez pas votre fonction, vous manquez à votre charge pastorale, pour laquelle vous êtes consacrés, pour laquelle vous êtes envoyés, si vous oubliez le peuple ! » Mais cette Eglise, mêlée au peuple et comme unifiée avec lui, recherchait, avant tout autre concours, celui même du peuple. « C’est une bonne chose, écrivait encore Kolping, que les ecclésiastiques s’occupent partout de fonder des associations de compagnons ; mais nos meilleurs missionnaires, ce sont les compagnons eux-mêmes. S’ils ont un juste sens de ce qu’est l’association, s’ils en sentent douloureusement l’absence dans les autres villes, s’ils se réunissent, alors, pour une démarche chez le curé, s’ils le supplient de s’occuper d’eux pour l’amour de Dieu, alors le succès est assuré. »
Il fallait que partout les compagnons fussent groupés. S’il eût écouté Siegwart Muller, le tribun catholique suisse, Kolping aurait créé un ordre religieux pour s’occuper des compagnons, ou bien il les aurait confiés à quelque congrégation existante ; il trouvait plus simple, plus normal, que la jeunesse prolétaire, en toute déférence, montât à l’assaut des presbytères pour sommer le clergé paroissial d’imiter les exemples d’Elberfeld et de Cologne.
Quelques mois suffirent pour que le sol rhénan se peuplât d’associations : en mai 1850, elles se fédérèrent en une « ligue rhénane de compagnons. » L’exemple du Rhin devenait contagieux ; en novembre 1851, le sud de l’Allemagne était conquis : Fribourg, Carlsruhe, Breslau, obéissaient à l’appel de Cologne ; on proclamait l’existence, à travers toute l’Allemagne, d’une association catholique de Gesellen. Kolping, en 1852, portait aux Bavarois le salut de 1 500 compagnons rhénans, et puis il descendait jusqu’à Vienne. Un jeune prêtre de Vienne, fils d’artisan, déjeunant un jour avec son père, fut effaré de voir soudainement un inconnu, qui lui dit sans plus de formes : « Tu dois devenir, à Vienne, président de l’association de compagnons. » Ce tutoyeur imprévu n’était autre que Kolping. Le jeune Antoine Gruscha, aujourd’hui cardinal-archevêque de Vienne, obéit à son visiteur ; l’association viennoise des compagnons était fondée. De son lit de mort, le publiciste Jarcke bénissait l’initiative nouvelle : « On parle beaucoup du bien du peuple, disait-il à Kolping ; votre fondation est le premier acte qu’on fasse. » L’apôtre ambulant s’en fut à Prague, alla parler de son œuvre au congrès catholique de Munster, et prit ensuite la route de Berlin. Il retrouva, là, quelques jeunes ouvriers connus à Cologne, et les lança sur le prêtre Muller, qui avait, jusque-là, sous les auspices de la maison princière de Sagan, soigné dans cette petite ville des consciences aristocratiques ; il fallut que Muller changeât de clientèle, et que, du jour au lendemain, il dévouât sa vie à la cause des travailleurs. Mises en branle par l’apostolique audace de Kolping, ces énergies plébéiennes devenaient invincibles ; Muller céda, et l’œuvre de Kolping s’établit à Berlin ; le développement en fut si rapide qu’en 1855, le prince Frédéric de Prusse, le ministre Westphalen, le général de Gerlach, le directeur de la police Hinkeldey, honorèrent de leurs applaudissemens une conférence donnée par Kolping devant les compagnons berlinois. Cent quatre associations, et 12 000 membres, tel était, en 1855, le bilan de l’activité de Kolping, Le prince Boguslas Radziwill, qui lui était lié d’amitié, le protégeait auprès de la cour. « Maintenant que vous avez organisé une aide pour les Gesellen, lui disait le ministre Westphalen, n’auriez-vous pas une recette pour les apprentis ? »
Mais Kolping estimait que, pour les Gesellen, il restait encore beaucoup à faire. Ses plans s’élargissaient ; ce qu’il voulait, c’était créer dans chaque ville un hospice où logeraient les compagnons ambulans. « Notre Dieu, écrivait-il dans son journal, doit payer la maison. Il le peut, car il est assez riche ; il le veut, car il est assez bon, et il aime autant les pauvres gamins des métiers que ces gens qui descendent dans les premiers hôtels, — pour de l’argent, sans doute, mais cet argent, notre Dieu n’a fait que le leur prêter… Si seulement on savait, disent certains, où notre Dieu a sa caisse, on irait voir le régisseur ! Je vais te le dire, cher lecteur. L’or de notre Dieu, il est dans ta poche ; ses régisseurs, ce sont tous ceux à qui il a confié ses biens terrestres. » Ainsi parlait Kolping, et les régisseurs ne résistaient pas ; à Cologne, en 1853, ils donnaient de quoi acheter un bel immeuble ; et cette maison, deux ans plus tard, était enrichie par le roi de Prusse de tous les privilèges légaux auxquels une bonne œuvre pouvait prétendre.
Les associations de compagnons étaient, en 1858, assez nombreuses pour que leurs présidens, appelés à Cologne par le congrès catholique, tinssent une réunion spéciale d’où sortit une organisation nouvelle : elles devinrent, désormais, des institutions diocésaines, fédérées entre elles sous la direction d’un président général, Kolping. On évitait toute centralisation impérieuse ; d’un bout à l’autre de l’Allemagne, elles étaient inspirées du même esprit ; mais on tenait compte du caractère local pour régler tous les détails de leur fonctionnement. Kolping détestait qu’« on imposât à la grande vie populaire une morte et froide uniformité, qui étouffe toute vraie poésie. » Il avait le respect de la spontanéité plébéienne : unificateur du compagnonnage allemand, il n’eût point voulu attenter à la richesse et à la variété des usages. Les instructions qu’en 1863 il adressait aux divers présidens subsistent comme un modèle d’esprit de conduite, de finesse avisée, de savoureux bon sens. Il avait gardé, de son séjour dans l’échoppe, des expressions indigènes : « Les compagnons, disait-il, sont les mieux à même de raconter où le soulier les presse ; » et il engageait les prêtres à butiner, dans leurs causeries avec ces jeunes gens, une riche expérience sociale. Il remerciait Dieu, lui, de n’avoir qu’à feuilleter sa propre mémoire pour y trouver les élémens d’un petit livret de bons conseils, très pratiques, très techniques, destinés aux Gesellen en voyage ; et ce qui faisait le prix, aussi, des almanachs et des journaux qu’il publiait à leur intention, c’est qu’on y retrouvait, sous la signature du prêtre, les impressions, les souvenirs, nous dirions presque le tempérament, de l’ancien compagnon.
Chez Kolping littérateur populaire, il y a moins de talent, sans nul doute, que chez Alban Stolz, son émule badois ; mais Kolping est plus près de l’âme du peuple que ne l’est Stolz. Stolz a la volonté d’être pittoresque ; Kolping est pittoresque sans le Bavoir. Aurait-il réussi, comme le pensait Ketteler, dans la direction d’un grand journal ? Il est permis d’en douter, et certainement il s’y fût refusé. Kolping n’était publiciste que parce qu’il avait été compagnon ; et les historiettes qu’il contait à ses jeunes gens sont une jolie apologie de l’institution même du métier ; elles sont de bonnes leçons d’hygiène morale ; elles donnent aux lecteurs le goût d’une société solidement organisée, ignorante de toute crise, fondée sur la stabilité des professions ; elles ont pour but de maintenir ou de ressusciter en eux le goût d’être des « enracinés ; » elles témoignent, par elles-mêmes, que dans les milieux où elles se font lire, où on les accueille, où on les médite, il y a un certain fonds de santé sociale, un certain goût d’équilibre et d’encadrement, un attachement véridique à certaines assises traditionnelles. Et Kolping visait, en effet, à sauver de la petite industrie tout ce qui pouvait en être sauvé, à maintenir l’importance économique du petit métier, à former des compagnons qui deviendraient un jour des maîtres, qui auraient pignon sur rue et statuettes pieuses, peut-être, sur leurs archaïques pignons, et qui perpétueraient dans l’Allemagne moderne, dans l’Allemagne de la libre concurrence et du libre-échange, certaines des alluvions sociales de la vieille Allemagne.
Parallèlement à Kolping, un ancien officier, Schorlemer Alst, entreprenait un autre travail de consolidation sociale. C’est aux paysans westphaliens qu’il donnait sa vie. Il voyait péricliter le travail, péricliter la propriété immobilière, sous la poussée constante d’un facteur nouveau, le capital ; il constatait que le capital payait 3 pour 100 d’impôts, que la propriété immobilière en payait 9 ; il s’inquiétait de voir les banquiers, les industriels des villes, acheter et revendre des terres. Dans cette Westphalie où d’anciennes coutumes avaient si longtemps maintenu l’intégrité des domaines familiaux, il réputait comme une ennemie personnelle l’hypothèque, qui survenait avec des airs bénins, et qui chaque jour, ensuite, se faisait plus pesante jusqu’à ce qu’elle se montrât féroce. Il y avait là un phénomène nouveau, contre lequel de pauvres paysans étaient désarmés ; mais Schorlemer estimait que, grand propriétaire et catholique, il était de son devoir, à lui, de les défendre. « Le grand propriétaire, déclarait-il, doit vivre en chrétien, c’est-à-dire se distinguer de ceux qui considèrent un vaste domaine comme un placement avantageux de leur capital ou comme un moyen d’échapper aux chaleurs de l’été. Nous devons partager les souffrances comme les joies du peuple ; c’est dans ce sentiment que je trouve le véritable lien entre la grande, la moyenne et la petite propriété, et l’unité entre elles ne se fera que le jour où tous seront persuadés qu’ils sont à un certain point de vue sur le même rang, c’est-à-dire que tous sont devant Dieu des serviteurs inutiles : voilà la véritable égalité. Ce n’est que dans ce sentiment que peut se constituer la véritable hiérarchie sociale. »
En mai 1862, il offrit à vingt paysans de Burgsteinfurt de se grouper entre eux, pour demeurer de bons chrétiens et pour s’assurer réciproquement les moyens de garder leur lot de terre. Ainsi firent-ils ; à la fin de l’année, ils étaient déjà deux cent quinze. Les associations de paysans (Bauernvereine) se développèrent dans tous les districts de Westphalie ; elles furent multipliées en Bavière ; elles devinrent, très vite, une force économique et politique. « Individuellement vous n’êtes rien, disait Schorlemer à ses adhérons ; mais vous êtes le nombre et la force, il faut que les habitans des campagnes s’organisent, comme s’organisent les ouvriers des villes, il faut qu’ils constituent des associations du sein desquelles sortiront des hommes capables de défendre leurs intérêts. » Il n’est pas de province d’Allemagne qui n’ait aujourd’hui son association de paysans, pourvue d’un journal, d’un laboratoire technique, d’une institution de crédit, et susceptible, dès lors, d’offrir à bon compte les renseignemens, les engrais, les primes d’assurance, les avances d’argent. L’initiative de Schorlemer Alst est à l’origine de cet immense mouvement ; elle enracina dans la terre westphalienne, en leur garantissant leur indépendance économique, les fortes populations auxquelles les prêtres et les instituteurs formés par Overberg avaient insufflé une vie religieuse toute nouvelle ; et c’est grâce à Schorlemer, grâce à la classe rurale autonome dont, il préservait la dignité et dont il achevait l’éducation, que cette terre de libre culture, aux mauvaises heures du Culturkampf, devait être, par excellence, sous la direction de ses évêques Brinkmann et Martin, la terre de la libre foi.
Compagnons associés, paysans associés, apparaissaient à beaucoup de catholiques comme des matériaux préparatoires pour la reconstruction d’une société allemande dans laquelle toutes les professions, tous les intérêts, auraient leur représentation corporative. A l’arrière-plan des architectures de Kolping et de Schorlemer, un nouvel édifice politique semblait se dessiner, dans lequel la puissance parlementaire serait l’expression naturelle et normale de tous les métiers organisés. Un certain nombre de catholiques westphaliens, appartenant surtout à l’aristocratie, se donnèrent à Soest, de 1864 à 1866, certains rendez-vous où ce rêve s’élaborait : Mallinckrodt, le grand orateur de la Chambre berlinoise, et son beau-frère Hüffer, jouaient dans ces réunions un rôle prépondérant. Nous aurons à nous attarder à Soest lorsque nous étudierons les origines politiques du Centre allemand ; mais il convient de noter, dès maintenant, la nuance sociale qui distinguait les congressistes de Soest. Plus préoccupés des métiers déclinans et de l’agriculture en péril que des misères du prolétariat industriel, ils inclinaient à penser, avec Mallinckrodt, que les ouvriers, après tout, n’étaient pas si mal lotis, et que si l’on devait assurément soutenir toutes les mesures susceptibles de les aider, le relèvement du petit métier demeurait la chose capitale. On retrouvera toujours cette préoccupation, sur certains bancs du Centre allemand ; les députés des petites villes, les députés des campagnes, auront une politique sociale, nous n’osons dire plus conservatrice, mais plus constructrice, que les députés des grandes agglomérations et les députés des faubourgs, soucieux d’obtenir, au jour le jour, pour les ouvriers de l’usine, des réformes urgentes. Dès l’époque dont nous nous occupons, ces deux nuances très distinctes existaient dans cet état-major catholique d’où sortira le Centre contemporain.
« Aujourd’hui, écrivait dans les Feuilles historico-politiques de Munich l’un des représentans de la seconde nuance, quiconque ne prend pas dans la situation interne de la grande industrie le point de départ de ses études, celui-là peut se piquer de vouloir conserver, dans la mesure du possible, un précieux morceau de la vieille société, mais il ne devrait pas dire qu’il travaille à la solution de la question sociale. » On ne pouvait marquer plus fortement qu’à côté de la besogne des Kolping et des Schorlemer, un autre travail social s’imposait : les années 1862 et 1863, où se fondèrent les premières associations de paysans, voyaient se préparer, en même temps, le congrès catholique de Francfort, où la question ouvrière, effleurée déjà dans quelques écrits catholiques, allait être définitivement soulevée.
Qui pourrait ne pas voir, s’écriait Thissen, curé catholique de Francfort, qu’il y a autour de nous une classe de population dont la situation mérite à un haut degré noire sympathie ? Je parle de la grande masse des artisans et des travailleurs, qui présentement soutiennent une dure lutte pour la vie, et qui, à la différence de toutes les autres classes de la société, au milieu des grandioses progrès de l’industrie, regardent sans consolation dans l’avenir. 70 à 80 pour 100 de la population appartiennent à celle classe ; beaucoup parmi eux, après une vie de misère et de faim, n’ont que la perspective d’un lit d’hôpital pour passer dans l’éternité. Ici se montre la banqueroute de l’humanité séparée du christianisme : bien loin d’estimer l’homme dans le travailleur, elle ne le considère que comme une machine, elle le traite, même, plus mal qu’une machine sans vie ; car pour une machine, chaque année, on calcule l’usure, mais quant à l’usure des forces humaines dans le travailleur, on n’y pense point. Notre mission, ici, est de mettre en acte l’amour chrétien.
Déférant à l’appel de Thissen et à la proposition du doyen Heinrich de Mayence, prêtres et laïques, en septembre 1863, prirent une résolution, « recommandant instamment aux catholiques de s’occuper de l’étude de la grande question sociale, qui, certainement, ne peut être résolue qu’à la lumière et par l’esprit du christianisme. » Peu de jours après, à l’assemblée des théologiens réunis à Munich, Doellinger déposait une motion pour que le clergé « s’occupât plus à fond de la question sociale. »
Une plume d’évêque, tout de suite, se mit à la besogne pour répondre à ces urgens désirs : c’était celle de Guillaume-Emmanuel de Ketteler, évêque de Mayence [3].
Lorsqu’en septembre 1848 l’émeute francfortoise avait coûté la vie au prince Auerswald et au général Lichnowsky, Ketteler, dans l’oraison funèbre qu’il avait prononcée sur leur tombe, avait tenu à décharger le pauvre peuple allemand de toute responsabilité. « J’ai consacré ma vie au service des pauvres, avait-il dit, et plus j’ai appris à les connaître, plus j’ai appris à les aimer. Je sais quelles grandes et nobles aptitudes notre peuple allemand a reçues de Dieu… Non, je le proclame encore une fois, ce n’est pas notre brave peuple allemand qui a commis cet acte monstrueux. Les meurtriers, ce sont des hommes qui méprisent, tournent en dérision et bafouent le Christ, le christianisme, l’Eglise, devant le peuple. »
Ayant ainsi, devant le cercueil même des victimes, rendu en faveur du pauvre peuple une ordonnance de non-lieu, il avait, quelques jours après, au congrès catholique de Mayence, premier en date de tous les congrès catholiques d’outre-Rhin, épanché son cœur de prêtre dans un admirable toast à la pauvreté et à ses victimes ; et puis, à la fin de novembre, à la cathédrale de Mayence, ses prédications d’Avent sur la théorie catholique du droit de propriété et sur les devoirs de la charité chrétienne avaient appelé la vieille théologie thomiste à la rescousse des revendications populaires les plus modernes.
Quelque génie de précurseur qu’il révélât déjà, le Ketteler de 1848 s’arrêtait à l’exposé de la doctrine ; il n’entrait pas encore dans les voies de l’action sociale. « Voyez, mes frères, disait-il au terme d’un de ses audacieux sermons, voyez comme le Christ répond à tous ceux qui veulent devenir riches par un partage des biens terrestres, ou qui veulent, par quelque moyen purement extérieur, améliorer la situation sociale. Lui aussi, il veut un juste partage des biens, mais non par la force, il le veut par la réforme intérieure de notre cœur. » Jamais Ketteler ne s’écartera de cette idée, que les bonnes volontés sont les indispensables ouvrières du bien social ; que l’amélioration de chacun de nous est nécessaire pour le bonheur de tous, que la prospérité commune s’achète par les mortifications individuelles ; que la réalisation de la justice sociale, forme terrestre de ce règne de Dieu qu’invoque la prière, doit être amenée par le labeur personnel des consciences chrétiennes ; et que ces consciences, ainsi, doivent en retirer un mérite et un honneur.
Il y a des confiances qui honorent l’homme. De 1850 à 1860, les missionnaires jésuites qui sillonnèrent toute l’Allemagne dessinaient à leur tour, comme Ketteler, le rêve d’une société guérie par le pieux effort des âmes ; mais en même temps, en inaugurant çà et là des prédications pour les diverses classes et pour les diverses professions, les Jésuites faisaient pénétrer le christianisme dans la réalité vivante des rapports terrestres ; orateurs et confesseurs, ils aspiraient à plus et à mieux qu’à être les apôtres et les garans d’un certain « ordre public, » produit de la force ; c’est à l’établissement d’un ordre social chrétien que visait leur zèle ambulant. Que les vertus personnelles, ces vertus qui produisent directement la « réforme intérieure » et indirectement la réforme sociale, aient besoin d’être encadrées, protégées, défendues et parfois suscitées par des institutions chrétiennes, c’est ce que l’Eglise a toujours pensé ; et c’est par cette originale solution qu’elle plane au-dessus des interminables conflits où le XVIIIe siècle nous jeta. Il est également naïf, à ses yeux, de mettre tout espoir dans les spontanéités naturelles de l’homme et d’escompter l’efficacité souveraine des réglementations sociales : de part et d’autre, les illusions s’équivalent ; elle connaît trop la déchéance de l’homme pour croire aux prétendues vertus d’un fictif état de nature ; elle connaît trop la grandeur de l’homme pour le décharger de toute responsabilité personnelle et pour s’en remettre à l’on ne sait quel « être social » du soin de le faire bon par contrainte et de le rendre heureux par surcroît. Le dogme dont elle est gardienne lui montre, en une sorte de diptyque, les deux faces de notre nature ; ses théologiens deviennent hérétiques dès qu’ils perdent de vue, soit la hauteur de notre dignité, soit la profondeur de notre misère. De cet unique coup d’œil, qui doit être intégral pour demeurer exact, et qui tout de suite serait fallacieux s’il ne sondait qu’un de nos deux abîmes, résulte ce que volontiers nous appellerions la politique sociale du christianisme, qui est tout à la fois un hommage à la moralité humaine et une protection de cette moralité. Entre le Ketteler de 1848, qui insiste sur la réforme intérieure, et le Ketteler des années 1863 et suivantes, tout entier préoccupé des développemens de l’esprit d’association, il n’y a pas contradiction ; les deux phases sont comme le développement d’une même pensée chrétienne sociale, qui va s’épanouissant, s’approfondissant, se réalisant.
Au moment où Ketteler s’enfonça dans les études économiques, Schulze Delitzsch et Lassalle se disputaient la direction de la classe ouvrière allemande. Au nom du parti progressiste, le premier préconisait les associations de crédit, les associations pour l’achat des matières premières, les sociétés de consommation, les coopératives de production ; les efforts de Schulze Delitzsch n’étaient pas sans prix et ne demeurèrent pas sans efficacité, mais les petits artisans, somme toute, en tirèrent plus d’avantage que les ouvriers de fabrique, et les légères accumulations d’épargne requises pour ces divers groupemens les rendaient malaisément accessibles au prolétariat. Précurseur du parti socialiste allemand, Lassalle, dans la Réponse publique qu’il adressait au comité central chargé d’organiser les ouvriers de l’Allemagne, proposait, comme une solution transitoire, la création d’associations ouvrières soutenues par l’Etat, et appelait de ses vœux l’heure où le suffrage universel, disposant des pouvoirs publics, leur arracherait les ressources nécessaires pour permettre aux travailleurs de devenir les propriétaires des fabriques. Les coopératives de production, telles que les voulait Schulze Delitzsch, devaient être librement fondées avec les économies librement accumulées ; elles excluaient, bon gré mal gré, le prolétariat matériellement incapable d’économiser. Les coopératives de production, telles que les voulait Lassalle, devaient être officiellement fondées avec l’argent prélevé sur les riches par l’Etat percepteur d’impôts. Telles étaient les deux écoles vis-à-vis desquelles Ketteler devait prendre position.
Schulze Delitzsch et les autres tenans du « libéralisme » lui déplaisaient par leur philosophie matérialiste, par leur orgueil aisément satisfait, par leur méconnaissance du moyen âge chrétien. Ketteler avait aimé les libéraux de 1848 ; il détestait ceux de 1860, ceux du Nationalverein. Il voyait en eux des jacobins, usurpateurs du mot de liberté, et toujours prompts à se servir de ce mot comme d’une arme contre l’Eglise. Au surplus, Ketteler était un rural, un homme des forêts, qui souffrait en apercevant les campagnes envahies par l’industrie. Il observait, en 1863 même, l’industrie et le « libéralisme » antichrétien essuyant, d’une même allure, de s’introduire dans les montagnes du Tyrol ; il se jetait sur sa plume, dénonçait l’intrusion, dans ces terres vierges et catholiques, de la « terrible force de capital possédée par les ennemis de l’Eglise, » frémissait en songeant à l’air empesté que respireraient les Tyroliens, habitués hier à la fraîcheur de leurs montagnes, « prédestinés, pour demain, à l’esclavage des fabriques. » Il n’y avait pas jusqu’à la personne physique, en Ketteler, qui ne s’insurgeât contre ces manifestations du progrès, il en voulait aux « libéraux » de s’en faire les adulateurs. Une brochure de, 1865, qu’il intitulait : Un catholique peut-il être franc-maçon ? nous le montre plein d’amertume contre la « poignée d’hommes d’argent » qui faisaient la force du « libéralisme maçonnique. »
« Que deviendrait le monde, écrivait-il, si celle cour princière de la richesse moderne, si cette fraction humaine qui ne croit plus ni en Dieu ni en Jésus ni à la dignité de l’âme, qui ne sert que les intérêts matériels et les plaisirs sensibles, fortifiée par une organisation secrète et inconnue, pouvait se faire passer pour l’élite du genre humain et traiter le pauvre peuple en conséquence ? » Et puis, interpellant un publiciste franc-maçon qui avait affirmé que la maçonnerie se souciait fort peu de recruter des bateliers, des ouvriers et des domestiques : « Voilà bien, s’exclamait Ketteler, la différence pratique qui sépare la franc-maçonnerie de l’Eglise. Pour nous, nous le proclamons avec joie, nous nous soucions autant des bateliers, des ouvriers et des paysans, que des princes et des rois ; nous plaçons la dignité humaine au-dessus de toute distinction, et nous déplorons amèrement cette façon de penser qui met le riche fabricant au-dessus du pauvre laboureur. » La lutte doctrinale entre le christianisme et le libéralisme matérialiste se transformait, devant l’imagination de Ketteler, en une lutte sociale, dans laquelle le christianisme avait pour lui les pauvres, et dans laquelle le libéralisme matérialiste gardait comme clientèle l’aristocratie d’argent.
Au fond de l’Evangile nouveau que prêchait aux pauvres Ferdinand Lassalle, Ketteler, sans doute, retrouvait le matérialisme, et cela même lui permettait de dire aux « libéraux » que le socialisme, qui les déposséderait, était la conséquence fatale de leur propre philosophie ; mais il ne pouvait se défendre de quelque sympathie pour la belle franchise avec laquelle Lassalle, poursuivi en 1862 devant le tribunal de Berlin, avait célébré le respect du moyen âge chrétien pour le droit à la libre science ; et puis, dans la critique que faisait Lassalle de l’ordre social, très nombreux étaient les points où la pensée de Ketteler joignait aisément la sienne. Trois ans avant que Marx, dans son livre du Capital, ne construisît à grand renfort de chiffres la théorie du « travail marchandise, » Ketteler, s’inspirant évidemment de la Réponse publique de Lassalle, qui date de 1862, esquissait déjà quelques-uns des traits de cette théorie. Ainsi l’évêque de Mayence, comme analyste des réalités économiques, était singulièrement proche de Lassalle ; et l’on s’explique dès lors que, préparant un travail critique sur les solutions du libéralisme progressiste et du radicalisme socialiste, il ait eu la curiosité d’entrer en rapports directs avec le célèbre agitateur et de ne juger ses plans qu’après l’avoir mis en mesure de les défendre.
En janvier 1864, une mystérieuse lettre, qui portait le timbre de la poste de Francfort, parvenait à Ferdinand Lassalle, à Berlin ; elle n’avait pas de signature. L’anonyme expliquait que disposant de 50 000 florins, il songeait à fonder, avec ce capital, cinq petites associations de production, que ce système lui paraissait préférable à l’intervention de l’Etat ; et il réclamait l’avis de Lassalle. Poste restante, à Francfort, à l’adresse « M Z 35, » arriva, le 21 janvier, une réponse du tribun : le correspondant trop discret était prié de se faire connaître… Ainsi fut suspendu l’échange de lettres entre Guillaume-Emmanuel de Ketteler et Ferdinand Lassalle. Une réorganisation sociale fondamentale opérée par les seules libéralités de la charité chrétienne : tel était, — cette lettre le prouve, — le rêve grandiose de Ketteler. Ce que projetait l’évêque de Mayence, ce n’était rien de moins qu’une révolution dans l’organisation de l’industrie, c’était le capital mis à la disposition des travailleurs, les travailleurs passant de l’état de salariés à l’état de propriétaires. Et c’est au capital des chrétiens qu’il rêvait d’avoir recours, au nom même de l’idée chrétienne, pour hâter l’avènement d’une époque nouvelle où la multiplication des coopératives de production mettrait dans les mêmes mains le capital et l’outil ; c’est à la charité chrétienne qu’il s’adressait pour que sans secousse, sans soubresaut, sans désordres, elle se fit l’ouvrière humble et dévouée d’une évolution sociale. L’histoire entière nous enseigne que des évolutions aussi graves ne s’accomplissent en général que par la brusquerie des révolutions ; Ketteler avait assez de confiance dans la logique de sa doctrine et dans la vaillance de la charité, pour demander aux gens de bien de faire faire à l’humanité l’économie d’une révolution.Sur ses indications, le chanoine Moufang écrivit au sociologue Victor-Aimé Huber, qui, dans sa retraite de Wernigerode, avait organisé une série d’institutions philanthropiques ; Huber répondit cii substance que depuis longtemps il songeait combien pourrait être féconde l’action des catholiques pour l’œuvre commune de progrès social, et qu’il se réjouissait d’entendre enfin des voix autorisées donner l’impulsion.
Dressé par ces encouragemens mêmes, Ketteler, à la fin du printemps de 1864, publiait son livre : la Question ouvrière et le christianisme. Il déclarait que Lassalle et son parti « avaient le mérite incontestable d’avoir dépeint, en termes aussi énergiques que vrais, la situation des classes ouvrières réduites au strict nécessaire ; » il faisait sienne, en somme, la partie critique du système de Lassalle. Mais quant à la partie positive et, si l’on ose ainsi dire, constructrice, de ce système, Ketteler la répudiait comme périlleuse et comme illégitime, de même qu’il évinçait comme insuffisantes les solutions de Schulze Delitzsch. L’intervention souveraine par laquelle l’Etat prélèverait sur les riches l’argent nécessaire pour transformer les pauvres en propriétaires inquiétait, au point de vue du droit, les scrupules théologiques de l’évêque, toujours soucieux de distinguer entre les obligations de stricte justice et les obligations de charité. Au surplus, l’instinct même de Ketteler, si rapide à s’insurger contre tout absolutisme, le dissuadait encore, à cette époque, de confier à l’Etat centralisateur la solution de la question sociale. Parce qu’hostile à l’absolutisme, il combattait, chez le propriétaire, le jus abutendi et, chez l’employeur, l’exploitation des forces humaines : de là, ses hardiesses de théoricien social. Mais parce qu’hostile à l’absolutisme, aussi, il ne voulait pas d’un Etat subjuguant les riches par ses exigences fiscales et les pauvres par ses bienfaits gratuits ; et c’est ainsi que sa haine tenace contre toute exagération illimitée dans l’exercice des droits humains l’amenait, tour à tour, à se rapprocher de Lassalle et à se séparer de lui. Le livre s’achevait par l’exposé du beau rêve qu’esquissait naguère la lettre à Lassalle ; Ketteler souhaitait, avec une ardente confiance, que l’épanouissement même de l’amour chrétien dans les âmes se traduisît, sur le terrain social, par la création de coopératives de production, dont les premiers fonds seraient dus à d’émouvans gestes d’amour.
La presse catholique examina sérieusement les propositions de Ketteler ; certains de ses organes se déclarèrent tout prêts à cesser de revendiquer les biens ecclésiastiques sécularisés, si le produit de ces sécularisations était affecté par l’Etat à des coopératives de production. Que les biens enlevés à Dieu fussent consacrés au peuple ; la presse catholique, tout de suite, applaudirait !
Ainsi se découvraient des horizons imprévus ; les rêves sociaux engendraient des rêves politiques. Ketteler laissait dire les journaux et se dérouler l’histoire ; il avait voulu, lui, tout simplement, faire l’éducation sociale de la charité chrétienne. Survenant entre deux écoles réformatrices dont l’une, la libérale, parlait de seIf-help, et dont l’autre, la radicale, parlait de contrainte, le livre de Ketteler faisait de la réforme sociale un élan d’amour, et traçait à cet élan des directions auxquelles Lassalle ne pouvait qu’applaudir.
Parmi les nombreux témoignages que reçut Ketteler à l’occasion de son livre, celui qui sans doute lui parut le plus attachant ne fut pas la lettre élogieuse de Mischler, l’économiste catholique de Prague, ni le curieux billet d’un mécanicien protestant lui écrivant : « Si je ne puis pas vous voir sur cette terre, je veux vous visiter dans l’autre monde, et vous remercier d’être un ami des hommes, » ni même l’adresse par laquelle un protestant de Hambourg, président île l’association des artisans, lui exprimait une chrétienne sympathie, mais bien plutôt, croyons-nous, le rapide message dans lequel un curé des bords du Rhin lui rapportait quelques propos de Lassalle. Une fête socialiste avait eu lieu à Ronsdorf, le 23 mai 1864 ; Lassalle y avait réuni huit à neuf cents auditeurs. Il leur avait parlé de l’Association générale des travailleurs allemands, et puis des tentatives diverses faites, de-çà, de-là, pour améliorer leur destinée ; une demi-heure durant, il avait insisté sur Ketteler.
Il y a peu de temps, disait Lassalle, un prince de l’Église, l’évêque de Mayence, poussé par sa conscience, est intervenu dans la question ouvrière. Sur les bords du Rhin, il est en odeur de sainteté. Depuis bien des années il s’adonne aux recherches scientifiques. Point par point, il adopte mes propositions et mes thèses économiques et rejette celles des progressistes, avec pénétration et franchise… Il ne laisse même pas ; aux progressistes le choix entre l’ignorance et l’intention de tromper : en conscience, il se voit obligé de déclarer que celui-là voudrait tromper le peuple qui, connaissant les preuves que j’ai fournies, persisterait à nier l’existence de la loi d’airain !… Vous savez, mes amis, que je n’appartiens pas à la catégorie des gens pieux. Mais il n’est que juste d’accorder la plus grande valeur à ce symptôme. Malgré l’indulgence et la retenue qui conviennent naturellement à son ministère, un évêque se voit cependant obligé, en conscience, de s’exprimer avec la sévérité que me permettait ma liberté de tribun populaire… cela est d’autant plus important que l’évêque n’appartient naturellement pas au nombre de nos adhérens. Il conteste l’utilité de nos efforts : il en conteste la légitimité. Il conteste leur utilité parce qu’il craint le bouleversement que provoquerait la mise à exécution de nos mesures en matière sociale. Il conteste leur légitimité parce qu’il lui paraît douteux que l’État ait le droit d’employer les moyens et d’user des institutions que je réclame, d’engager ainsi dans des voies déterminées, dans des canaux rigides, la propriété future. Mais par là même l’évêque de Mayence porte en notre faveur le témoignage le plus important. Il avoue en effet que cette opinion n’est fondée que chez ceux qui, comme lui, croient la propriété d’institution divine. La doctrine actuellement en faveur dans l’État, dans la science, dans le parti libéral, voit dans la propriété privée une institution humaine. L’évêque dit que de ce point de vue on ne peut élever la moindre objection sur la légitimité des mesures que je propose. Vous devez comprendre l’importance incomparable d’un semblable aveu.
Telle était l’estime dans laquelle le fondateur du socialisme allemand tenait le livre de Ketteler. Inversement, Ketteler, — une lettre postérieure à la mort de Lassalle nous en est la preuve, — inclinait à juger assez favorablement la personnalité même du fameux tribun [4]. En 1866, trois ouvriers catholiques de Dünwald, membres de l’Association de travailleurs fondée par Lassalle, consultèrent Ketteler ; ils lui demandèrent si des catholiques pouvaient appartenir à ce groupement. Sans émettre un avis formel sur une question qui regardait surtout l’évêque de leur diocèse, Ketteler inclina, non d’ailleurs sans quelque hésitation, vers une réponse négative, en raison de l’esprit antireligieux qui dirigeait les chefs actuels du mouvement lassallien ; mais il tint à rappeler l’indépendance de jugement qu’il avait toujours constatée dans les écrits de Lassalle, et même le « pressentiment respectueux qu’avait Lassalle de la profondeur et de la vérité du christianisme. » Sous sa direction, ajoutait-il, « l’Association générale des travailleurs n’aurait, je crois, point été détournée de son but, c’est-à-dire de la mission de veiller aux intérêts de l’ouvrier, et on n’en aurait pas abusé jusqu’à la faire servir des tendances anticatholiques. » Ainsi le cas de conscience soumis à Ketteler par trois prolétaires catholiques devint pour l’évêque de Mayence l’occasion d’un hommage à la personnalité disparue de Lassalle ; et tout au fond de sa pensée, telle que sa réponse la laisse voir, la seule objection vraiment sérieuse qu’il croit pouvoir élever contre la participation des ouvriers à l’effort socialiste était tirée de la malveillance notoire des chefs socialistes contre le catholicisme lui-même.
Ketteler n’était point une exception parmi les catholiques de l’Allemagne. Il suffit de parcourir entre 1860 et 1870 la collection des Feuilles historico-politiques, la grande revue catholique qui s’honorait d’avoir eu Goerres pour fondateur : on constate tout de suite que cette revue, publiée dans la calme Bavière, ne redoute pas la question sociale, que tout au contraire elle évêque cette question, que sans cesse elle l’agite, qu’elle la brandit, pourrait-on dire, sous le regard des « libéraux » inquiets, et qu’en face de l’anticléricalisme bourgeois elle se réjouit de cette agitation ouvrière assez arrogante pour demander à la bourgeoisie ses titres. « Tout le bruit qu’on fait autour de Bonaparte et de Garibaldi, de Cavour et des Cobourg, de la Hongrie et de l’Italie, tout cela passe : une seule chose subsiste, c’est la société profondément malheureuse. Oui, c’est la question sociale ! Vous l’avez oubliée, elle ne vous oublie pas. » Ainsi s’exprimaient, dès 1860, les Feuilles historico-politiques. Et en 1865 : « On peut se disputer sur le Schleswig ; la plus importante de toutes les questions pour nous, c’est de savoir comment le peuple mangera, c’est la question sociale. »
Il plaisait à ce grand périodique catholique de braver ainsi les « nationaux libéraux » en leur remontrant que vainement ils essaieraient d’amuser l’opinion par certains débats politiques ou d’occuper les passions populaires par des excitations antireligieuses ; qu’au-dessous des agitations superficielles où s’attardait la « bourgeoisie, » une question profonde survivait, dont il faudrait bien qu’un jour elle se préoccupât. La Chambre hessoise, pour taquiner le ministre Dalwigk et l’évêque Ketteler, aimait les débats sur le cléricalisme. « Le sort des petits métiers, proclamait alors un orateur, est pour moi beaucoup plus important que la question ecclésiastique ; » cet orateur n’était autre que le chanoine Moufang, vicaire général de Ketteler, et dans un long discours, il développait le plan d’une législation protectrice des artisans, susceptible de les aider « contre la tyrannie du capital. » Les Feuilles historico-politiques goûtaient fort ce genre de diversion : il leur plaisait que le catholicisme ripostât aux importunités de l’anticléricalisme par l’importunité souveraine de la question sociale ; des députés voulaient-ils jouer au concile, ou des journalistes s’ériger en théologiens, il se trouvait tout de suite des catholiques pour leur rappeler qu’il y avait des pauvres et que Lassalle existait. Nationaux libéraux et catholiques semblaient parfois lutter d’ingéniosité, les uns pour éluder la question sociale, les autres pour l’afficher.
Aux regards des Feuilles historico-politiques, il était logique que le libéralisme économique fût politiquement antireligieux. « Il est impossible, y lisait-on en 1865, qu’une doctrine qui traite comme une marchandise morte la force de travail de la pauvre humanité puisse être amicale pour la pensée chrétienne. » L’article s’intitulait : Le système du libéralisme économique et l’essence de la bourgeoisie. Quelques mois après, la même revue développait cette idée, que le malthusianisme est la conséquence du libéralisme, et elle concluait : « Un système d’économie politique qui est tombé jusqu’à cette profondeur de mépris pour soi-même ne peut avoir aucun avenir. » Lassalle était autrement traité : « Génie séculaire, écrivait-on, il a percé, de ses pénétrantes intuitions, les profondeurs de l’histoire de la civilisation, et souvent il eut un langage qui serait tout à fait digne d’un voyant chrétien et d’un sociologue chrétien. » Les Feuilles historico-politiques eussent volontiers fait de Lassalle un chrétien qui s’ignorait. Elles insistaient, comme lui, sur les causes qui amenaient la dépréciation du prix du travail, sur l’achat des hommes pour la haute industrie, sur le droit accordé au « capital mort, » sur la concurrence des employeurs ; elles appréciaient comme Ketteler la partie critique du système de Lassalle. Elles n’avaient pas même attendu le manifeste de l’évêque de Mayence pour affirmer elles-mêmes, dès 1863, que la démocratie organisatrice faisait bien de réclamer les droits du quatrième Etat, et que l’exploitation tyrannique des foules ouvrières ne devait pas durer jusqu’à la fin du monde. On avait des accès d’une mordante gaieté, dans les bureaux des Feuilles, lorsqu’on sentait que Schulze Delitzsch et ses amis étaient déconcertés et gênés par Lassalle : on faisait bon marché des associations fondées par Schulze Delitzsch, qui ne pouvaient « aboutir qu’au relèvement social d’une poignée de demi-bourgeois ; » ce dont il s’agissait, c’était la classe ouvrière. Lassalle avait tort de rêver d’un autoritarisme d’Etat qui aboutirait au despotisme militaire ; mais pourtant son messianisme avait du bon, et peut-être, sur les ruines du libéralisme, Lassalle frayait-il les voies à la solution chrétienne de la question sociale. Le monde se transformait ; l’élévation des travailleurs allait « nécessiter un changement de front dans la politique intérieure de tous les gouvernemens, et cette nouveauté, infiniment plus importante que les remaniemens imminens de la carte d’Europe, allait survenir assez prochainement dans les Etats industriels. » Avec allégresse, au nom du catholicisme, les Feuilles historico-politiques tournaient le dos aux tenaces vieilleries, aux vieilleries lentes à mourir ; « la société du libéralisme, notaient-elles en 1868, est à présent condamnée, d’une part, dans les allocutions du pape à Rome, d’autre part dans les allocutions de Jakoby, le tribun démocrate de Kœnigsberg. » Cela ne déplaisait pas aux Feuilles, de voir les sarcasmes de la démocratie sociale contre le libéralisme faire écho aux anathèmes du Syllabus ; elles aimaient ces attrayantes coïncidences comme des préludes de l’avenir. On se trouvait à un tournant de l’histoire ; de là, des devoirs nouveaux pour l’Eglise.
Si une nouvelle période de l’histoire, disaient les Feuilles en 1865, invoque plus hautement que jamais L’Evangile des pauvres, pourquoi l’Église ne devrait-elle pas accepter, elle aussi, d’apparaître avant tout comme une personnalité ouvrière ? (warum sollte nicht auch die Kirche vorherrschende Arbeiter-Gestalt annehmen ? )
De toutes les transformations qu’elle a déjà subies dans sa situation à l’endroit du monde, ce ne serait même pas la plus grande. En tout cas, toutes les autres questions ecclésiastiques pourraient bien, tôt ou tard, disparaître derrière celle-ci : « Comment le catholique doit-il se comporter vis-à-vis du nouveau mouvement des travailleurs ? »
Le penseur audacieux, original, qui interprétait ainsi, pour les catholiques d’Allemagne, les premiers murmures de la question sociale, s’est éteint il y a six ans seulement : il s’appelait Joseph-Edmond Joerg et avait, en 1852, succédé à Guido Goerres et au canoniste Phillips dans la direction des Feuilles. Archiviste à Munich, ses articles contre la bureaucratie lui avaient valu un poste de disgrâce dans la bourgade lointaine de Neubourg : c’est de là qu’il regardait la terre tourner, les hommes s’agiter, les révolutions se préparer. « Dites-moi de grâce qui est cet auteur, écrivait Montalembert après avoir lu des pages anonymes de Joerg, afin que j’inscrive son nom parmi ceux des esprits les plus sagaces que j’aie encore rencontrés. » Joerg mérite de figurer, à côté de Ketteler, parmi les éducateurs sociaux des catholiques d’Allemagne.
Le livre d’informations dans lequel l’Allemagne catholique apprit à connaître et à juger les diverses écoles sociales fut le livre d’Edmond Joerg, publié à Fribourg en 1867 et intitulé : Histoire des partis politiques sociaux en Allemagne. De proposer la solution chrétienne, Joerg ne s’en préoccupe qu’en passant ; il estimait, sans doute, qu’on ne pouvait mieux dire que n’avait dit Ketteler. Mais la méthode même de son livre, l’esprit qui l’inspire, le point de vue où il se place, habituaient les catholiques, si l’on peut ainsi parler, à une certaine optique sociale, qu’il importe de définir avec quelque soin. Pour Edmond Joerg, l’hégémonie économique de la bourgeoisie est le mal souverain, et par bourgeoisie il entend la classe sociale qui profita de la révolution de 1848 pour renverser toutes les barrières économiques et qui, dans la suite, déclara superbement que le National Verein, avec ses aspirations anticléricales, représentait des millions de capital. En tant que catholique et en tant que sociologue, Joerg enregistre avec satisfaction la rupture, opérée par Lassalle, entre cette bourgeoisie et la masse ouvrière ; il mesure avec allégresse les coups portés par la nouvelle école démocratique à la tyrannie politique et sociale du capital bourgeois. Qu’on ne s’égare pas sur le sens du mot bourgeoisie ; Joerg, comme tous les catholiques d’outre-Rhin, attache beaucoup de prix au maintien des classes moyennes, mais l’un des reproches qu’il fait précisément à la bâtisse économique que Schulze Delitzsch s’essaie à recrépir, c’est que les classes moyennes elles-mêmes y sont mal logées. « Certainement, dit-il, la différence du riche et du pauvre est voulue par l’ordre divin ; mais là où les fortunes moyennes se dissolvent pour qu’une petite minorité nage dans l’or, tandis que la grande masse tombe dans l’extrême misère, alors, à la place de l’ordre divin, s’installe un péché mortel contre l’humanité, l’usure. »
La science économique fut complice du péché ; mais Lassalle est venu, — Lassalle, le Luther social ; et c’est tant pis pour le péché, si la science allemande est venue comme transfuge au camp des travailleurs, et s’il existe maintenant, grâce à Lassalle, une politique ouvrière, scientifique elle aussi, et émancipée de la politique de la bourgeoisie. Cette science transfuge, à lire les déclarations matérialistes de la presse socialiste, paraît aux antipodes de la foi chrétienne ; Joerg ne le cache pas, et il s’en attriste. Mais il ressort de son exposé que l’antagonisme du régime bourgeois contre le christianisme est singulièrement plus profond ; les catholiques doivent se convaincre, — ce sont ses propres expressions, — que cette « bourgeoisie, partout, nécessairement, se trouve dans une posture d’inimitié mortelle contre la morale chrétienne et contre la révélation, » et que « le grand précepte de l’amour, donné par le Christ, est formellement abandonné par le libéralisme économique. » L’année 1867 n’a pas amené au Parlement de l’Allemagne du Nord le parti ouvrier que Lassalle espérait y faire entrer ; mais du moins, le fonctionnement du suffrage universel et direct pour les élections à ce Parlement fut-il une première victoire posthume du « génial » agitateur. Cette victoire, pourtant, est toute négative : elle ne fait que sanctionner les critiques de Lassalle contre l’idéal politique et social devant lequel le capitalisme bourgeois voulait prosterner l’humanité. Mais quant à la réorganisation de la société, on ne saurait l’attendre du parti ouvrier fondé par Lassalle, parti déjà très divisé, et dont la brève histoire est déjà pleine de scandales ; il faut pour une société nouvelle un esprit nouveau, une force nouvelle d’amour : aux catholiques d’agir. C’est ainsi que Lassalle, dans le livre de Joerg, prend la stature d’une sorte de Messie, élu de Dieu pour préparer les décombres sociaux sur lesquels l’Eglise reconstruira.
Puisque, sur les décombres accumulés par les Germains dans l’Empire romain, les moines Bénédictins avaient créé une vie rurale nouvelle, pourquoi des moines, aussi, ne seraient-ils pas les liquidateurs de la faillite économique provoquée par Lassalle ? Un capucin suisse, le P. Théodose, avait naguère, en 1863, captivé les congressistes de Francfort en leur racontant l’histoire des deux tissages qu’il avait installés, à Ingenbohl en Suisse, à Oberleitensdorf en Bohême, sous la direction des sœurs de charité ; il était mort en 1865, laissant ces entreprises dans un état financier très médiocre. On ne se décourageait point cependant, et une curieuse brochure, publiée à Vienne en 1868, reprenait le rêve de congrégations directrices de la vie industrielle. Elle s’intitulait : Le danger social de la question ouvrière et la possibilité de le conjurer, et était l’œuvre de Bernard de Meyer, dont le père, exilé de Suisse après la défaite du Sonderbund, avait trouvé asile à Vienne et beaucoup aidé à la conclusion du Concordat autrichien. Le déchaînement du capital par l’effet de la libre concurrence, le développement des valeurs mobilières, la suppression des lois contre l’usure, telle était, pour Bernard de Meyer, la triple source du mal social. Le remède proposé par Lassalle lui faisait l’effet d’une utopie : car une certaine vertu, qu’il appelait la discipline volontaire, serait indispensable dans les associations productives dont rêvait le tribun socialiste ; et Bernard de Meyer savait ou croyait savoir combien est rare cette vertu. Lassalle pourtant ne se trompait qu’à demi, et Bernard de Meyer reprenait avec lui : Oui, il faut que ces associations fonctionnent ; oui, il faut qu’aux généreux capitaux apportés par ceux qui possèdent se joignent des garanties d’intérêt ou même des subventions accordées par l’Etat. Mais le succès serait impossible, aux regards de Meyer, si l’on ne donnait pas à ces associations une direction complètement indépendante, si elles n’étaient pas libres à l’endroit des classes possédantes ; Meyer, alors, dessinait le plan d’une congrégation nouvelle qui présiderait aux nouveaux essais dévie industrielle ; et la revue le Catholique, de Mayence, accueillait avec intérêt cette ingénieuse combinaison, qui, sous l’ombrage pacifique de quelque rameau monastique, réaliserait en partie le programme révolutionnaire de Lassalle.
Eût-il été d’une sage tactique, pourtant, eût-il été conforme à la politique réaliste de l’Eglise, que le christianisme social se laissât immobiliser par l’ampleur même de ses rêves, et qu’il attendît tranquillement les merveilleux coups d’État, — gestes de capitalistes généreux, où bien violences ouvrières, — qui substitueraient au salariat un autre mode de production ? Ketteler ne le pensait point, et tout en continuant de griffonner des plans de coopératives, il envisagea sans retard la meilleure façon de prêter aide aux ouvriers dans le régime industriel de l’heure présente. A côté des brouillons dans lesquels il édifiait une « solution de la question sociale, » d’autres brouillons prirent place sur son bureau, où il examinait les moyens immédiats de relever la situation du travailleur.
En voici un, cité par le P. Pfülf, qui semble remonter à l’année 1865 :
A la place du self-help individuel du libéralisme, doit surgir le self-help corporatif, sans exclure un appui raisonnable de la part de l’État. Je maintiens, pour cela, la nécessité d’une organisation à laquelle tous les travailleurs doivent appartenir ; comme base la profession. Étudier son organisation. La pousser à faire des propositions. Pour cela, élaborer une constitution pour la classe des travailleurs… La profession doit assurer protection matérielle et morale à ses membres, dans le sens du self-help corporatif. Les professions ont, au-dessus d’elle, une fédération d’arrondissement pour toutes les professions dans l’arrondissement. Cette fédération forme pour les membres un pouvoir d’appel, administre et emploie la richesse commune, organise les rapports entre l’État et la profession… Reconnaissance de la fédération d’arrondissement par l’Etat.
Quelques lignes sont sautées, à peine déchiffrables dans le manuscrit ; d’autres trop sommaires, trop hâtives, sont à peine compréhensibles. Mais, dans l’ensemble, nous avons ici tout un plan d’organisation professionnelle, englobant tous les membres d’un même métier, les encadrant solidement, les protégeant, et garantissant à la profession même, dans le fonctionnement de la vie de l’Etat, une active autonomie. Si Ketteler veut l’organisation ouvrière, c’est en vertu des mêmes principes d’indépendance et d’autonomie qu’il avait trouvés, tout jeune, dans une tradition féodale de bon aloi ; c’est en vertu de l’instinct naturel qui le pousse à vouloir conserver et fortifier, au-dessous de l’État centralisateur, un certain nombre d’organismes vivant de leur propre vie ; c’est en vertu du goût qu’il a pour toutes les attaches naturelles subsistant encore parmi le vaste émiettement du monde moderne, attaches terriennes, attaches confessionnelles, attaches professionnelles, cimentant de petites sociétés bien unies et bien vivantes parmi l’éparpillement anarchique du vaste chaos social. Le mouvement d’organisation des classes ouvrières apparaît à Ketteler comme une revanche sur les visées absolutistes d’un Etat centralisateur, comme le prélude d’une réédification qui rappellera en quelque manière l’architecture sociale du moyen âge.
Mais la société humaine ne se rebâtit pas en un jour ; les perspectives qu’autorise le mouvement ouvrier ne se dérouleront qu’à longue échéance ; et toujours le malaise est urgent… Alors, le 25 juillet 1869, Ketteler, de plus en plus pratique, prêchant devant un auditoire ouvrier dans une chapelle de pèlerinage, détaille, comme le ferait un agitateur de profession, les revendications que les ouvriers doivent présenter aux pouvoirs publics et que déjà leur organisation rudimentaire est peut-être susceptible de faire aboutir.
Augmentation des salaires ; diminution des heures de travail ; repos dominical ; interdiction du travail des enfans et des femmes dans les fabriques : telles sont les revendications ouvrières que Ketteler juge le plus immédiatement réalisables et dont il s’attache à montrer, du haut de la chaire, au nom même de la religion, l’indéniable équité. « Sur d’autres lèvres que les vôtres, lui écrivait un vicaire d’Aix-la-Chapelle, nos bourgeois catholiques n’auraient pu supporter de telles vérités. » Mais au cœur même de ces vérités, dures pour certaines oreilles, reparaissait, — jamais oubliée, ni même estompée, — la pensée fondamentale du Ketteler de 1848. Ces revendications, continuait-il, ne seront efficaces, et leur succès ne profitera aux ouvriers eux-mêmes, que si la religion dirige et réforme leurs âmes. Ketteler n’attend pas de la loi je ne sais quelle magique puissance de réforme, le progrès ne se réalisera qu’avec la collaboration des consciences ; et l’on retrouve dans ce discours, comme dans toute la théologie traditionnelle, l’inflexible conviction que, pour réparer en quelque mesure les effets sociaux du péché originel, il ne faut rien de moins que la contrainte de la loi sociale et l’initiative des vertus individuelles.A cette date, les idées sociales de Ketteler sont complètement mûres ; il sera en mesure, quatre ans plus tard, de donner au Centre, pour un quart de siècle, un programme de réformes économiques.
En même temps que s’achevait ainsi l’armement du théoricien, l’organisation sociale des fidèles, de 1860 à 1870, prenait un rapide développement. Des associations chrétiennes sociales s’étaient lentement formées dans certaines paroisses pour les travailleurs de l’usine ; jusqu’en 1868, elles étaient endettées ; cette année-là, à Crefeld, trois d’entre elles s’unirent et prirent pour organe une petite revue fondée par le prêtre Schings, d’Aix-la-Chapelle, et qui s’appelait les Feuilles chrétiennes sociales ; cette discrète rencontre de quelques prêtres et de quelques ouvriers sous les auspices d’un périodique encore inconnu donna le branle à un vaste mouvement de fédération. A tous ces petits essaims sociaux, timidement fondés par des vicaires novices, il fallait un programme, une orientation, un contact : les Feuilles chrétiennes sociales servirent de lien. On s’enhardit, on fit une poussée ; elle fut tout de suite si vigoureuse que les deux forces organisées de l’Eglise d’Allemagne, la hiérarchie épiscopale d’une part, le comité directeur des congrès catholiques d’autre part, inscrivirent la question ouvrière, en 1869, à l’ordre du jour de leurs délibérations.
L’épiscopat, réuni à Fulda au début de septembre pour préparer les travaux du concile du Vatican, laissa la théologie quelques instans pour s’occuper du prolétariat. Ketteler présenta le rapport, qui fut approuvé. Il réclamait, entre autres réformes, la participation aux bénéfices, des augmentations progressives du salaire en raison du nombre d’années de service, la sollicitude des fabricans pour les ouvrières mères de famille, l’intervention de l’Etat législateur en vue de l’interdiction du travail précoce des enfans, de la limitation des heures de travail, de la fermeture des locaux insalubres, enfin l’ingérence des inspecteurs d’Etat pour contrôler l’exécution des lois sociales. De son côté, l’Eglise ne voulait pas rester inerte. Ketteler, dans un très beau langage, constatait qu’à l’heure présente l’action pastorale, avec ses moyens traditionnels, était insuffisante pour avoir prise sur la vaste masse ouvrière : il fallait que l’Église, soucieuse de cette masse, cherchât d’autres facilités d’accès, il fallait qu’elle les trouvât. En raison de l’antagonisme entre les principes chrétiens et les idées d’absolutisme économique, l’Eglise devait intervenir au nom de la foi ; en raison des périls moraux qu’entraînaient certains abus du régime industriel, l’Eglise devait intervenir au nom de la morale ; elle devait intervenir, enfin, au nom de l’amour. L’épiscopat de l’Allemagne écoutait et approuvait ; et Ketteler demandait que dans chaque diocèse quelques clercs fussent conviés à l’étude des questions économiques, et qu’un prêtre ou qu’un laïque catholique fût spécialement chargé d’étudier l’état de la classe ouvrière, que de temps à autre des conférences groupassent entre eux ces spécialistes des divers diocèses, et qu’ainsi l’Eglise d’Allemagne eût sous les yeux, sans cesse complétée, sans cesse renouvelée, la carte du monde ouvrier. Alors peut-être surgirait l’homme qui serait pour les travailleurs de fabrique ce qu’avait été Kolping pour les « compagnons ; » et de même que tous les petits « compagnons » qui sillonnaient les routes d’Allemagne avaient appris à l’école du « père » Kolping les grandes promesses chrétiennes de rédemption, de même quelqu’un paraîtrait, que le prolétariat de l’usine acclamerait comme un « père, » et qui redirait ces mêmes promesses. Si Ketteler eût pu vivre une autre vie, il eût rêvé d’être cet homme-là.
Quelques jours après, Melchers, archevêque de Cologne, venait à Dusseldorf, où prêtres et laïques tenaient congrès : il les entretenait de cet audacieux coup d’œil que venait de jeter l’épiscopat sur les détresses sociales. Il fut le bienvenu ; car d’un bout à l’autre du congrès de Dusseldorf, ces détresses furent montrées aux consciences. Il n’y eut pas moins de trois grands discours sur la question ouvrière : le premier fut tenu par Sepp, le professeur de Munich ; le second par Schulte, de Paderborn, qui sera bientôt l’un des historiens du Culturkampf ; le troisième par Ernest Lieber, le futur chef du Centre allemand.
Le monde ne doit pas en douter, proclama Lieber, ce congrès sent et sait ce qu’est la question ouvrière ; et si quelqu’un doit agir, ce sont les catholiques d’Allemagne. Les responsables, dans l’existence delà question sociale, ce ne sont pas les pauvres travailleurs, c’est le parti du capital. Ce parti est étranger à l’humanité (entmenscht) parce qu’il est étranger au christianisme, et il est étranger au christianisme parce qu’il met Mammon à la place de Dieu. Oui, il faut que la loi d’airain soit mise de côté. Mais la vraie solution de la question sociale doit venir du Christ. Faire le travailleur chrétien, ce n’est pas si difficile, s’il y a une rénovation chrétienne du parti du capital. Le christianisme recèle la solution de la question sociale. Jaloux de passer aussitôt à l’action, les congressistes chargèrent Schulte, Schorlemer-Alst, et le vicaire Gronheid, de Munster, de former un comité permanent qui ferait jaillir du sol allemand de nombreuses associations, dirigerait leurs efforts économiques, guiderait les Feuilles chrétiennes sociales d’Aix-la-Chapelle, et s’occuperait d’organiser le crédit pour les pauvres gens. On se mit vite en besogne. C’est sans doute à l’instigation de ce triumvirat que les Feuilles chrétiennes sociales, en février 1870, publièrent un long programme. Le christianisme social visait évidemment, dès cet instant, à devenir une force politique ; les membres des associations qui se réclamaient de lui durent n’avoir aucun contact avec les groupemens socialistes. Il fut établi que ces associations seraient rigoureusement confessionnelles, mais qu’elles n’auraient directement à leur tête ni des ecclésiastiques ni des laïques riches ; on voulait en faire, ce semble, des écoles d’autonomie ouvrière, soucieuses avant tout, disait le programme, de ne point paraître « flotter à la remorque du capital, » et se refusant, dès lors, à condamner systématiquement les grèves.
Elles s’abouchèrent en mars, au nombre de quatorze, pour tenir un congrès à Elberfeld : ce congrès fut une rapide revue de tous les efforts jusque-là dépensés. Schorlemer y assistait, et l’on parla beaucoup, au congrès, de ses groupemens de paysans. Kolping mort semblait représenté par l’instituteur Breuer, qui vingt-deux ans auparavant, dans cette même ville d’Elberfeld, avait réuni les premiers compagnons. Lieber était là ; il fut élu président d’un comité de cinq personnes destiné à fonder des associations ouvrières. Cette Pentecôte du christianisme social se prolongea trois jours : il fut question de banques populaires, de sociétés de crédit, de caisses d’épargne ; on interpella les casinos chrétiens, où les bourgeois avaient la majorité, et qui s’occupaient de besogne électorale, et on leur signifia qu’ils devaient aider à toutes les œuvres sociales. L’élan était irrésistible : chaque district rhénan, dans l’été de 1870, rêvait d’avoir son congrès social. Il y en eut un à Essen à la fin de juin, un à Aix-la-Chapelle au début de juillet. A Cologne, les présidens des cercles de compagnons de l’Allemagne tout entière se rassemblaient, trois jours durant, pour élargir leur champ d’activité ; ils étudiaient la création de cercles d’apprentis et de cercles de maîtres, le concours à donner aux associations ouvrières, l’établissement de caisses d’invalidité pour les compagnons malades ; l’immense organisme créé par Kolping et qui devait, dans son esprit, être une pauvre de conservation sur base chrétienne, devenait, toujours sur base chrétienne, une œuvre de réforme.
D’un double mouvement, les catholiques d’Allemagne étaient descendus tout au fond de leur doctrine morale et tout au fond de la réalité sociale ; entre cette doctrine et cette réalité, ils avaient constaté un hiatus, qui ne pouvait être comblé que par de profondes réformes ; soucieux de ne se comporter en conservateurs qu’en tant que leur doctrine demeurait sauve et intégralement appliquée, ils étaient conduits, tous ensemble, Kolping et Schorlemer, Joerg et Ketteler, Schings et Lieber, par l’effet même du souci qu’ils avaient de donner à l’Allemagne des assises chrétiennes, à corriger la réalité pour y faire prévaloir leur doctrine ; et leur esprit d’entreprise, avec les allures quasi révolutionnaires que parfois il affectait, n’était que la conséquence de leur intransigeance chrétienne. Le jour allait venir où la colossale Allemagne, ayant, aux dépens de la France, pris conscience de sa force, la mesurerait ensuite contre l’Eglise catholique et où les masses populaires, arbitres de la composition du Reichstag, auraient à prendre une place dans le conflit. Elles se souviendraient, ce jour-là, que ces Lieber et ces Schorlemer, subitement contraints de s’agiter, avant tout, pour l’affranchissement des prêtres, s’étaient, jusqu’au milieu de 1870, agités, sans relâche, pour l’affranchissement des pauvres.
Dans une monographie publiée en 1879 sur l’industrie textile du Rhin, l’économiste Alphonse Thun devait écrire :
Avec le Culturkampf, un nouveau principe entra en scène pour la formation des partis, les tisserands de la Prusse Rhénane durent prendre position dans une question où jusque-là ils étaient neutres. Le conflit social entre fabricans et travailleurs subsista ; un conflit nouveau, entre cléricaux et libéraux, s’y joignit. Le parti libéral apparut comme le groupement des fabricans et des anticléricaux, le parti du Centre comme le groupement des travailleurs et du clergé. Plus que jamais les ecclésiastiques hostiles aux fabricans libéraux furent rejetés vers le peuple. Les tisserands sont les adeptes de l’ultramontanisme, moins parce qu’il est un parti religieux que parce qu’il est devenu un parti social.
« Devenu : » qu’est-ce à dire ? Le passage est vrai dans son ensemble, et je connais peu de textes qui jettent sur l’histoire du Culturkampf une lueur aussi précieuse, mais il y a un mot de trop. Alphonse Thun aurait fait preuve d’une vue plus exacte encore, s’il s’était rappelé qu’avant même qu’il n’existât un Reichstag et que dans ce Reichstag il n’existât un Centre, le catholicisme, en Allemagne, s’était déjà épanoui comme un parti social ; et qu’il avait parlé comme tel, agi comme tel, avant que des circonstances douloureuses ne l’amenassent à s’organiser, surtout, en parti de défense religieuse.
« 15 000 paysans chrétiens, disait un orateur, le 29 juin 1870, au congrès chrétien social d’Essen, sont déjà, en Bavière, fédérés en une ligue. 15 000 maisons rurales, c’est une base solide. Il y en aura autant, bientôt, sur le Rhin et en Westphalie. 100 000 maîtres artisans sont venus à nos côtés. 80 000 gais compagnons, de l’association du Père Kolping, nous tendent la main. Les associations chrétiennes sociales compteront bientôt leurs membres par centaines de milliers. C’est une armée respectable, je vois dans l’avenir une belle époque. 30 000 prêtres allemands prêteront main-forte. »
On croirait, en lisant ces lignes, assister à une revue d’appel ; il faudra moins de deux ans pour qu’en présence des provocations de Bismarck, la « respectable armée » mobilise.
GEORGES GOYAU.
- Voyez la Revue du 1er avril 1907.
- On ne saurait mieux s’en rendre compte qu’en observant, dans une récente brochure de M. J. Cauvière : Deux congrès (Paris Lethielleux, 1907) la physionomie, finement saisie, nettement dessinée, de l’une des dernières assemblées des catholiques allemands.
- Nous consacrerons prochainement à l’œuvre de Ketteler, dans la collection de la Pensée chrétienne (Paris, Bloud), un volume où l’on pourra suivre la filière de ses idées et de ses écrits.
- Ainsi s’explique que les « nationaux libéraux, » à l’époque du Culturkampf, aient allégué le souvenir du jugement de Ketteler sur Lassalle, pour accuser l’évêque de n’être qu’un démagogue, et que même ils aient complaisamment accueilli, sur les rapports des deux personnages, d’assez curieuses légendes. Entre autres faits, une visite qu’avait faite la comtesse Hatzfeld à Ketteler le 16 août 1864, quelque temps avant la mort de Lassalle, donna lieu plus tard à un tenace on-dit, dont en février 1873 la Nationalzeitung se fit l’écho, et d’après lequel Ketteler, sur la demande de la comtesse, se serait montré propice à l’idée de baptiser l’israélite Lassalle pour faciliter son mariage avec Mlle de Doenniges. Voyez les démentis de Ketteler lui-même dans la Germania du 16 février 1873 et les explications complémentaires du P. Pfülf, Bischof Ketteler, III, p. 260-263. Rien d’exact, non plus, dans la rumeur, accréditée en 1870 par certains journaux, d’après laquelle Ketteler, au moment où la comtesse Hatzfeld ramena de Genève le cadavre de Lassalle, aurait accompagné le corps depuis la gare de Mayence jusqu’à l’embarcadère du Rhin (Pfülf, op. cit., III, p. 263).
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Tlaxcala est l'un des 32 états du Mexique. C'est un État relativement petit de la nation aztèque situé dans la région centrale du pays dont la capitale est Tlaxcala de Xicohténcatl.
Bien que ce soit le cinquième plus petit État, sa densité de population est la troisième en importance.
Son nom "Tlaxcala" vient de Nahuatl "Tlaxcallan", qui est l'union de "Tlaxcalla" (Tortillas) et de "Lan" (Lieu), qui signifie "Lieu de tortillas", qui constituent une partie importante de sa gastronomie. de la gastronomie mexicaine en général.
Cité coloniale, elle a été fondée en 1520 par Hernán Cortés. Toutefois, en tant qu’État, sa fondation a été reconnue le 9 décembre 1856.
C'est un État avec un mélange incroyable de cultures qui attire chaque année des milliers de touristes qui découvrent leurs traditions et leurs coutumes.
Nous pouvons citer comme le plus important: le Huamantlada, le jour des morts, le carnaval de Tlaxcala, la nuit où personne ne dort et "La Bajada" de la Vierge de Ocotlán.
La huamantlada
Pratiqué sans interruption depuis plus de 60 ans dans la ville de Huamantla, il consiste à laisser les taureaux traverser la ville, où les habitants, les visiteurs et les passionnés peuvent courir avec les taureaux.
Il ressemble aux enclos de Pampelune, mais avec des mesures de sécurité renforcées, car c’est un chemin emprunté par les taureaux.
Le dernier samedi des festivités de la Virgen de la Caridad a lieu entre les mois de juillet et août.
Jour des morts à Tlaxcala
Lorsque Tlaxcala est considéré comme un État ayant une grande empreinte culturelle, le Jour des Morts est célébré d'une manière particulière, avec une profonde religiosité pour rendre hommage au défunt.
Du 28 octobre au 2 novembre, la ville orne et remplit les autels du pain traditionnel des morts, ainsi que des tamales, de la patate douce et d'autres plats typiques.
Carnaval de Tlaxcala
Tenue dans de multiples municipalités du 7 au 12 février dans tout l'État, son origine remonte au XVIIe siècle, où elle a été introduite par les Espagnols.
Sa principale caractéristique est la couleur que les localités acquièrent, en raison des costumes et des masques qui imitent les factions des conquérants espagnols, ainsi que de la musique et des danses qui inondent le carnaval.
La nuit que personne ne dort
Tenu entre la nuit du 14 août et le matin du lendemain, à Huamantla, suit le pèlerinage de la Vierge de La Caridad, considérée comme une protectrice par la population locale.
Des tapis et des moquettes ornent les rues de la ville le long de la route de la Vierge, longue de 6 kilomètres, qui part à minuit de l'église et rentre à l'aube.
"La Bajada" de la Vierge d'Ocotlán
La procession de "La Bajada" de la Vierge est l’un des événements les plus importants de la ville d’Ocotlán, célébrée le troisième lundi de mai.
Il est dirigé par des membres de l'église qui visitent plusieurs temples et retournent à la basilique d'Ocotlán, construite en l'honneur de la Vierge du même nom.
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Toute sa vie durant, Victor Hugo observe son époque et ses contemporains. Sur des carnets, des morceaux de papier, dans les marges de ses manuscrits, il note les grands événements comme les choses les plus anodines dont il est témoin, les convictions qui l’animent, les peurs qui le tourmentent, ses rêves aussi. Il tient, sans le nommer ainsi, le journal de bord du xixe siècle.
Ces recensions, toujours minutieuses, recèlent une vie intense, propice à la scène.
Le texte publié ici est l’adaptation qui en a été conçue pour le théâtre.
Adaptation théâtrale et préface de Christophe Barbier.
- Christophe Barbier
- Jean-Paul Bordes
Si vous souhaitez des infomations complémentaires sur cet ouvrage, n'hésitez pas à nous envoyer votre demande via notre formulaire de contact.
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Je viens de terminer Le gardien invisible de Dolores Redondo (Folio policier, 518 pages), le premier tome d'une trilogie qui se passe en Navarre, une des régions du Pays Basque espagnol. De nos jours, sur les rives supérieures du fleuve Bidassoa (nommé Baztan à sa naissance en Navarre), on retrouve le corps d'une petite fille. Elle n'est pas la première victime, et peu de temps après, on en trouvera une autre. Amaia Salazar, une inspectrice de police âgée d'une trentaine d'année, est chargée de l'enquête car elle est originaire d'Elizondo, le village principal de la commune où se passe l'histoire. Mariée à un Américain, artiste de renom, Amaia est une jeune femme heureuse mais avec des blessures d'enfance qui vont refaire surface. Sa famille possède une usine de gâteau depuis plus d'un siècle, et Flora, l'une de ses deux soeurs, la dirige d'une main de fer depuis le décès de leurs parents. En l'occurrence, Rosario, la mère qui souffrait de problèmes psychiatriques, détestait Amaia. Sur le lieu du crime, à côté de la victime, on trouve un gâteau qui pourrait avoir été fabriqué dans l'usine. Dans ce roman, il est aussi question des superstitions et légendes de la région dont le basajaun, un être mi-homme mi-ours que l'on pourrait croire responsable de ces décès. Mais rien n'est moins sûr. Le roman forme un tout mais je l'ai tellement apprécié que je me suis précipitée sur le tome suivant, De chair et d'os, qui reprend l'histoire neuf mois après. J'ai déjà lu une centaine de pages sur les 608, et je le trouve aussi bien que le premier. Mme Redondo sait raconter des histoire et captiver la lectrice que je suis.
Voici un récit très sympathique et plein d'informations intéressantes. Julien Blanc-Gras, journaliste globe-trotter, s'est spécialisé dans les récits de voyage. Dans Briser la glace (Livre de poche, 181 pages), il nous entraîne au Groenland, du côté de la baie et de l'ile de Disko à l'ouest du Groenland, la deuxième plus grande île du monde (après l'Australie), d'une superficie de 2 000 000 km2. Depuis une dizaine d'années, le Groenland est le pays témoin du changement climatique: les glaciers, dont l'Eqi, fondent à grande vitesse. L'auteur s'est donc embarqué avec trois Bretons, dont deux marins et un peintre, sur un voilier à la double coque d'aluminium. Ce bateau baptisé Atka (brise-glace ou gardien des esprits [en langue inuite]) va croiser au cours de sa navigation des iceberg aux dimensions phénoménales tant en largeur qu'en hauteur. C'est un de ces "glaçons" qui a été responsable du naufrage du Titanic en 1912. Car le Groenland est une île des extrêmes. Il est recouvert par le deuxième plus grande inlandsis du monde (après l'Antarctique), et constitue donc la deuxième plus grande réserve d'eau douce du monde. Julien Blanc-Gras évoque la vie des Groenlandais (les locaux) qui à l'origine étaient des chasseurs et sont devenus des pêcheurs. Sous la domination danoise, ils ont beaucoup perdus de leur identité et des traditions de leurs ancêtres. Aujourd'hui, la jeune génération est plus intéressée par avoir un smartphone et préfère regarder la télé plutôt qu'aller chasser en kayak. Julien Blanc-Gras ne juge pas, il observe avec bienveillance tout ce qui l'entoure. J'ai aimé son style : courts chapitres qui se lisent vite. Un livre que je recommande.
Ci-dessous, l'itinéraire que le bateau a parcouru.
Grâce à ce livre, j'ai fait la connaissance de l'oeuvre d'Olga Tokarczuk, prix Nobel de littérature 2018 (décerné en 2019). Sur les ossements des morts (Editions libretto, 281 pages) est un roman qui m'a énormément plu. Il est dominé par un très beau personnage féminin, Janina Doucheyko. Agée d'une cinquantaine d'année, cette ancienne ingénieure des ponts et chaussées et ancienne professeur d'anglais est devenue institutrice à temps partiel. Elle vit seule dans une maison faisant partie d'un hameau en forêt quelque part en Pologne, pas loin de la frontière tchèque. Dans ce hameau, Janina a deux voisins, Madoga et Grand pied, qui vivent là à l'année, comme elle. Janina, férue d'astrologie, semble préférer les animaux aux hommes. Elle ne se remet pas de la disparition de ses deux chiennes qui ont été tuées. Passionnée par l'oeuvre du poète William Blake, elle entreprend de traduire certains des poèmes de ce dernier avec l'aide de Dyzio, un ancien élève qui travaille au poste de police de la ville voisine de Kłodzko. Un matin, Janina est appelée par Madoga, qui vient de découvrir Grand pied mort. Il s'est étouffé avec un petit os. D'autres morts suspectes suivront, des notables passionnés de chasse. Janina est convaincue que ce sont les animaux qui se vengent. Les traces de pattes d'animaux sont nombreuses sur les lieux des crimes. On ne l'écoute pas, en considérant que c'est une femme excentrique. Elle a un franc-parler qui ne plaît pas à tout le monde. Je ne dirai rien de plus sur ce roman, sauf qu'il faut le lire, et vous n'oublierez de sitôt Janina qui déteste son prénom. Pour information, "Sur les ossements des morts" est un vers de William Blake.
Après ADN, je me suis plongée dans Succion d'Yrsa Sigurðardóttir (Actes noirs, Actes sud, 407 pages), dans lequel j'ai retrouvé l'inspecteur Huldar et Freyja, la psychologue pour enfants.Ces deux là ont toujours des rapports compliqués depuis qu'ils ont passé une nuit ensemble sans se connaître plusieurs mois auparavant. Depuis leur dernière enquête, qui s'est mal terminée, Freyja a été mise à l'écart de la Maison des enfants qu'elle dirigeait et Huldar doit se contenter d'affaires sans intérêt.
Dans un prologue qui se passe en 2008, Vaka, une petite fille qui attendait que son père vienne la chercher à la sortie de l'école, disparait après suivi une autre petite fille à qui il manquait deux doigts. En 2016, un directeur d'école montre à la police une lettre inquiétante écrite par un lycéen dix ans auparavant. Elle annonce que six personnes désignées par des initiales vont mourir. Bien entendu, tout est lié. J'avoue que j'ai trouvé l'histoire assez glauque. Il y a en effet des meurtres plus sanglants les uns que les autres. Les six personnes condamnées à mourir vont connaître des fins abominables. Je ne dirai rien de plus. L'ensemble est assez outré, cela manque de finesse psychologique. Dommage.
Après Un travail à finir, j'ai lu Terres brûlées (Editions Viviane Hamy, 311 pages, paru en mars 2020), le nouveau roman d'Eric Todenne. Comme dans le précédent, l'intrigue nous ramène dans le passé. Cette fois ci, on retourne presque 80 ans en arrière pendant la deuxième guerre mondiale puis 10 ans plus tard, en 1952, pour arriver en 1973 et enfin de nos jours. Au commissariat de Nancy, j'ai retrouvé l'inspecteur Andréani et son collègue Couturier qui doivent clore une affaire assez simple : un notaire, Rémi Fournier, a été retrouvé mort, asphyxié, dans son pavillon qui a brûlé. Aidé par la psychologue Francesca, les recherches sur cette mort les renvoie donc dans le passé en Moselle en 1940. C'était le temps où ce département est devenu allemand, où les Juifs qui habitaient la région ont été déportés et leurs terres cédées à d'autres ; c'était aussi le temps des dénonciations. En 1952, Sarah Silberman, seule survivante d'une famille de propriétaires terriens, vient réclamer ce qui lui revient au notaire d'un petit village. Malheureusement, elle décède la nuit suivante dans l'incendie criminel de la ferme familiale. En 1973, Remi dont le vrai nom est Isaac Silberman (il est le fils de Sarah); se rend coupable d'un incendie, semble-t-il, à l'encontre d'une famille de trois personnes dans leur ferme. Je ne vous dirai rien de plus sur l'histoire bien menée. Mon bémol serait que la plupart des protagonistes sont traités superficiellement comme Sarah ou Rémi qui ne sont que des ombres. C'est dommage car le roman se lit bien. Le titre Terres brûlées renvoie a priori à un morceau de solo de batterie d'un CD de Charles Mingus.
J'ai lu, en une après-midi, le nouveau roman de Daniel Pennac, La loi du rêveur (Editions Gallimard, 166 pages). Je suis restée perplexe après l'avoir terminé. Il n'y a pas vraiment d'histoire. Son livre commence quand Pennac avait 10 ans et qu'il annonce à son copain Louis que "la lumière, c'est de l'eau", et c'est à la suite de cette conversation que Pennac est devenu écrivain. Le premier chapitre raconte un rêve de Pennac fait dans son sommeil. Puis il saute du coq-à-l'âne en en proclamant son admiration pour l'oeuvre de Federico Fellini (1920- 1993) qui a écrit Le livre de mes rêves. Pennac révèle que le réalisateur notait et dessinait ses rêves dès qu'il se réveillait. Certains de ses rêves sont devenus des scénarios, puis des films tournés dans le studio 5 de Cinecittà. Pennac évoque ses séjours dans le Vercors depuis qu'il est enfant dans une maison où désormais il vient régulièrement avec son épouse, ses enfants et ses petits-enfants. Je n'ai ni aimé ni détesté ce "roman" qui n'en est pas vraiment un. J'attends la réaction des personnes qui liront ce livre.
En cette période confinée, certaines choses reprennent davantage d'importance. Par exemple: la nourriture. Je (ta d loi du cine, squatter chez dasola) rédige, pour ce mois d'avril 2020 et pour la seconde fois consécutive, mon "hommage" mensuel à Charlie Hebdo autour d'un "Hors-série" de l'hebdomadaire. Mais cette fois-ci, on peut encore trouver ce supplément en kiosque - pour autant que l'on ait déniché un kiosque ouvert.
Aux armes, paysans!, Hors série N°21H, février-mars-avril 2020, 64 pages
Ces périodiques semblent maintenant paraître tous les trois mois, mais je me demande quel délai s'écoule entre leur mise en chantier et leur publication. Celui-ci, s'il a certainement mobilisé la plus grande partie de l'équipe actuelle (il n'est que de regarder les noms des rédacteurs-trices ou dessinateurs-trices), porte fortement l'empreinte, pour les textes, de Fabrice Nicolino (5 articles à lui seul) et, pour les dessins, de Juin (qui apparaît, si j'ai bien compté, dans 13 des pages intérieures). Je me demande avec quelle ironie interpréter la statue porcesque: celle de la monture rigolarde, plutôt que celle du croquant anonyme brandissant son sceptre, je suppose.
Au début et à la fin de la publication, figurent à titre d'illustration deux belles galeries (ou des tunnels?) de vieilles "réclames" qui montrent l'évolution, sur des décennies, de ce que leur presse professionnelle proposait aux paysans (entre, au moins, les années 1870 et 1930, et extraites, notamment mais non exclusivement, de Jardins & Basses-cours [1908-1936]). On y trouve vantées la mécanisation (des tracteurs en veux-tu en-voilà, à différentes époques), l'amélioration de la productivité (nitrate de soude du Chili; "complément radio-actif de tous les engrais" (!); "fumier de l'homme" recueilli dans les camps (??) des environs), la "farine de viande" pour porcs, volailles, veaux et chiens... Je regrette un peu que ne figure pas dans le Hors-série un article spécifique de "mise en perspective" de ces mêmes publicités (publiées en couleur papier journal jauni), mais je ne sais pas si j'aurais été capable de le rédiger.
Par contre, entre autres thèmes dignes d'intérêt, un article décrypte la spéculation financière sur la production agricole: désormais, les "produits dérivés" ne s'intéressent plus aux plantes ou aux bêtes elles-mêmes, mais à la fluctuation (à la hausse ou à la baisse) de leur prix, les échanges sur les marchés financiers étant en outre 20 ou 30 fois plus élevés que les échanges physiques. J'ai bien apprécié la citation de Coluche qu'il contient, rappelant que celui-ci disait: "Je partage en deux: les riches auront de la nourriture, les pauvres de l'appétit" (p.35).
Fidèle aux notions défendues de longue date par Fabrice Nicolino, le Hors-série oppose au modèle de l'agriculture productiviste soutenu par la FNSEA celui prôné par la Confédération paysanne. Il expose les bienfaits de l'agro-écologie et plus généralement celui d'une agriculture à taille humaine (sinon à hauteur d'homme). Il rappelle incidemment que, alors même qu'en France des projets d'"usine des 1000 vaches" soulèvent des tollés, aux Etats-Unis, en Chine ou dans d'autres pays immenses, ce sont jusqu'à une centaine de milliers d'animaux auxquels des semi-remorques entiers amènent quotidiennement de l'alimentation "industrielle". La course au gigantisme et aux "économies d'échelle" ne permettra donc jamais à la France d'être compétitive sur le marché mondialisé si l'on se place dans la seule perspective financière. Il faudrait vraiment changer de paradigme pour que redevienne majoritaire une agriculture axée sur la souveraineté alimentaire, l'autonomie alimentaire locale, et permettant aux paysans de vivre dignement de la vente de ce qu'ils produisent, plutôt que de subventions qui leur ôtent toutes libertés de choix en les mettant aux ordres de l'industrie agro-alimentaire et de sa technocratie.
Un dessin particulièrement signifiant sur la normalisation et la déshumanisation du paysan... Occasion, aussi, de rappeler que des militants pour une "autre" agriculture peuvent avoir des intérêts variés, entre les vegans qui s'opposent à tout abattage animal, ou ceux qui prônent un retour à des conditions permettant de vivre d'une ferme "à taille humaine" où des animaux sont, certes, élevés pour être au final consommés, mais du moins, point trop maltraités durant leur existence...
Ce numéro ne présuppose pas que l'on soit a priori un spécialiste des problématiques agricoles, il les explique bien (je trouve), comme, par exemple, le déséquilibre - au bénéfice de quelle agriculture? - des différents "piliers" de la PAC, ou le "gaspillage" des ressources naturelles (sol vivant et fertile, eau potable...) pour un profit exclusivement financier et à court terme.
Rappelons encore que l'engagement de Charlie contre les logiques de l'agriculture industrielle (ou de l'industrie agro-alimentaire) ne date pas d'hier. Ce Hors-série republie quatre pages dessinées par Cabu, initialement parues dans le N°303 de la première série de Charlie Hebdo, le 2 décembre 1976.
Je vous recommande également (je n'en ai pas fait figurer d'extrait dans le présent billet) les 6 planches de "Reportage 100% bio chez Mimile" (éleveur de moutons et de porcs bio) signées Coco. Pour une fois, Foolz m'a fait rigoler ("ça va, Jean-Pierre?"), même si je n'ai pas repris non plus la vignette concernée, p.62, parmi "Les couvertures auxquelles vous avez échappé". De cette même page, j'extrais le dessin ci-dessous, avec le mot de la fin ambigu à souhait (encore temps de quoi?).
Je cite enfin la conclusion de l'édito signé Riss: "Pour les citoyens agriculteurs et les citoyens consommateurs, il est urgent de repenser de fond en comble notre manière de nous nourir les uns les autres." Il s'agit effectivement de sujets qui méritaient bien quelques coup de poings dans la gueule et sur les yeux.
J'arrête ici mon analyse, il y aurait encore bien des richesses à extraire de ce "soixante-quatre pages". J'espère que j'ai pu par mes quelques citations, extraits ou gloses vous donner envie de l'acquérir (7 euros). Sauf erreur de ma part, il n'est cependant pas disponible aujourd'hui sur la boutique en ligne ni en version digitale (laquelle ne concerne que l'hebdomadaire, à ce jour).
*** Je suis Charlie ***
Après Les Fantômes de Reykjavik d'Arnaldur Indridason, je continue avec les polars islandais. Ce week-end, j'ai réussi à lire ADN d'Yrsa Sigurðardóttir (Actes noirs, Actes Sud, 412 pages). Quand on arrive à la fin du roman et que le coupable est démasqué, on comprend le rôle important qu'a joué l'acide désoxyribonucléique où réside l'information génétique dans cette histoire. Une jeune femme est tuée de manière brutale dans sa chambre à coucher. Margrét, sa fille de sept qui s'était cachée sous le lit, a plus ou moins tout vu, mais elle est traumatisée. Un deuxième crime tout aussi odieux contre une enseignante à la retraite est commis peu de temps après. Un troisième sur un jeune homme suivra. L'enquête menée par Huldar piétine tandis que Freya, une psychologue pour enfant, essaye de mettre Margrét, en confiance afin que celle-ci dévoile ce qui est arrivée. Le roman est assez haletant. Le meurtrier a une manière atroce de tuer ses victimes dont il entoure la tête de gros scotch. Comme arme du crime, il se sert successivement d'un aspirateur, d'un fer à friser et d'un fer à souder. Il n'y a pas de sang sur les scènes de crime. Par ailleurs, Karl, un jeune homme asocial de 24 ans, reçoit des messages chiffrés sur son poste à ondes courtes. Ils ont bien entendu un lien avec l'affaire et il va même se retrouver accusé des meurtres. Je ne vous dirai rien de plus. Quand on commence le roman, on veut déjà connaître la fin. L'écrivain maintient le suspense jusqu'au bout. Après Indésirable, je trouve que c'est un écrivain à suivre. D'ailleurs, j'ai le suivant, Succion, dans ma PAL [chroniqué le 15/04/2020]. Lire le billet de Virginie/Miscellanées.
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Ceci n'ayant rien à voir avec cela, je fais partie de la population née en avril. Demain, c'est mon anniversaire, j'espère que ce sera le premier et le dernier confiné. Je le fêterai seule mais j'ai des collègues qui devraient me le souhaiter par "skype".
J'ai découvert assez récemment Voyage à Tokyo, ce film admirable qui date de 1953. Je connais peu l'oeuvre d'Ozu (1903-1963) si ce n'est que j'avais eu la chance de voir Le goût du saké (1962), le dernier film du réalisateur, lors d'une ressortie en salle il y a presque 40 ans. Dans Voyage à Tokyo, un vieux couple qui vit du côté d'Osaka dans une ville au bord de la mer, avec leur fille cadette encore célibataire, vient à Tokyo rendre visite à deux autres de leurs enfants, une fille propriétaire d'un salon de coiffure et un fils qui est médecin de quartier. Ils ont eu deux autres fils dont l'un est mort au combat en 1945. Cela fait des années que les parents n'ont pas vu leurs enfants qui sont très occupés. Et ils connaissent à peine leurs petit-fils qui restent indifférents face à leurs grand-parents. On sent tout de suite que ce couple n'est pas bienvenu. Leurs enfants n'ont pas le temps de s'occuper d'eux. Heureusement que leur belle-fille, Noriko (magnifique Setsuko Hara, la muse du réalisateur), la veuve du fils décédé, leur témoigne de l'affection et de l'attention. C'est elle qui va leur faire visiter Tokyo pendant une journée. Les autres enfants préfèrent se débarrasser d'eux en leur offrant quelques jours dans une auberge bruyante d'une ville thermale dans la banlieue de Tokyo. Ozu montre le délitement des relations familiales dans le Japon d'après-guerre.
La marque de fabrique d'Ozu, si je puis dire, c'est la manière d'installer la caméra, au ras des tatamis, privilégiant le plan moyen fixe. La caméra ne bouge pas mais il se passe beaucoup de choses devant l'objectif, des bateaux filent sur l'eau, des cheminées rejettent de la fumée et on voit Tokyo en pleine reconstruction. Le vieux couple est touchant. En revanche, la fille coiffeuse est particulièrement peu sympathique. Elle est mesquine et déjà aigrie. Il y a une scène notable où le grand-père boit beaucoup de saké en retrouvant d'anciens amis. Ensemble, ils font le constat que leurs enfants respectifs n'ont pas réussi comme ils l'auraient espéré. J'ajouterais que la musique est magnifique. Un très grand film à voir et à revoir. L'édition que j'ai en DVD a quelques bonus intéressants dont un sur les lieux du tournage aujourd'hui.
Puisque dasola n'a pas assez eu le moral pour rédiger son billet à la date attendue, je (ta d loi du cine, squatter sur son blog) vais essayer de faire appel à mon légendaire sens de l'humour pour la dérider - et peut-être quelques lecteurs-trices avec?
* Message automatique de réponse d'une boite email, dans une administration:
"Bonjour
Je ne suis pas disponible jusqu'à nouvel ordre"
A chaque fois, ça me fait hurler de rire!
* "- ... Oh, moi, j'ai acheté 10 kilos de pâtes. De quoi tenir un mois, deux mois en me rationnant un peu, trois mois en me rationnant beaucoup.
- ... Mais qu'est-ce que ça sent, là?
- Ah M...! Mes pâtes qui brûlent!"
(d'après Morris)
* Surpris dehors sans attestation? Attention, y a pas pIIIIIIrrr(e)...
* 135 euros d'amende? La récidive à 200 euros, et 3750 euros pour le quarté dans le désordre en 30 jours?
* Embellie en vue pour Microb: d'un côté, le virus va régler le problème des retraites. De l'autre, les Français frondeurs vont régler celui des déficits.
* Ou alors, renationaliser la Française des Jeux, et lancer un nouveau produit: le pari sur les scores, dans tous les pays (atteints / décédés / guéris).
* Vivement le stade 4. Mais non, ce n'est pas celui où nous sommes tous morts, c'est juste le retour à la normale.
Vous me direz, à long terme, c'est la même chose (comme disait à peu près Keynes).
En voilà treize (phrases) à la douzaine. Je ne vais pas m'engager sur une fréquence ni sur une durée.
Si ça vous a fait rire: à déconfiner sans modération (et sans coup férir)!
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L’évaluation à l’épreuve du contexte
Pratiques et réflexions
L’ouvrage présente, en deux parties, des contributions sur les enjeux des pratiques d’évaluation dans l’enseignement et dans le monde professionnel. L’une analyse des dispositifs pour l’évaluation des apprenants dans l’enseignement des langues étrangères. L’autre est centrée sur la définition et la déclinaison des compétences, objet de l’évaluation et moyen d’évaluer.
Éditeur : Provence (Presses Universitaires de)
1ére édition
Collection : Apprendre Enseigner
Thème : Sciences humaines et sociales
Sous la direction de : Demeester Anne, De Giorgi Bernard, Gouchan Yannick
Langue : Français
23 illustration(s) couleur
Paru le 10/Sep/2020
Prix TTC : 20,00€
EAN : 9791032002728
ISBN : 979-10-320-0272-8
Dimensions : 160x240 mm.
Nombre de pages : 212
L’ouvrage présente douze contributions sur les enjeux de plusieurs pratiques d’évaluation dans l’enseignement et dans le monde professionnel. Il traite des objectifs, des modalités et des implications de différents dispositifs utilisés aujourd’hui dans le cadre de l’apprentissage, de la formation et de l’administration. La première partie propose une analyse des dispositifs pour l’évaluation des apprenants dans l’enseignement des langues étrangères. La seconde partie est centrée sur la définition et la déclinaison des compétences, objet de l’évaluation et moyen d’évaluer. L’ouvrage s’appuie sur la préface d’un expert en la matière et une riche bibliographie.
À l’heure où une large dynamique de transformation pédagogique s’engage dans l’enseignement supérieur en cohérence avec les attendus du monde socio-professionnel, la question de l’évaluation des connaissances et des compétences est plus que jamais d’actualité. Pourquoi et comment modifier nos pratiques d’évaluation ? Cet ouvrage, coordonné par trois enseignants-chercheurs d’Aix-Marseille université, est susceptible d’intéresser un large public de praticiens évaluateurs : enseignants-chercheurs, enseignants et cadres du secteur public. La première partie est centrée sur l’évaluation dans l’apprentissage des langues, la seconde partie s’articule autour de l’évaluation des compétences. Le lecteur pourra comprendre les nouveaux enjeux de l’évaluation et découvrir des pratiques diverses, intimement liées aux contextes dans lesquels elles sont développées. L’ouvrage n’a pas la prétention de délivrer des recettes miracles, mais bien celle de développer chez le lecteur une approche critique de ses propres pratiques au regard d’une pluralité de situations tant académiques que professionnelles.
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En cette fin du mois d’août, pour mettre joliment les tomates du jardin ou autres en valeur je les dispose dans un saladier en châtaignier que j’ai eu le plaisir de découvrir grâce à Le Tos Art.
Le Tos Art, tient quel nom peu commun et orignal, vous ne trouvez pas ?
Avant de vous expliquer l’histoire de cette expression, laissez-moi vous présenter qui est aux commandes.
Il y a Maëva et son papa Christian, originaires des Cévennes, territoire auquel ils sont très attachés.
Ce sont tous deux de réels passionnés par le bois, cette matière noble, naturelle et chaleureuse par excellence.
Chez eux, le bois occupe une place particulière, de nombreux meubles ou autres objets sont en bois, c’est une famille de bricoleurs dans l’âme.
Maëva me confie qu’ils préfèrent fabriquer quelque chose de leurs mains plutôt que de l’acheter.
D’aussi petite qu’elle puisse se souvenir, elle voit son père réaliser des pièces en bois parfois importantes comme des mezzanines pour les chambres à coucher, divers meubles, des cabanes pour profiter d’être dehors et jouer à se construire des histoires, la cabane en bois fait partie également de mes souvenirs d’enfance et mes enfants ont la leur aussi qu’ils se transmettent avec quelques réparations car le bois craint les aléas du temps.
Selon Maeva, son papa sait tout faire avec du bois, on sent pleinement même par écrit l’admiration de la jeune femme pour lui, cela est très touchant.
Pour elle, c’est donc tout naturellement que son père s’est tourné vers la fabrication d’objets d’art d’usage au tour à bois, elle me précise qu’il s’est formé seul en autodidacte avec quelques livres ou en glanant par-ci par-là des informations sur Internet.
Au niveau des créations, les courbes au design simple et naturel sont privilégiées. Ils se sont rendus compte être très proches des réalisations japonaises sans avoir d’affinités ou d’attachements particuliers pour le pays du soleil levant.
Ils ont constaté des similitudes avec l’artisanat nippon dans la recherche de la simplicité par exemple et de rendre l’objet parfaitement usuel, pour pouvoir apprécier et appréhender un objet qui a ainsi du sens et une histoire.
Pourquoi le bois ?
Le bois est la matière idéale pour pouvoir retranscrire toute cette philosophie à la fois simple, épurée et qui demande en même temps patience et savoir-faire.
Pour moi on ne maîtrise pas le bois, on l’apprivoise et parfois il ne se laisse pas faire comme on l’aurait souhaité.
C’est une matière pour moi noble car elle est nécessite une réelle attention, de la dextérité, de l’écoute. Il faut savoir l’appréhender, la comprendre dès l’état brut.
D’ailleurs le bois, sur pied, raconte son histoire grâce à ses cernes. Savez-vous d’ailleurs que l’étude des cernes se pratique en Histoire, cette discipline s’appelle la dendrochronologie, elle permet d’étudier en fonction de l’espacement des courbes des cernes les années qui ont subi des sécheresses et bien d’autres choses encore mais revenons à notre sujet.
Encore une fois ma passion pour l’Histoire est visible.
Le Tos Art a aussi son histoire.
C’est une expression cévenole, un patois local, Tos signifie le gros morceau de bois que l’on va récupérer brut pour le travailler, le façonner pour donner vie à un objet, un objet d’art, d’où le Tos Art. Les tos sont donc ramassés au gré des promenades, de découvertes fortuites dans les forêts en se disant qu’ils pourraient bien donner quelque chose.
Père et fille conçoivent donc des objets beaux et bons pour la planète et pour la personne qui aura la chance d’en acquérir.
Ce sont des objets totalement uniques, singuliers qui sont le reflet d’une passion sans limite pour cette matière naturellement belle qu’est le bois et d’un savoir-faire impressionnant. Fruits également d’une belle entente et d’une belle coopération !
Et si je vous présentais mon bol zébré !
Le bol zébré en châtaignier que j’ai reçu en est la preuve formelle. Regardez à travers les photos comme cet objet respire et dégage une simplicité bienveillante et exprime toute la beauté que la nature nous offre.
Le châtaignier est un bois qui n’a pas été choisi au hasard, c’est une essence de bois que l’on peut qualifier d’endémique dans les Cévennes, il y est très présent.
Il montre parfaitement l’encrage de Maeva et de son père à leur terroir, un attachement qui se rend visible, se concrétise dans leurs créations artisanales.
D’ailleurs de par son histoire, le châtaignier est un pilier économique, social et culturel du patrimoine des Cévennes, c’est un arbre emblématique qui grâce à ses fruits a permis au terroir cévenole d’éviter la famine récurrente au 19ème, il est également surnommé l’arbre à pain pour la farine de châtaigne.
De cette façon on comprend aisément l’attachement de nos artisans à cette essence d’arbre qui fait partie intégrante de leur histoire.
Le bol que j’ai eu la chance de recevoir possède des dimensions généreuses. En haut, il fait quasi 20 cm de diamètre pour une hauteur de 8 cm.
Selon mon avis, deux, voire plus, utilisations sont possibles, il est parfait pour une portion donc pour une personne lors d’un petit déjeuner à base de céréales, yaourt maison et fruits frais ou d’un repas avec une salade composée avec des légumes du jardin comme celles que nous avons découvert avec ma petite saladerie maison qui est devenue ma bible.
Le saladier peut également servir pour une salade en guise d’accompagnement. Voilà pour la partie culinaire.
Vous avez vu comme il est magnifique, en écrivant l’article, je ne me lasse par de le regarder, non de le contempler.
J’adore son aspect, celle de ses cernes, il est visuellement magnifique.
Depuis quelques mois, j’épure totalement la décoration de mon intérieur, il fait merveille sur mon enfilade, il correspond totalement à cette recherche d’une déco simple, sobre et plus orientée nature.
En plus d’être hyper pratique, il est magnifique !
C’est un objet de déco certes mais qui a aussi une réelle utilité, concilier les deux est un avantage, un atout indéniable pour un objet et mon bol en châtaignier remplit le cahier des charges, toutes les cases sont cochées, ses compétences sont donc validées à cent pour cent.
Vous avez envie de voir davantage de créations le Tos Art, pas de souci, je vous conseille et vous encourage à vous rendre sur leur boutique Esty, je vous ai également glissé au début de l’article le lien direct vers un bol en châtaignier comme le mien mais pas tout à fait pareil car chaque article tourné est un exemplaire unique.
N’hésitez à pas faire un petit tour sur leur Facebook et pourquoi pas liker les pages.
J’espère en tout cas sincèrement vous avoir donné l’envie de vous y rendre !
Il m’est à présent offert l’opportunité de remercier chaleureusement Le Tos Art, en les personnes de Maeva et Christian pour la belle découverte et leur confiance.
Photo des créations Le Tos Art :
"Produit Reçu Gracieusement par Le Tos Art"
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Santé – Alzheimer : Une équipe de chercheurs de la Northwestern University et de l’Université de l’Illinois … a présenté une sonde d’imagerie cérébrale conçue pour détecter les prémisses de la terrible maladie d’Alzheimer.
Qu’est-ce que cela va changer? Aucun scanner ne peut détecter – pour l’heure – la fameuse protéine amyloïde responsable de la maladie… sauf lorsque celle-ci s’est suffisamment liée à ses homologues pour former de grandes plaques.
Ainsi les scientifiques espèrent vivement que leur sonde puisse dénicher les coupables le plus tôt possible comme c’est déjà le cas en laboratoire.
Cette sonde sera transmise via un spray nasal.
«Pouvoir détecter la MA encore plus tôt, avant même que les symptômes ne se manifestent, est une condition essentielle si nous souhaitons développer des traitements qui ralentissent ou stoppent les changements cérébraux pendant la maladie. Nos études sur des souris viennent déjà le confirmer», explique le modérateur de la conférence de presse, Monsieur Sam Gandy, doctorant et licencié de la Faculté de médecine du Mont Sinaï à New York.
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Pour aller plus loin : http://www.sfn.org/am2012/
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Tous les élèves des classes de première ont participé à une information sur le module « Information » de Parcoursup. L’orientation post bac ne se fait pas à la fin de la classe de terminale mais bien plus tôt pour avoir le temps de
Il n’y a pas d’extrait, car cette publication est protégée.
L’enseignement d’arts plastiques est proposé à tous les élèves dès l’entrée en classe de seconde. Seconde En classe de seconde, l’élève peut suivre : – l’option Arts plastiques facultatif (3h hebdomadaires) : Cet enseignement est, en quelque sorte, la « porte d’entrée » du cursus d’arts
Le conseil d’administration du lycée Malherbe réunit le mardi 17 décembre a validé une nouvelle organisation pour les réunions de parents des classes de première. Une première réunion va vous permettre de rencontrer des enseignants du tronc commun de la classe de
Ce site interactif édité par l’ONISEP permet aux élèves de seconde de tester leurs choix d’enseignements de spécialité dans la voie générale. Attention: Tous les enseignements de spécialités présentés ne sont pas possibles au lycée Malherbe. http://www.horizons2021.fr/
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Né en 1901 à Fougerolles-du-Plessis, mort en 1987, Marin-Marie était tout à la fois peintre de la Marine (à partir de 1934), navigateur solitaire et écrivain maritime. Il effectue son service militaire sur le Pourquoi pas ? du Commandant Charcot, avec lequel il se lie d’amitié.
De son vrai nom Paul Marin Durand Couppel de Saint-Front, il fait la traversée Douarnenez-New York en solitaire sur Winibelle II, en 1933. Au cours de cette traversée, il expérimente les trinquettes jumelles pour naviguer sans barrer. Il a également traverseé l’atlantique dans le sens Ouest-Est en solitaire sur sa petite vedette à moteur, Arielle, en 1936, et en 19 jours.
Amoureux des Iles Chausey, il a toujours considéré celles-ci comme son port d’attache. Winibelle II est le premier voilier de plaisance à avoir été classé Monument historique en 1984. Racheté en 1995 par un petit-fils de Marin-Marie il a été entièrement remis dans son état d’origine et navigue régulièrement aujourd’hui dans l’archipel.
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Après ses Ardennes natales, après notre belle Provence, c'est sur la côte atlantique, à Arcachon, que nous entraîne Françoise Bourdon avec ce nouveau roman "La maison du Cap" paru aux Presses de la Cité dans ma chère collection des Terres de France.
C'est dans une bicoque de l'arrière-pays, entre les bois encore sauvages et pas très loin du bassin et de la ville en devenir d'Arcachon que grandit Léonie, dans cette première moitié du XIXe siècle. Léonie est la première fille et deuxième enfant d'Albert, résinier, et de son épouse, l’acariâtre Rose qui n'a d'affection que pour son fils aîné, Auguste, et méprise souverainement ses filles Léonie et la fragile Eugénie. Sa méchanceté maternelle ne lui fait-elle pas pousser Léonie dans le feu de la cheminée familiale, un jour d'énervement? Et ne prédit-elle pas, plus tard, à sa fille désormais mariée à Pierre et mère de trois enfants, que Léonie sera malheureuse toute sa vie ainsi que sa dernière fille-née, en l'occurrence Margot? Et de fait, malheureuse d'être la fille d'une telle femme, Léonie l'est. Mais heureuse avec son Pierre, pêcheur de son état, Léonie le devient aussi, bonheur renforcé par les naissances successives de leurs trois enfants. Mais bonheur de courte durée puisque Pierre se noie dans cet océan alors que Margot n'est encore qu'un bébé et que Léonie n'a d'autre solution pour nourrir sa famille que de reprendre le métier de son père et devenir, à son tour, résinière dans ces bois qu'elle affectionne tellement.
Sur cette base, le décor du nouveau roman de Françoise Bourdon est planté. En effet, à partir de cette année 1849 jusqu'à son épilogue en 2000, l'auteur va nous conter une merveilleuse, une étonnante, une extraordinaire saga dans laquelle les femmes ont la part belle. Ce qui n'est pas pour me déplaire, bien au contraire! Et de Léonie et sa vie honnête de misère et de pauvreté à Violette, cinq générations de femmes, cinq destinées, cinq parcours se mêlent, s'emmêlent, s'assemblent, se complètent, se disputent, se déchirent parfois mais toujours s'aiment et se respectent, pour notre plus grand bonheur de lecteur. Avec en point de mire, en point de repère, cette fameuse maison du Cap qui donne son nom à ce magnifique roman.
Petit flash-back. Léonie est la première de cette grande lignée de femmes courageuses, battantes, de femmes fortes et volontaires. Contrairement à sa fille aînée, Marie, sa cadette, Margot, refuse cette pauvreté et ne pense qu'à se hisser et accédet à une meilleure place au sein de la société. Ainsi, pas à pas, marche après marche, au gré de quelques rencontres, elle va finir par ouvrir et tenir sa propre pension de famille où elle hébergera de riches curistes pratiquement jusqu'à la fin de sa longue vie. C'est par elle et pour elle que son amant James Desormeaux, jeune architecte de la bonne bourgeoisie d'Arcachon, construit la maison du Cap où il souhaite voir vivre Margot et leur fille illégitime, Charlotte. Et c'est avec elle, Margot, toujours présente, que l'on va suivre les destins et les chemins empruntés successivement par Charlotte d'abord, peintre photographe, par sa fille Dorothée ensuite, passionnée d'aviation et aviatrice effectuant de dangereux vols pendant la Première Guerre mondiale, puis par Violette enfin, fille de Dorothée, infirmière comme sa mère et engagée à son tour dans la Résistance à Arcachon et son bassin au cours du Deuxième Conflit mondial. Et toujours sous le regard tour à tour complice, dédaigneux, affectueux, ou même dépassé, de Margot. Et toujours avec cette maison du Cap vécue comme un refuge, quand tout va mal, ou comme un havre de paix bienvenu quand l'esprit se veut plus festif et joyeux.
Cinq vies. Cinq destins différents. Cinq femmes de caractère. Et un roman bouleversant, une saga passionnante. C'est ce que nous offre Françoise Bourdon avec une générosité d'écriture qui nous surprend, nous berce, nous câline, nous emporte et nous fait partager ces vies comme autant de cadeaux à chaque fois. Avec cette maison du Cap, on vibre, on s'enflamme, on s'émeut, on s'indigne, on pleure de temps en temps, on rit aussi. Bref on vit. Et on freine, on retient sa lecture pour rester encore un peu, juste un peu, en compagnie de Charlotte, avec Violette, pour ne pas refermer ce livre trop tôt.
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Les programmes suivants (ou les versions subséquentes) sont requis pour l'installation d'IMS DEDB Fast Recovery :
Solution consolidée pour la sauvegarde et la reprise des fichiers IMS
IMS Database Utility Solution for z/OS
Trouvez rapidement des réponses dans la documentation produit IBM.
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Géomètre de formation, Luigi Ghirri commence à photographier durant le week-end au début des années 1970, arpentant les rues, places et faubourgs de Modène, échafaudant des projets et des thématiques. Il pose sur les signes du monde extérieur un regard attentionné et affectueux en observant, sans les commenter ouvertement, les modifications apportées par l’homme au paysage et à l’habitat de sa province d’origine, l’Émilie-Romagne, baromètre d’un vernaculaire local exposé à l’avènement de nouvelles formes d’habitat, de loisirs et de publicité.
« Je m’intéresse à l’architecture éphémère, à l’univers de la province, aux objets considérés comme de mauvais goût, kitsch, mais qui, pour moi, ne l’ont jamais été, aux objets chargés de désirs, de rêves, de souvenirs collectifs […] fenêtres, miroirs, étoiles, palmiers, atlas, globes, livres, musées et êtres humains vus par l’image. »
Ghirri
« une grande aventure dans le monde de la pensée et du regard, un grand jouet magique qui réussit à faire coïncider miraculeusement notre connaissance adulte et le fabuleux monde de l’enfance, un voyage continu dans le grand et le petit, dans les variations à travers le règne des illusions et des apparences, des labyrinthes et des miroirs, de la multitude et de la simulation. »
A l'image de la série Infinito, variation sur le ciel, ses couleurs, ses textures, un champ infini et insurpassable.
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Au cours de ce travail de recherche, nous étions davantage des futures orthophonistes que des étudiantes. L’élaboration et la mise en place de notre outil méthodologique nous a permis de mettre en oeuvre différentes compétences.
L’acquisition d’un savoir-faire : adapter du matériel non spécifiquement orthophonique ; éprouver une rééducation sur du long terme ; ajuster nos objectifs ; rendre compte de la progression à quelqu’un (ici notre binôme) ; comparer des résultats de bilans, rendre compte d’une évolution ou pas.
L’acquisition d’un savoir-être : évoluer avec les patients dans une structure de prise en charge, créer et maintenir du lien avec les différents intervenants ; créer une relation de confiance avec le patient ; s’adapter à la dynamique du patient et aux difficultés qu’il rencontre dans l’instant présent ; percevoir l’accompagnement orthophonique dans un tout : savoir ne pas imposer sa séance, écouter, s’ajuster.
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L'envie est la douleur qui cause la prospérité des autres. Aristote
Les envieux sont ceux qui souffrent pour le bien qu'ils voient qui a touché d'autres hommes dans la chance. Rejets
- Carlos se décrit dans un intérieur comme une personne envieuse mais évidemment avec ses amis il montre le contraire.
- Alexandra, espionne sa voisine Lorena qui a acheté une nouvelle voiture et chaque fois qu'elle arrive et la salue, Alexandra sent son estomac tourner car elle n'a pas changé de voiture depuis 5 ans.
- Roberto et Alondra chaque fois qu'ils se promènent avec leur fils, ils mettent une amulette (œil de cerf) pour le protéger des envieux et qu'il ne tombe pas malade.
- Violeta savait que Pearl a un nouveau petit ami qui la traite comme une princesse, dans ses pensées les plus abjectes, elle la déteste parce qu'elle n'a pas pu trouver sa meilleure moitié, bien qu'elle soit une bonne fille.
- Ricardo est tombé malade et ne sait pas exactement ce qu'il a, chaque fois qu'il va chez le médecin, il voit des gens sourire et se fâche quand ils lui sourient parce qu'il envie la santé des autres et que la douleur ne le laisse pas vivre pleinement, de jour comme de nuit. .
- José travaille toute la journée et n'est pas parti en vacances depuis plus d'un an, il a à peine trouvé Luis qui lui a dit qu'il avait reçu un héritage de son grand-père et cela lui permettra de voyager en Europe pendant un mois complet, ce qui a rendu José malade de courage et pense: "putain Luis, quelle chance il a et ne travaille même pas."
Dans la pratique de la psychologie aujourd'hui, il est impossible d'analyser certains comportements dans la pureté de notre propre discipline, c'est pourquoi il est de plus en plus courant de trouver des études où différentes spécialités se chevauchent pour expliquer un seul sujet, le cas de L'envie ne fait pas exception, j'appelle cette interaction système.
Juste cette interaction des systèmes fait pour certains auteurs, l'envie est une émotion, pour d'autres un sentiment, un comportement, un trait de personnalité ou encore une série de déséquilibres de messagers chimiques: sérotonine, norépinéphrine, coristisol, dopamine et plus encore.
Le contenu
- 1 Qu'est-ce que l'envie?
- 2 Définitions d'Envy
- 3 Qu'envions-nous?
- 4 Pourquoi envions-nous?
- 5 Comment surmonter l'envie?
- 6 La chimie de l'envie?
- 7 Envie son origine dans les émotions
- 8 Le point de vue de l'économie
- 9 Émotions positives contre les émotions négatives
Qu'est-ce que l'envie?
C'est une façon de vivre une émotion négative (colère, ressentiment, colère, exaspération, indignation, agacement, irritabilité, hostilité, regret, mélancolie, pessimisme, chagrin, apitoiement sur soi, découragement, désespoir) qui se transforme en sentiments puis en pensées désagréables. Il y a ceux qui considèrent l'envie comme un trait de personnalité (Taylor, 1988).
Dans les cas les plus graves où une émotion négative est ressentie, elle peut conduire à des cas pathologiques comme le souligne Goleman (1977): l'extrême colère se transforme en violence pathologique et en haine; tristesse dans la dépression sévère et peur dans la phobie ou la panique. L'envie est destructrice et sans contrôle, elle peut même atteindre le meurtre.
Une personne envieuse est incapable d'être charitable, est malveillante, injuste, hostile et agit avec ressentiment.
C'est le mauvais œil du temps de nos grands-parents, car qui possédait une certaine qualité ou qui était envié et une forme de protection ou d'amulette, même de nos jours au Mexique, c'est de porter une graine appelée "œil de cerf" ou un ruban rouge
Définitions d'Envy
Les définitions de l'envie vont de l'universitaire au philosophique.
Envie: C'est un sentiment de mécontentement, de dégoût, pour la joie de l'autre. "Le morose et contracté, l'amer, ne peut souffrir le rire de celui qui est gai et satisfait, car il envie au final un sentiment dont il est incapable." (Dorsch, 1994)
De la psychanalyse, l'envie du pénis
Envie: Émotion négative de mécontentement et de ressentiment générée par le désir d'avoir les possessions, les attributs, les qualités ou les réalisations d'une autre personne. Contrairement à la jalousie, avec laquelle elle partage une certaine similitude et avec laquelle elle est souvent confondue, l'envie ne concerne que deux personnes, la personne envieuse et la personne enviée (Viveros, 2010).
Envie de l'utérus: Dans la théorie psychanalytique, l'envie que certains hommes ressentent pour la capacité de reproduction des femmes, qui est considérée comme un motif inconscient qui les conduit à les dénigrer (Viveros, 2010).
Envie (du latin invidia) est ce sentiment ou cet état mental dans lequel il y a de la douleur ou du malheur à ne pas posséder soi-même ce que l'autre a, qu'il s'agisse de biens, de qualités supérieures ou d'autres choses (wikipedia, 2012).
Melanie Klein (1988) définit l'envie comme le sentiment de colère que quelqu'un a et apprécie quelque chose de désirable, étant l'envie envieuse de l'enlever ou de la gâcher.
Kant (Kant, cité dans Borg, 1988) a fait référence à l'envie lorsqu'une personne voit le bien d'autrui dans la douleur, même s'il ne cause aucun préjudice à son propre bien.
Qu'envions-nous?
La joie, le bonheur, le plaisir, les qualités, les biens, les objectifs d'une autre personne, les gens autour de lui, les conditions de travail, son apparence, sa spiritualité, ses vêtements, son état de santé, son argent, la l'amour qu'ils ont, leurs compétences sociales, leur chance.
Et, nous nous considérons comme inférieurs, manquants, malheureux, parce que l'autre nous voyons mieux et parfois presque une personne parfaite ou avec les qualités ou la chance qui nous manquent.
De plus, nous supposons que l'autre personne possède ce que nous voulons et ne possédons pas ou que nous possédons en moins quantité ou qualité, cela nous fait nous sentir, en colère, triste, déprimé, désolé, découragé, désespéré, désespéré, et nous pensons qu'il a ce qu'il ne possède pas Il le mérite et nous n'avons pas ce qu'il a.
Par conséquent, l'autre, devient le concurrent ou le rival symbolique, même s'il ne sait pas, auquel nous assignons ce rôle est plus que suffisant.
Socialement, c'est quelque chose de négatif ou de mauvais, qui ne doit pas être ressenti, et quand il est ressenti, il ne doit pas se manifester, dans le pire des pronostics, il est nié, caché ou ment à propos de l'avoir.
Pourquoi envions-nous?
Parce que lorsque nous nous comparons socialement avec les autres, nos carences ou nos carences surviennent, car il y a toujours quelqu'un de meilleur que nous. Ainsi, socialement, la soi-disant «envie du bien» serait la même que «l'envie du mal», car il s'agit essentiellement d'un comportement négatif.
Selon Parrot (1991) Lors d'un épisode d'envie les caractéristiques suivantes sont présentées:
- Désir de ce que l'autre a, désire frustré,
- Infériorité: tristesse de ses propres déficiences ou infériorité par rapport à la personne enviée; angoisse pour son statut; désespérer de la possibilité de ne pas avoir ce que la personne enviée a,
- Ressentiment centré sur l'agent: ressentiment envers une personne ou un groupe spécifique; n'aime pas sa supériorité; la colère et la haine envers ceux qui sont tenus pour responsables;
- Ressentiment mondial à l'égard de l'injustice des circonstances ou du destin;
- Blâme pour avoir ressenti de la mauvaise volonté envers les enviés; croire que les rancunes sont mauvaises, et
- Admiration, émulation de l'envié ou identification à l'envié.
Comment surmonter l'envie?
En terrain dysfonctionnel, nous voulons être meilleurs que l'autre ou nous voulons ruiner la position d'avantage de l'autre. "Cher Père Noël: ne me fais pas perdre de poids, mais fais grossir mes amis."
La chimie de l'envie?
Chaque stimulus externe active dans notre corps toute une série de messagers chimiques qui modifient l'équilibre interne de notre être, ce qui affecte les cinq billions de cellules qui forment notre organisme.
Lorsque nous éprouvons de l'envie, notre corps génère: ressentiment, colère, ressentiment, refoulement des pensées et résistance à changer nos paradigmes, avec lui dans la circulation sanguine circule une hormone corrosive, connue sous le nom de Cortisol, l'hormone du stress.
Pour équilibrer nos pensées, nous devons générer de l'ocytocine et de la sérotonine, et nous pouvons y parvenir naturellement en ayant: la relaxation, le repos, le sourire, le sexe, le massage, les bains de soleil, la vie avec des êtres chers.
Aujourd'hui, nous savons que les centres où les émotions (amygdales cérébrales) et l'ocytocine (hypothalamus et hypophyse) se produisent, ont une production plus élevée de cette dernière hormone, ont un effet analgésique qui atténue la douleur physique et émotionnelle, réduit la pression artérielle , réduit la tension musculaire, réduit la sensation d'anxiété et réduit ainsi l'appétit associé au stress et améliore la cicatrisation des plaies, entre autres avantages (Uvnäs, 2000).
L'envie trouve son origine dans les émotions
Les émotions ont été étudiées pendant de nombreuses années, cependant, Charles Darwin a été l'un des pionniers de la science en 1872, avec son travail: l'expression des émotions chez l'homme et les animaux. Et, il a conclu que les émotions n'étaient ni bonnes ni mauvaises, mais seulement un comportement adaptatif.
Plus tard, en 1921, Wilhem Wundt, il publie "Le langage des gestes" et conclut que les gestes sont un miroir des émotions et du monde intérieur de l'interlocuteur.
À l'heure actuelle, grâce aux techniques de neuroimagerie (tomographie par émission de positons et imagerie par résonance magnétique), nous en savons encore plus à leur sujet. Ils font partie d'un tout qui implique une séquence simple et en même temps complexe: émotion, sentiment, pensée et action ou comportement.
Ainsi, les émotions sont des phénomènes psychophysiologiques qui représentent des façons de s'adapter à certains stimuli environnementaux ou d'autostimulation (Emotion, 2011). Selon Paul Ekman (2012), ils sont universels.
Le neuroscientifique Antonio Damasio, de l'Université de Californie du Sud (UCLA) est parvenu aux conclusions suivantes: Les émotions sont un ensemble complexe de réponses chimiques et neuronales qui forment un modèle distinctif. Ces réponses sont produites par le cerveau lorsqu'il détecte un stimulus émotionnellement compétent, c'est-à-dire lorsque l'objet ou l'événement, réel ou mentalement mémorisé, déclenche une émotion et les réponses automatiques correspondantes. Les réponses proviennent à la fois des mécanismes innés du cerveau (émotions primaires) et des répertoires comportementaux appris au fil du temps (émotions secondaires). Les sentiments, d'autre part, sont l'évaluation consciente que nous faisons de la perception de notre état corporel lors d'une réponse émotionnelle. Les sentiments sont des objets mentaux conscients comme ceux qui ont déclenché l'émotion (images, sons, perceptions physiques ...). Les émotions qui ne sont pas perçues comme des sentiments sont inconscientes et peuvent cependant avoir un effet sur nos comportements (Monge, 2009).
Le point de vue de l'économie
En économie, l'envie est liée à la prise de décision des personnes, car elles sont guidées non seulement par leur propre avantage mais aussi par les gains matériels que peuvent avoir d'autres individus dans leur réseau social.
De ce point de vue, L'envie a une origine évolutive, selon le professeur Antonio Cabrales du Département d'économie de l'Université Carlos III de Madrid, le concept d'envie utilisé dans l'étude est ce que l'on appelle en termes techniques «l'aversion aux inégalités». C'est-à-dire que les individus sont prêts à dépenser des ressources de toutes sortes (monétaires, efforts, etc.) afin de réduire les différences de bien-être matériel par rapport aux autres. L'envie est née à la suite d'une compétition pour des ressources limitées, et nous l'avons codée dans les gènes "(Envy, 2010).
Émotions positives contre les émotions négatives
Nous divisons généralement uniquement à des fins pédagogiques à émotions positives et négatives.
Selon Izard (1971), le émotions positives ils sont: joie, amour, bonheur et négatifs, ils le sont; Peur, colère et tristesse. En général, les émotions positives ont tendance à améliorer le sentiment de bien-être et à favoriser des relations constructives avec les autres. Les émotions négatives tendent à diminuer le sentiment de bien-être et à perturber les relations avec les autres.
Les émotions positives génèrent des comportements de: encouragement, amour, appréciation, amitié et rapprochement dans l'interaction avec les autres.
Suggestions de changement
Apprenez à vivre et à profiter de ce que vous voulez et de ce que vous avez.
Reconnaissez que les réalisations des autres sont généralement le produit de leurs efforts, bien qu'il y ait des gens qui obtiennent plus facilement leurs satisfactions et leurs objectifs, chacun de nous est différent et vous devez travailler pour le vôtre.
Apprenez des autres quand ils nous montrent leurs aspects négatifs, car il est probable qu'ils serviront finalement de miroir et nous aurons également ces caractéristiques.
Pour en savoir plus, ne manquez pas ce livre de Juan Antonio Barrera
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75% des collégiens du département sensibilisés à l'Intelligence Artificielle sous 3 ans !
Charles Ange Ginésy, Président du Conseil départemental des Alpes-Maritimes, Président du Syndicat Mixte de la Maison de l'Intelligence Artificielle (S2MIA), aux côtés de Richard Laganier, Recteur de l'Académie de Nice, de Jeanick Brisswalter, Président d'Université Côte d'Azur, Aurélie Philippe, Déléguée régionale du CNRS Côte d'Azur, de Maureen Clerc, Directrice du centre de recherche INRIA Sophia Antipolis Méditerranée, des Conseillers départementaux, et du comité d'experts SMART Deal, a présenté le projet Arc-en-Ciel.
75% des collégiens du département sensibilisés à l’IA sous 3 ans dès cette rentrée 2020-2021 : une première en France !
De façon complètement inédite dans notre pays, un collège d’acteurs institutionnels (le Département, la MIA…), académiques (Délégation Académique au numérique éducatif (DANE), Délégation Académique à l’éducation artistique et culturelle (DAAC), UCA/3IA) et industriels (CCI Nice Côte d’Azur, ICAIR, Cluster IA, WHAT06…) se rassemblent autour du projet Arc-en-Ciel afin que l’ensemble de l’écosystème IA du territoire et les acteurs de l’éducation travaillent à la réussite de ce projet, sous le leadership de Marco Landi, Président du comité d’experts du SMART Deal.
Le projet Arc en Ciel présente 3 axes importants :
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Être capable de reconnaître l’IA et son influence afin d’être proactif en tant qu’utilisateur et citoyen, et ainsi apprendre que :
- Les ordinateurs perçoivent le monde en utilisant des capteurs (computer vision, reconnaissance vocale…) d’où la nature différente de leur intelligence et ses limites
- Ces ordinateurs utilisent des représentations du monde sur lesquelles ils se calquent pour « raisonner » avec les limites induites (algorithmes, biais…)
- Ils peuvent apprendre eux aussi grâce à la data (machine learning) mais avec les limites induites par les biais ( comme le fait que le résultat d'un algorithme ne soit pas neutre, loyal ou équitable) là aussi dans l’entraînement des IA
- Les IA ont besoin d’une multitude de connaissances pour interagir « naturellement » avec les humains (comme les assistants digitaux, chatbots, robots…), avec là encore, des limites (conscience, émotions, éthique, transparence…)
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Avoir l’opportunité d’expérimenter l’IA, de l’utiliser (usages concrets, résolution de problèmes simples pour commencer)
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Avoir la possibilité d’apprendre à construire des IA notamment pour les jeunes afin de peut-être susciter des vocations, et leur offrir des parcours d’études clairs pour continuer dans cette direction
Concrètement, plusieurs formats d’apprentissage vont être proposés :
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des cours et MOOCs, webinaires, disponibles en ligne ou dans la MIA ou dans des tiers lieux (Micro-Folies, Fab Lab du collège Bertone…) rassemblant des contenus préexistants ou créés en lien avec les partenaires et l’écosystème, validés par l’Académie de Nice.
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Des activités et des parcours pédagogiques dans la MIA ou virtuels par les partenaires ou créés par ces derniers.
Cette action comprend également la création d’attestations et de certificats valorisant la participation des collégiens.
L’objectif de ce projet est d’amener également à l’acculturation des professeurs aux sujets abordés par Arc-en-ciel, la médiation scientifique dispensée dans les collèges, la MIA et d’autres tiers lieux, et le partage des usages concrets des IA par les instituts, industries et entreprises locales en s’appuyant sur les acteurs de l’écosystème.
D’autres outils vont venir accompagner ces premières activités, tels qu’une mallette pédagogique mobile qui pourra être acheminée dans le moyen et haut pays afin d’amener les ateliers et la découverte de l’IA au plus près des vallées.
Le projet Arc en Ciel poursuit pleinement le travail mené par Charles Ange Ginésy depuis deux ans déjà sur la vision « SMART EDUCATION » et l’intégration du numérique dans les collèges.
Pour Charles Ange Ginésy, Président du Conseil départemental des Alpes-Maritimes, Président du S2MIA : « Il s’agit d’une nouvelle étape dans la construction du SMART Deal : après la FabEcole au collège Bertone, après la MIA, après OTESIA, nous lançons aujourd’hui un nouveau projet éducatif et pédagogique pour nos jeunes collégiens.
Je tiens à remercier tous nos partenaires, l’Université Côte d’Azur, le Rectorat, le CNRS, l’INRIA, qui nous ont suivi dans ce projet ambitieux, une première en France ! Cet engagement de toutes les parties montre à quel point nous nous sentons investis du devoir de préparer nos enfants à l’avenir et témoigne aussi de l’enthousiasme de notre écosystème pour le projet. Nous avons la volonté partagée de leur faire découvrir, comprendre et expérimenter les IA afin de peut-être susciter des vocations. Il est essentiel de comprendre l’IA car c’est se donner les moyens de comprendre l’avenir et de saisir de nouvelles opportunités.
D’ici 1 mois sera proposée l’option Innovation du 12 au 16 octobre prochain à la MIA. Plusieurs classes de collèges viendront découvrir différents ateliers mis en place sur site.
En s’appropriant l’Intelligence Artificielle et grâce à notre accompagnement, la future génération se donne la possibilité de construire leur avenir mais aussi d’acquérir les outils pour devenir les bâtisseurs éclairés de la future Cité de l’IA. »
Richard Laganier, Recteur de l’Académie de Nice : « Je suis très heureux d’être à vos côtés dans cette toute nouvelle Maison de l’Intelligence Artificielle que le Président Charles Ange Ginésy a souhaité de tous ses vœux. Des vœux pour assurer la diffusion auprès d’un large public, et notamment pour les collégiens, des recherches de pointe et des éléments de compréhension associés à ces recherches portées haut et fort par nos universités, nos organismes de recherche à travers le label 3IA.
Dans un moment où le numérique nous accompagne de manière de plus en plus importante et au lendemain de la crise que nous venons de traverser, j’ai souhaité que l’Académie de Nice soit pleinement associée à ce projet. Il est nécessaire aujourd’hui que nous portions un regard attentif au fait que si le numérique est un outil de formation nous devons impérativement former nos collégiens, mais plus largement l’ensemble des élèves, au numérique et à ses applications. Et la pointe du numérique quelque part est l’IA qui est de plus en plus présent dans nos vies, dans nos univers domestiques et professionnels.
Il est de notre responsabilité d’accompagner les interrogations que l’IA entraine. Ces inquiétudes nous devons les combattre par la connaissance et cela nous devons le faire le plus tôt possible. Ces jeunes qui auront ces savoirs pourront les partager autour d’eux pour que cette IA soit intégrée par le plus grand nombre.
Nous travaillons pour qu’au sein de chaque collège il y ait un référent IA. Ce professeur assurera le lien avec la MIA pour faire connaître les ressources mises à disposition.
Je souhaite longue vie à ce projet, à cette maison et de manière plus large à notre collaboration autour de ces sujets de l’éducation qui nous sont chers ! »
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« L'homme doit être tout à fait sûr qu'à chaque instant Dieu le regarde du haut des cieux » Saint Benoît
Notre-Dame du bien mourir, priez pour nous.
Publié le 20 Août 2020
requiescat in pace
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" Me voici
comme un enfant qui apprend à marcher
dans les bras de ma petite Madone ,
je veux escalader ta montagne,
entre pétales et épines
pour atteindre un jour le sommet,
où il n'y a ni péché, ni souffrance
mais seulement Ton amour infini.
Me voici, me voilà. "
Matteo Farina.
"En fait, toute l'Église est redevable à Dom Antoine et aux moines de Fontgombault pour leur fidélité à la fois à la Règle de saint Benoît et au patrimoine liturgique latin. Les deux sont essentiels au renouveau de la vie de l'Église et au rétablissement de notre civilisation.
Que le Seigneur accorde à Dom Antoine la paix éternelle, la joie et une riche récompense pour sa fidèle administration.
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|DATE DE PUBLICATION||20/02/2020||TYPE DE CONTRAT||Titulaire, Contractuel|
|RECRUTEUR||CONSEIL DEPARTEMENTAL DE HAUTE SAVOIE||CATÉGORIE||B|
|LIEUX DE TRAVAIL|
Haute-Savoie
|SALAIRE|
Non communiqué
Employeur
Poste
Le département de la Haute-Savoie
Service Achats-Marchés – Unité Achats
Direction Adjointe Supports et Moyens
recrute par voie statutaire (mutation, intégration directe ou liste d’aptitude) ou par voie contractuelle (les non fonctionnaires peuvent candidater)
Un Acheteur /Gestionnaire d’achats (h/f) - Pôle bâtiments et moyens
Filière administrative – Catégorie B
Sous l’autorité directe de la Responsable de l’unité Achats, vous achetez les fournitures courantes et de prestation liées à la politique d’équipement des collèges publics et autres dossiers spécifiques transversaux.
Vos missions consistent à :
- Recenser, analyser et estimer les besoins en mobilier et matériel spécifique pour les 49 collèges du département en lien avec les chargés de site du PBM et les services du Pôle Education Jeunesse et Sports, y compris les besoins pour équiper un nouveau collège.
- Actualiser les référentiels.
- Elaborer et gérer des programmes d’équipement de la programmation à l’installation en adéquation avec les budgets affectés.
- Procéder au sourcing, à la mise au point des procédures de consultation, à la rédaction des CCTP, à l’analyse des offres, ainsi qu’aux négociations avec les fournisseurs.
- Procéder aux commandes de fournitures et de prestations.
- Assurer de la bonne exécution des contrats jusqu’au service fait.
- Elaborer et mettre à jour les tableaux de bord. Anticiper et programmer les achats liés à des travaux, des déménagements Travailler en lien avec les autres services du Pôle Bâtiments et Moyens afin d’anticiper.
- Mesurer et évaluer la performance des fournisseurs dans la satisfaction des besoins.
- Contribuer à l'élaboration des méthodes, outils d'analyse et indicateurs pertinents (tableaux de bord de suivi et d'analyse des achats, études de familles d'achat), nécessaires au montage des procédures de marchés.
- Contribuer à renseigner les données « achats » via les outils utilisés par l’unité .
- Contribuer à l’élaboration et à la mise en place de processus et d’outils transversaux liés à l’achat public.
- Suivre les tendances économiques, les évolutions en matière de développement durable, de normalisation des produits (sécurité, santé…), le sourcing des fournisseurs et des techniques.
Profil
Curieux, autonome et organisé, vous êtes capable de rendre des comptes, argumenter et convaincre. Vous détenez des connaissances des règles de la commande publique et des différentes procédures d’achats (consultation simple, MAPA, Accord-cadre). Une bonne maitrise des outils informatiques est souhaitée. Doté d’un bon relationnel, vous savez travailler en équipe et accompagner le changement auprès des services. Vous êtes de nature intuitive et êtes force de proposition.
Offres d’emploi similaires à Acheteur /Gestionnaire d’achats (h/f)
Chef de Police Municipale (H/F)
Titulaire | 31/07/2020 | VILLE DE BREUILLET
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Ingénieur.e responsable du service électricité h/f
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4. Étretat, Normandie
Musique : Hand Covers Bruise – Trent Reznor & Atticus Ross / The Social Network (OST)
— Quelle heure il est ? demande Julien.
La voix calme et posée tire Lyes de sa contemplation de la mer, que l’obscurité recouvre peu à peu. C’est le but, songe-t-il. Julien sait toujours quoi dire afin d’endiguer les chagrins quand ces derniers s’attardent. Dommage qu’il ne parvienne pas sécher ses propres larmes en plus de celles des autres.
Kathia consulte son téléphone et répond en même temps que Pierre :
— 21 h.
— Trop tard pour rester dehors.
Ce qui leur arrache un rire. Il y a entre eux deux une étonnante complicité, quelque chose qui ne devrait pas relier la première de la classe à celui qui a déjà été viré de deux établissements scolaires. Pierre tire une dernière taffe de sa cigarette avant de l’éteindre avec précaution contre la semelle de sa chaussure, puis il ajoute :
— Ça me fait mal de le dire mais on devrait faire demi-tour et trouver un hôtel pour la nuit. Les flics n’accepteront pas qu’on fasse du camping sauvage au milieu de nulle part, sans compter qu’on pourrait tomber malades nous aussi. On devrait rentrer.
La voix de la sagesse, que Lyes voudrait ignorer. Ils n’ont pas le choix, pourtant.
— Le Somm ne s’attrape pas comme ça, objecte-t-il.
— On ne sait pas. Même ton frère n’en était pas sûr. Et je n’ai pas envie de crever.
Bien sûr que non. Personne n’en a envie, et Lyes non plus. Il a beau fixer les vagues en espérant que le monde s’effondre là, maintenant, tout de suite, c’est parce qu’il veut vivre qu’il tenait à effectuer ce voyage. Parce qu’il devait déposer sa charge une fois parvenu à destination, dans le jardin envahi d’hortensias, et reprendre son existence comme avant.
Il ne comprend pas pourquoi ses amis le regardent comme s’ils attendaient sa décision. Lucas était le meneur, pas Lyes. Lui, il se contentait de suivre le mouvement parce que c’était plus facile. Il a organisé ce road-trip pour lui avant tout car il sait quelle place prennent les fantômes quand on les laisse faire ; les autres pourraient parfaitement l’abandonner sur cette plage et repartir à Orléans.
— Julien croit que tu vas accomplir un miracle et effacer sa peine, lui a dit Kathia la veille, alors qu’ils montaient la tente au milieu des champs. Et Pierre, lui… Il a vu ce que tu es capable de faire. Tu lui as rendu service, il te rend la pareille.
Lyes s’en doutait, mais le poids de la responsabilité qui s’est abattu sur lui l’a effrayé. Il aurait dû partir sans eux, traîner son propre boulet sans personne pour regarder.
— Et toi, tu es venue pourquoi ? a demandé Lyes à Kathia.
Elle a répondu avec son sourire timide, en baissant les yeux :
— Je ne voulais pas que tu sois tout seul devant lui.
À chacun sa peine, et sa raison de l’accompagner sous le soleil qui s’éteint, sous la menace d’une épidémie d’ampleur. Alors que la plupart des gens se confinent chez eux, terrifiés par cette épée de Damoclès dont ils ne distinguent pas entièrement les contours, eux quatre ont choisi de fuir leur vie vacillante à la recherche d’un fantôme. La fin du monde ne suffira pas à nous arrêter, riait Pierre. Malheureusement, si. Cela a fini par arriver.
Une vibration dans sa poche le surprend. Sa mère lui a envoyé plusieurs textos, les premiers il y a quelques heures ; Lyes ne les reçoit que maintenant à cause du réseau saturé.
S’il te plaît, dis-moi que tu vas bien. Je suis inquiète.
Ce dernier message, dont les mots pudiques débordent d’angoisse, lui serre le cœur.
— La fin du monde a gagné, soupire-t-il. D’accord, il est temps de rentrer.
Ses amis ne s’en rendent sûrement pas compte, mais Lyes ressent leur soulagement, comme s’ils avaient retenu leur souffle en attendant qu’il prenne sa décision. Non, vraiment, il n’apprécie pas de devoir choisir à leur place.
— Mon père a essayé de me joindre, dit alors Kathia. Mais je n’ai pas de réseau.
— Moi j’en ai, indique Julien.
Il lui tend son mobile, qu’elle accepte avec gratitude avant de s’éloigner pour passer son coup de fil. Lyes s’attend à ce que l’appel ne se déroule pas très bien.
— Ça fait deux jours qu’elle n’ose pas te dire de rentrer, révèle Pierre. Ce que Selim a raconté lui a fait peur et ses parents la harcèlent.
— Pourquoi elle n’a rien dit ?
— Parce qu’elle ne voulait pas tout gâcher.
La voix de Kathia s’élève dans le vent, mais Lyes ne saisit pas un mot de la conversation. Ce n’est pas la première fois que les parents de la jeune fille lui font des reproches ; soit elle s’en va trop loin, soit elle rentre trop tard… Ils l’empêchent de prendre son envol et cela lui pèse de plus en plus.
— Ils abusent, commente Julien.
Il allait ajouter quelque chose mais s’interrompt quand Pierre s’allume une autre cigarette.
— Ça te dit quelque chose, le tabagisme passif ? râle-t-il. Mes fringues vont encore sentir la clope.
Le réprimandé se contente de sourire, comme toujours, posant sur Julien ce regard attentif et doux que Lyes a déjà surpris des tas de fois. Si la fin du monde doit réellement survenir, comme Pierre aime en plaisanter, pourquoi met-il autant de temps à se déclarer ? Pourquoi attendre, alors qu’il sous-entend toujours qu’il sera trop tard à un moment donné ?
Parce que tu lui fais miroiter qu’il existe des moyens de se rattraper. Tu es la preuve vivante que ce qui est mort peut encore parler.
Lorsque Pierre a intégré leur classe, en première, il venait d’être placé dans une famille d’accueil pendant qu’on statue sur sa demande d’émancipation. Sa mère dépressive ne pouvait plus s’occuper de lui, et son père n’était quasiment jamais là, peu ravi de ce gamin qu’on lui a mis sur le dos. Il est mort sur un accident de chantier. Pierre n’éprouvait aucun regret à ce sujet, à part celui de ne pas avoir eu le temps de lui crier toute son amertume et son ressentiment quant à son absence. L’erreur que Lyes a commise était de lui avoir donné cette chance, parce que l’esprit de ce père défaillant était encore là, ancré sur Terre, qu’il ne parvenait pas à passer en raison de ses propres remords. Lyes a permis que cette conversation ait lieu alors qu’elle n’aurait pas dû.
Il a eu conscience d’avoir merdé sans comprendre pourquoi. L’émotion de Pierre était trop forte, trop confuse ; l’enjeu était trop important. Il s’en est ouvert à son frère, et ce dernier a simplement dit :
— Tu possèdes une magie qui va t’en faire voir de toutes les couleurs. Ne la laisse pas prendre le dessus, reste égoïste.
Depuis des années, Selim permet à des inconnus d’exorciser leur chagrin en retrouvant la trace de leurs disparus. Il se met à leur service, cherche l’empreinte des esprits et les raisons qui les poussent à s’attarder parmi les vivants, et les aide à partir. Lyes l’admire pour cela – surtout que Selim n’a jamais accepté un centime en échange de ce travail. La rencontre avec le père de Pierre a fait voler en éclats ses certitudes, car il a compris, ce jour-là, qu’il ne serait pas comme son frère, qu’il ne pourrait jamais faire autant de bien autour de lui.
Tu es l’un des deux seuls dévoreurs d’âmes de cette planète. Tu es bien plus fort que tous les médiums du monde réunis. C’est à double tranchant : à force de côtoyer les esprits, ils pourraient bien t’emporter. Ferme-toi. N’ouvre que rarement la porte et, quand tu t’y risques, prépare-toi.
À quoi peut bien servir un tel don s’il ne peut pas l’utiliser ? Lyes a suivi le conseil, pourtant, et a réussi à maintenir les fantômes à distance.
Jusqu’à ce que Lucas se tue en tombant d’une fenêtre, un soir de fête alcoolisée. Depuis, Lyes le cherche partout. Dans les couloirs du lycée, dans les rues qu’ils avaient l’habitude d’arpenter, dans le parc près de chez lui, où ils jouaient au basket. Dans les vagues devant lui, dans les ombres sur le sable, dans le silence de la nuit. Le soleil s’est éteint peu après la mort de Lucas, et Lyes leur en veut à tous les deux. Mais pas autant qu’il s’en veut à lui-même.
— On reviendra, dit Julien, le tirant de ses pensées. Quand tout ça sera fini, on terminera le voyage.
Julien et son calme, cette magie qui répare les fêlures sur le cœur. Lyes acquiesce, la gorge soudain serrée, incapable de répondre. Mais il n’a pas le temps de dire un mot car Kathia les rejoint à ce moment-là.
— Je leur ai promis de rentrer au plus vite, lâche-t-elle en se laissant tomber à genoux. J’en ai marre, je ne gagne jamais contre eux…
Elle balance son téléphone sur le sable comme si son contact la dégoûtait, puis se frotte les yeux pour en chasser des larmes naissantes.
— Ils ont essayé de joindre Selim mais ça ne répondait pas, ajoute-t-elle. Ils ont tenté chez Julien, aussi. Apparemment, le réseau est en rade à Orléans.
— Ne t’inquiète pas, on sera rentrés demain.
Kathia hoche la tête, mais cela ne semble pas l’apaiser pour autant.
— Mon père faisait comme s’il voulait me passer un savon et ça sonnait faux, fait-elle. Il avait l’air affolé. Il a dit aussi qu’on parlait du Somm dans les médias.
— Qu’est-ce qu’ils racontent ?
— C’est la panique partout, plein de routes seraient coupées, des supermarchés sont pillés, et on aurait entendu des coups de feu dans plusieurs villes.
La stupéfaction s’abat sur eux quatre. Lyes ne se doutait pas que l’épidémie de Somm prendrait une telle ampleur… Selim lui en avait parlé, mais il semblait penser que ça ne durerait pas.
Les nôtres sont sur le pont, l’affaire sera réglée en un rien de temps. Fais attention quand même, ce truc ne pardonne pas.
C’était il y a deux semaines, juste après la fébrilité qui s’était emparée du monde lorsqu’on a annoncé avoir découvert une preuve de la présence des esprits parmi nous. Lyes n’avait pas osé sortir de chez lui ces jours-là, il avait peur qu’on apprenne l’existence de son don et qu’on lui veuille du mal. Les choses se sont calmées, par chance, puis Selim est venu le prévenir : une étrange maladie sévissait, avec un taux de létalité élevé et rien pour l’enrayer. Une semaine plus tard, alors qu’ils étaient sur le départ, Selim l’a supplié de faire attention car de nouveaux cas avaient été détectés à Paris, et que la capitale allait être mise sous cloche pendant un temps. Personne n’était encore au courant… Selim n’était pas très chaud à l’idée que son petit frère parte en vadrouille, mais il en comprenait les raisons. C’est pour cela qu’il l’a couvert auprès de leurs parents.
— On sait si le Somm a contaminé d’autres villes que Paris ? demande Julien avec un rien de panique.
— Mon père ne m’a rien dit, mais je suppose que oui, si on décrète une quarantaine partout en France.
— Je vais poser la question à Selim, énonce Lyes. Avant, il faut qu’on bouge.
Ils se lèvent dans un même mouvement, puis quittent la plage en vitesse. Lyes ne peut s’empêcher d’admirer la mer une dernière fois quand ils atteignent la voiture. Juste un regard sur ce miroir désormais noir couvert de nuages. Il rêvait de voir cet endroit ; il a toujours adoré les falaises, qu’il s’imagine comme des armures, des citadelles dressées contre vents et marées. Lucas, lui, aimait les paysages des côtes bretonnes, les grèves et la mer aux mille nuances de bleus et de verts, les tempêtes, les lieux de naufrage. Voilà pourquoi cette étape, dans ce voyage inachevé.
— Tu veux que je conduise ? propose Pierre.
— Je veux bien, oui.
Lyes lui tend les clefs, puis prend place à l’arrière, à côté de Julien.
— J’ai trouvé un camping à dix kilomètres, dit Kathia, le nez dans son téléphone. Il n’est pas ouvert mais on pourra sans doute s’installer là.
Quelques minutes plus tard, les voilà lancés sur la route.
Le paysage défile, indifférent à la vague de terreur qui vient de s’abattre sur le pays. Pierre conduit prudemment ; même si les risques de croiser d’autres voitures dans le coin s’avèrent minces, il vaudrait mieux éviter de rencontrer la police ou les militaires. Ils dépassent des maisons le long de la voie. Les volets clos laissent passer la lumière, le signe que leurs occupants se calfeutrent chez eux ou qu’ils se préparent à un exode vers ailleurs le lendemain. Qu’est-ce qui serait le plus sage, entre rester chez soi ou s’éloigner des grandes villes ? Lyes se souvient d’avoir entendu son frère parler d’apparitions spontanées du Somm, mais c’était il y a quelques semaines maintenant. Les choses ont sans doute évolué.
Il remarque que Selim a essayé de le joindre plusieurs fois dans la journée. Malheureusement, Lyes ne peut pas rappeler à cause de la saturation du réseau, mais il peut encore accéder à Internet.
Il hésite. Que dire à Selim ? Par quoi commencer ? Après réflexion, il envoie simplement un « Désolé, je n’avais pas vu tes appels. Tout va bien ? » qui lui paraît assez hypocrite. Il n’a pas le temps de poser son téléphone que ce dernier se met à vibrer.
— C’est Selim, prévient-il ses amis.
Il prend l’appel en visio, et le visage fatigué de son frère apparaît, illuminé par l’écran de son ordinateur. Lyes est soulagé de le voir enfin.
— Comment tu vas ? demande Selim. Vous êtes où ?
— Tout va bien. On est toujours à Étretat.
— OK, tant mieux. Vous avez appris pour la quarantaine ?
— On l’a entendu à la radio. Ne t’inquiète pas, on va se poser quelque part pendant la nuit et on rentre demain.
Selim ne paraît pas convaincu par cette annonce ; du moins, quelque chose semble le chiffonner, à en croire ses sourcils froncés. Ses yeux sont rivés sur un autre écran.
— Vous êtes où exactement ? interroge-t-il.
— Juste avant Goderville, lance Pierre.
— D’accord. Tu penses pouvoir continuer jusqu’à Rouen ?
Pierre acquiesce sans la moindre hésitation.
— Vous allez devoir faire profil bas, reprend Selim. Les militaires se déploient un peu partout et vous risquez d’en croiser à Rouen. S’ils vous arrêtent et vous cassent les pieds, essayez de jouer les ados terrifiés qui rentrent de vacances. Kathia, vas-y franco sur les sanglots, ça fera son effet.
Lyes sourit brièvement en entendant la jeune fille s’esclaffer. En même temps, Selim a raison, elle a la larme facile et pleure pour un oui ou pour un non, ce qu’il lui fait souvent remarquer.
Il continue sans se démonter :
— Lyes, appelle Taly quand vous serez arrivés. Elle viendra vous chercher.
— Taly se rend à Rouen ?
— Elle s’y trouve déjà. Je… Comme je suis coincé à Paris, elle a bien voulu partir à ma place.
— Merde…
Le ton de Selim est contrit, comme s’il avait honte de l’avouer. Ce qui serait une première : Selim n’a honte de rien et assume toutes ses décisions, même les pires. Il n’a jamais eu grand-chose à foutre de l’avis des autres.
Mais là, la vie de Taly est en jeu, l’une de ses plus anciennes amies. Lyes se doute qu’elle n’a pas hésité une seconde à partir à leur recherche ; il s’en voudrait beaucoup s’il devait lui arriver quelque chose à cause d’eux. Sa mère avait raison, ils auraient dû ajourner le voyage…
— J’appelle Taly quand on arrive, confirme Lyes, qui hésite avant de demander : est-ce qu’on craint quelque chose avec le Somm ?
— Je ne peux pas t’assurer que non, ce truc échappe à toute logique. Tenez-vous éloignés des grandes villes.
Après un silence, Selim s’arrache à l’écran d’ordinateur qu’il parcourait des yeux – il est capable d’effectuer deux ou trois choses en même temps, comme une machine, ce qui a toujours forcé l’admiration de ses petits frères – et baisse la tête, ses deux mains posées sur le sommet de son crâne. Lyes se demande soudain s’il ne va pas se mettre à pleurer.
— Je suis désolé de ne pas pouvoir venir moi-même vous chercher, déplore son interlocuteur. Je dois tout faire pour stopper l’épidémie.
Selim ne lui dit pas qu’il n’a pas le choix, qu’il doit rester là-bas parce qu’il est l’un des seuls en mesure d’enrayer le Somm… Non, il lui dit qu’il préfère sauver le monde à les sauver tous les quatre. Et Lyes comprend tout à fait. Il aurait refusé le contraire.
Seulement, cela signifie aussi que Selim pourrait à son tour tomber malade. Cela signifie qu’il n’y survivrait pas.
— Ça ira, répond Lyes. Ne t’occupe pas de nous, fais ce que tu as à faire. Nous allons nous débrouiller.
— Super. Essaie de téléphoner à Maman si tu peux, moi je ne peux plus perdre de temps. Tiens-moi au courant s’il vous arrive quelque chose ou si vous ne parvenez pas à rejoindre Taly. Je ne vous répondrai peut-être pas tout de suite, mais je veux savoir où tu es et ce que tu fabriques.
— Compris.
— Ah, et… vous avez trouvé ce que vous cherchiez ?
Lyes secoue la tête. À côté de lui, ses trois amis ne perdent pas une miette de la conversation, et il voit les mines se fermer, Julien se tourner vers la fenêtre, Kathia triturer son propre téléphone.
— Non. Brest était la dernière étape, répond-il.
— Oh… Ne t’inquiète pas, vous pourrez rattraper le coup plus tard.
— Sans doute. Bon, je te laisse travailler. Je te tiens au courant de nos moindres faits et gestes.
— Merci. À plus.
Selim coupe la conversation sans lui permettre d’ajouter quoi que ce soit. Dépité, Lyes abandonne son téléphone sur la banquette, et plonge dans la contemplation de la nuit à travers la fenêtre, la route qui défile, les rares maisons au milieu des arbres. Les derniers mots de son grand frère résonnent dans sa tête parce qu’il s’est rendu compte que celui-ci lui a menti. Il sait quand Selim lui monte des bobards : en général, c’est lorsqu’il lui parle avec gentillesse et compréhension. Son frère n’est pas un modèle de tendresse, d’ordinaire.
Non, ils ne pourront sans doute pas rattraper le coup plus tard. Ils savent tous les deux que les esprits répondent à leur propre logique, et qu’un rendez-vous est manqué pour toujours lorsque l’on ne s’y rend pas. S’ils n’arrivent pas à temps à Brest pour l’anniversaire de Lucas, ils ne le retrouveront jamais… Peu importe l’endroit, disait Lyes à Kathia, et c’est vrai ; mais quand un rendez-vous est donné, il faut en respecter les modalités.
Là, ils font demi-tour avec leur chagrin et leur culpabilité qui pèsent plus lourd. Leurs chances s’envolent sans aucun espoir de retour, à mesure que leur voiture s’éloigne de Brest.
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La réalité, nous dit M. Larousse, est le caractère de ce qui n'est ni imaginaire, ni rêvé, ni illusion. Voilà qui a le mérite d'être sans appel... ou pas.
Comment faisons-nous d'abord la différence entre le réel et l'illusion? Par la perception sensorielle. Si nous pouvons voir, toucher, sentir, goûter, entendre un être mobile ou immobile ou bien un objet, il est réel.
Cependant, nous ne doutons pas de la réalité de choses intangibles comme les sentiments et les émotions... peut-être parce qu'ils provoquent chez nous des réactions physiques comme les larmes, le rire, le cœur qui bat la chamade, sans compter leurs conséquences concrètes sur nos vies.
La ligne de partage entre la réalité tangible, perceptible et la réalité intangible, imaginaire n'est peut-être pas aussi nette que le dictionnaire le laisse entendre. Pour moi, par exemple, certains univers littéraires sont à la fois imaginaires et réels et je n'ai aucun mal à faire coexister ces deux réalités sans qu'elles empiètent l'une sur l'autre.
Aujourd'hui d'ailleurs, la réalité se fait virtuelle, que dis-je augmentée, que dis-je mixte* ! Divers outils matérialisent ce qui relevait de l'imagination et nous donnent accès physiquement à des environnements imaginaires ou modifient les éléments du monde réel et nos interactions avec lui. Ici et ailleurs simultanément. Notre réalité est elle aussi en voie de dématérialisation.
Il y a aussi la réalité des personnes dont on nous dit qu'elles perdent la tête. Nous ne la comprenons pas, mais pour elles, elle n'a rien d'imaginaire.
Et bien sûr, il y a la réalité selon la physique quantique, qui remet totalement en cause les vieux schémas, notamment par le fait que l'observateur influe sur l'objet de son observation et par l'interrogation sur la présence ou l'absence des choses en l'absence d'observateur (cf. la philosophie Sāṃkhya, pour laquelle en chacun de nous réside le Puruṣa, la conscience incarnée, le témoin, connaisseur silencieux des expériences de Prakṛti, la nature).
La réalité du dictionnaire serait-elle donc une fiction collective ? Une illusion qui ne devrait sa tangibilité qu'au fait d'être partagée par l'ensemble de l'espèce humaine ? Une sorte d'égrégore ? Oui et non. Une illusion certes sur le plan métaphysique. Mais sur le plan physique, plutôt une perception à la stabilité aléatoire du mirage : de loin elle a l'air solide, mais plus on y regarde de près, plus on s'aperçoit qu'elle change selon l'angle sous lequel on la regarde.
Cette idée d'une réalité à géométrie variable me semble particulièrement en résonance avec les plans de conscience décrits par le Śivaïsme du Cachemire : la réalité sensorielle serait celle de l'état de veille, où tout est objectivé ; la réalité émotionnelle/virtuelle serait celle de l'état de rêve, conscience intériorisée, indépendante du monde extérieur, stable mais illusoire ; la réalité quantique serait celle de l'état de sommeil profond éclairé par la lumière du quatrième état, où les deux précédentes se fonderaient pour ouvrir la porte à une réalité précédemment inimaginable.
Ceci dit, par quelque bout que nous la prenions, notre réalité est ancrée dans la matière : elle en provient et elle nous y attache. La science et la réflexion métaphysique nous en dévoilent pudiquement des aspects, qui nous semblent parfois contradictoires parce que nous ne voyons que des facettes de la boule et non la boule elle-même.
Mais cette boule existe : c'est la réalité ultime de la Conscience du Divin dont tout émane. Très peu de personnes en ont fait ou en font l'expérience de leur vivant, même si des multitudes en ont eu et en ont l'intuition ou le ressenti fugace. Pour le commun des mortels, dont je fais bien évidemment partie, reste la solution d'être conscients que notre réalité est une illusion mouvante, mais fonctionnelle, qu'il convient d'accepter comme telle. Relative mais non absolue.
Les progrès scientifiques et techniques semblent élargir notre cage mais ne soyons pas dupes : il nous faudra ôter les lunettes et les casques en tout genre qui nous abusent pour cesser de nous cogner à ses parois.
Ressource : Guide de prononciation sanskrite
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Avant de faire appel à la garantie, si vous avez quelques compétences en bricolage, il peut être utile de vous renseigner. Vous pourrez régler beaucoup de petits problèmes, ce qui vous évitera de laisser chez le revendeur votre trottinette, gyroroue ou skateboard.
Pour cela, vous disposez de beaucoup de sites internet ou groupes Facebook qui pourront vous guider dans le diagnostic et les éventuelles réparations.
Attention toutefois à ne pas dégrader l’engin et à ne pas ouvrir des compartiments qui sont scellés. Votre garantie ne pourrait alors plus s’appliquer.
Maintenant, si le problème est plus grave ou que vous ne souhaitez pas mettre les mains dedans, il va falloir vous adresser à votre revendeur.
Malheureusement, tous les revendeurs ne jouent pas “le jeu” et refusent parfois de prendre en garantie votre engin.
Les différentes garanties
Alors, que dit la loi ?
Il faut comprendre qu’il y a 3 types de garanties :
- La garantie légale de conformité
- La garantie légale contre les vices cachés
- La garantie commerciale
Chose importante à savoir : pour les garanties légales, elles couvrent tous les frais entraînés (transport, réparation, expertise …).
1. La garantie légale de conformité (articles L. 217-4 à L. 217-14 du Code de la consommation)
Cette garantie s’applique aux contrats de vente et à tous les biens qu’ils soient neufs ou d’occasion.
Qu’est-ce qu’un défaut de conformité ?
- Le bien n’est pas conforme à la description donnée par le vendeur et ne possède pas les qualités que le vendeur vous a présentées sous forme d’échantillon ou de modèle ;
- Le bien est impropre aux usages auxquels servent habituellement les biens du même type ;
- Le bien est impropre à tout usage spécial recherché par le consommateur, porté à la connaissance du vendeur au moment de la conclusion du contrat et accepté par le vendeur ;
- L’installation convenue n’a pas été effectuée correctement par le vendeur, ou le manuel d’installation est incomplet ou incompréhensible et vous avez, pour cette raison, mal monté l’appareil ;
- Le bien présente un défaut de fabrication, une imperfection, un mauvais assemblage (exemple : des clous dépassant d’un canapé), etc.
C’est au professionnel de prouver que le défaut n’existait pas au moment de l’achat du bien. Le consommateur doit seulement prouver l’existence du défaut.
Pour les biens achetés neufs, tout défaut qui apparaîtra dans les 2 ans après l’achat est considéré comme ayant existé avant la livraison.
Il existe des exceptions. Le consommateur ne peut pas faire jouer la garantie de conformité (article L.217-8) dans trois cas :
- lorsqu’il avait connaissance du défaut au moment de l’achat ;
- lorsqu’il ne pouvait ignorer le défaut au moment de l’achat ;
- lorsque le défaut résulte de matériaux qu’il a lui-même fournis.
Les pièces d’usures ne sont pas non plus prises sous garantie (pneus, plaquettes et disques de freins, courroies…).
Quelques exemples pour nos engins :
- vous recevez un engin non conforme à la description du site d’e-commerce ;
- vous le recevez avec une pièce cassée ou abîmée ;
- vous ne pouvez plus allumer votre engin (sans avoir subi de choc et sans oxydation) ;
- les vis rouillent.
2. La garantie légale contre les vices cachés (articles 1641 à 1649 du Code civil)
Le vendeur est tenu de la garantie à raison des défauts cachés de la chose vendue qui la rendent impropre à l’usage auquel on la destine, ou qui diminuent tellement cet usage, que l’acheteur ne l’aurait pas acquise, ou n’en aurait donné qu’un moindre prix, s’il les avait connus.
Le défaut doit être antérieur à la vente et rendre les produits impropres à l’usage auquel ils sont destinés.
C’est à vous de prouver l’existence du vice caché. Pour cela, vous pouvez produire les différentes attestations ou devis de réparation.
Vous pouvez aussi faire procéder à une expertise amiable. Pour trouver un expert près de votre domicile, vous pouvez consulter la liste des experts agréés auprès des tribunaux.
Pour l’application de cette garantie, vous avez le choix entre :
- rendre l’engin et vous faire restituer le prix ;
- garder l’engin et vous faire rendre une partie du prix.
Le délai pour agir est de 2 ans à compter de la découverte du vice.
Ce sont les juges qui apprécient si la chose vendue est impropre à son usage.
Quelques exemples pour nos engins :
- une pièce casse en roulant sans avoir subi de choc ;
- la batterie a perdu beaucoup d’autonomie malgré un kilométrage faible (sans oxydation) ;
3. La garantie commerciale (articles L.217-15 à L.217-16 du Code de la consommation)
Ce sont des garanties “supplémentaires“, par rapport aux garanties légales. Elles sont gratuites ou non. De nombreux fabricants et vendeurs vous les proposent. Elles sont matérialisées par un contrat de garantie qui en définit la durée et la portée (souvent sur la facture).
La garantie contractuelle est un engagement du professionnel envers le consommateur de :
- soit rembourser le prix d’achat du bien ;
- soit remplacer le bien ;
- soit réparer le bien.
Cet engagement ne se substitue pas mais s’ajoute aux garanties légales précitées (conformité et défauts de la chose vendue).
Le professionnel remet au consommateur un contrat écrit précisant :
- le contenu de la garantie ;
- le prix ou la gratuité de la garantie ;
- les modalités de mise en œuvre ;
- la durée et l’étendue territoriale ;
- le nom et l’adresse du garant ;
- la reproduction de plusieurs articles, à savoir : articles L.217-4, L.217-5, L.217-12, L.217-16 du Code de la consommation ; 1641 et 1648 premier alinéa du Code civil ;
- l’existence de la garantie légale de conformité et de celle relative aux défauts de la chose.
La garantie contractuelle reste valable même lorsque l’une de ces mentions n’est pas présente au contrat afin de garantir la protection du consommateur.
Quand débute la garantie légale de 2 ans ?
La garantie légale débute le jour où vous prenez possession de votre achat :
- Si vous entrez dans un magasin et en ressortez avec un achat, la garantie débute à ce moment-là.
- Si vous achetez un produit qui vous est livré plus tard, la période de garantie commence le jour de la livraison.
Vous devez donc toujours conserver vos factures et vos bons de livraison.
Faire appliquer la garantie
Première étape
Dans tous les cas, l’application de la garantie est du ressort du revendeur (pas de l’importateur ou du fabricant). Le vendeur ne doit pas vous renvoyer vers le fabricant.
Vous pouvez directement rapporter le bien au vendeur si vous souhaitez un remboursement total, ou le contacter par téléphone ou email avant de réaliser un envoi postal.
Si tout se passe bien, tout s’arrête ici et vous récupérez votre engin réparé !
Deuxième étape
Si le revendeur refuse la prise en garantie, vous devez lui envoyer un courrier recommandé avec accusé de réception.
N’hésitez pas à utiliser les lettres types disponibles chez les associations de consommateurs.
Troisième étape
Si le revendeur refuse toujours, il vous reste plusieurs armes :
- Contacter les associations de consommateurs (UCF que choisir et 60 millions de consommateurs). Si vous êtes adhérent chez eux, ils peuvent prendre contact avec le revendeur et jouer le rôle de facilitateur. Il existe aussi des antennes locales qui pourront vous recevoir. Ils disposent souvent de forums (lien, lien) où vous pourrez exposer votre problème et recevoir des conseils.
- Contacter la DGCCRF pour indiquer le problème rencontré avec ce revendeur. S’il est connu de leurs services, ils pourront vous aider à agir. Il existe aussi des antennes locales.
- Contacter un conciliateur de justice ou un médiateur de justice. Celui-ci jouera le rôle d’intermédiaire, et pourra convoquer les 2 parties. C’est gratuit.
- À l’heure d’internet, les revendeurs sont soucieux de présenter une bonne image. Exposer ses pratiques au plus grand nombre n’est en général pas des plus plaisants pour lui, et permettra de faire pression.
Les possibilités sont larges, mais il faut viser :
– les réseaux sociaux, tout particulièrement les groupes/pages Facebook liés à la marque ou au vendeur (attention, si cette page lui appartient, il peut effacer un commentaire qui ne lui plairait pas), Twitter (en réaction à un Tweet du revendeur, ou en le taggant),
– les critiques Google,
– les sites d’avis tels que TrustPilot.
Dans tous les cas, exposez bien votre problème, de façon neutre, factuelle et objective en demandant l’application de la garantie concernée.
Dernière possibilité
Si malgré toutes ces tentatives, il refuse toujours, il vous reste l’arme juridique.
La première solution, si vous en disposez, est de contacter votre assistance juridique. Elle examinera le dossier que vous devrez constituer avec elle et mandatera un expert pour constater les faits. Parfois cette procédure permettra de résoudre votre souci rapidement.
Si vous n’avez pas de protection juridique, il est alors préférable de faire constater par huissier le problème, puis de lancer une action en justice en saisissant le juge de proximité ou encore le Tribunal d’Instance.
Les frais de port
Tout dépend du type de garantie que vous souhaitez voir appliquer :
- Pour la garantie commerciale, pour un achat sur internet, il peut être soumis à des frais. Ils sont au bon vouloir des enseignes qui offrent souvent la livraison mais pas toujours le retour. Ces conditions sont à vérifier avant de valider votre panier. Les sites ont l’obligation d’informer les consommateurs sur ces frais de retour. Vous les trouverez souvent sur une page dédiée sous la rubrique “Livraison” et aussi dans les conditions générales de vente (CGV). Heureusement, de plus en plus de sites de e-commerce offrent la possibilité de rapporter les achats en relais colis près de chez vous sans frais supplémentaires.
- Pour les garanties légales de conformité et de vices cachés, la loi impose que les retours soient aux frais du vendeur.
L’expertise du professionnel
Depuis mars 2016, le défaut est présumé antérieur à la vente pendant toute la période de la garantie de 2 ans. Mais le professionnel peut toujours apporter la preuve que vous êtes à l’origine du défaut.
La plupart du temps, afin d’apporter cette preuve, il fera appel à un expert pour examiner le produit, sans nécessairement vous avoir préalablement convoqué(e) aux opérations d’expertise. Cette expertise peut être réalisée par une personne interne à l’entreprise qui vous a vendu le produit, ou encore une personne désignée par cette entreprise.
Il peut vous opposer que le problème a été constaté à partir d’une « étude approfondie » réalisée à partir de photos que vous avez transmises. Certaines limites sont à opposer au fabricant concernant la validité de cette « expertise » comme mode de preuve :
- tout d’abord, un technicien d’un SAV n’est pas un expert indépendant. La question de son impartialité peut ainsi se poser. Il peut avoir été mandaté par le fabricant ou même être salarié de ce dernier ;
- par ailleurs, l’expertise à distance à partir de photos, par exemple, reste une pratique peu encadrée. L’expertise à distance s’est surtout développée dans le secteur automobile au cours des dernières années. Sous l’impulsion des professionnels du secteur, réparateurs et experts, la pratique de l’expertise à distance a été organisée notamment par la mise en place d’un code de déontologie. Il autorise cette pratique à condition que cette dernière ne nuise pas à la qualité de mission de l’expert, dans le respect d’éventuelles « recommandations professionnelles ». Pourtant, même dans le secteur automobile, l’expertise à distance n’est pas utilisée dans tous les sinistres. De plus, en cas de désaccord des parties sur l’expertise, une expertise contradictoire est bien souvent organisée. Même dans un secteur où l’expertise à distance est encadrée, celle-ci conserve une portée limitée. Dans le domaine des biens high-tech et électroménagers, la pratique de l’expertise à distance n’est pas du tout encadrée. Sa portée est donc d’autant plus limitée ;
- enfin, l’expertise à distance est une expertise non contradictoire. Or les juges ont précisé qu’une expertise non contradictoire réalisée à la demande d’une seule des parties peut constituer un mode de preuve valable seulement si d’autres éléments de preuves viennent l’appuyer (Cass. Ch. Mixte, 28 sept. 2012, n° 11-18710). Ainsi, pour refuser la prise en charge, le fabricant doit prouver l’existence du choc et ses conséquences : la panne de votre produit. Mais la seule étude non contradictoire par un technicien d’un SAV ne constitue pas un mode de preuve suffisant. Elle devrait être étayée par d’autres éléments pour justifier valablement le refus du fabricant.
L’idéal, afin de s’assurer de l’origine de la panne, est de faire expertiser le produit en votre présence par un expert indépendant. Si vous souhaitez contester les résultats de l’étude approfondie, vous pouvez vous-même contacter un expert, notamment un expert agréé auprès des tribunaux. L’expertise sera alors à votre charge. Vous pouvez aussi contacter votre protection juridique, liée le plus souvent à une assurance habitation. En effet, certains contrats de protection juridique vous permettent de bénéficier d’un expert pris en charge par l’assurance.
Tant que le fabricant s’appuie uniquement sur le résultat de l’« étude approfondie », insistez auprès de lui en exigeant le respect de votre contrat de garantie. N’hésitez pas à lui adresser une demande de prise en charge par lettre, idéalement recommandée. Une lettre type est à votre disposition.
L’oxydation
Il reste un cas problématique, celui de l’oxydation liée à une exposition à l’eau.
Certains engins sont vendus avec des indices de protection IP54 (résistant à des projections et éclaboussements d’eau) ou IP65 (résistant à des jets d’eau à la lance, ce qui permet donc de rouler sous la pluie).
Ces indices de protection sont définis par une norme (NF EN 60529).
Pour justifier de cette protection, le fabricant ou l’importateur doivent faire passer des tests dans un laboratoire et obtenir une certification pour chaque modèle vendu (certification a priori valable tant qu ils ne changent pas la structure). N’hésitez pas à demander ce certificat pour être certain que l’engin a réellement passé ces tests.
Nous vous conseillons de prendre ces informations avec de grandes précautions, car ces informations sont parfois fausses…
Il faut savoir que certains engins ont des capteurs d’humidité cachés à l’intérieur.
Si vous rencontrez un problème, il y a 4 cas possibles :
- vous avez roulé sous la pluie et l’engin n’est pas certifié comme étanche (IPx4 ou IPx5). Vos engins ne seront certainement pas pris en garantie.
- vous avez roulé sous la pluie et l’engin est certifié IP54. L’examen réalisé par le SAV pourra refuser la prise en charge si des traces d’humidité ou d’oxydations sont présentes. Votre combat s’annonce alors difficile pour la prise en charge. Nous vous conseillons de demander des preuves de l’oxydation. Si vous le pouvez, prenez des photos par vous même (avec l’accord du vendeur si vous devez démonter) pour une analyse contradictoire.
- vous avez roulé sous la pluie et l’engin est certifié IP65. Le vendeur ne pourra pas vous opposer l’usage sous la pluie car l’engin doit être étanche pour ce type d’exposition. Vos garanties légales et contractuelles s’appliquent pleinement.
- vous n’avez pas roulé sous la pluie ou dans des flaques d’eau et votre engin présente des traces d’oxydation. Si le SAV refuse la prise en charge, votre combat s’annonce alors difficile pour la prise en charge.
Réparation non effectuée ou mal effectuée
Vous disposez des mêmes solutions que précédemment.
Plus d’informations ici.
Les contrats de garantie qui indiquent moins de 2 ans
La garantie commerciale peut indiquer une durée quelconque, mais les garanties légales sont obligatoirement de 2 ans.
Donc si un revendeur vous indique “batterie garantie 6 mois”, il ne s’agit que de la garantie commerciale.
Quels sont modifications qui peuvent annuler votre garantie ?
Certains revendeurs sont plus regardants que d’autres concernant les modifications qui peuvent annuler votre garantie. Les opérations suivantes peuvent annuler la garantie :
- flasher le firmware ;
- ouvrir un compartiment scellé ;
- changer des pièces mécaniques/électroniques ;
- couper des fils électriques ;
- et plus globalement, toute modification non prévue par le constructeur.
Nous vous conseillons de remettre le maximum d’éléments dans leur état d’origine avant de faire appel au SAV.
Combien de temps peut durer la réparation ?
Contrairement à une idée reçue, les fabricants n’ont pas l’obligation de garantir la disponibilité des pièces détachées pendant un certain délai.
Le fabricant est libre de communiquer ou non sur ce point, et lorsqu’il le fait, c’est incontestablement un argument commercial qui nécessite le respect d’un formalisme.
Lorsque les pièces détachées ne sont pas disponibles, si le bien est couvert par une garantie, il sera alors échangé, faute de pouvoir être réparé.
Si la réparation a lieu en dehors d’une période de garantie, l’appareil ne pourra malheureusement pas être réparé.
Si le fabricant a communiqué sur la période de disponibilité des pièces détachées indispensables à l’utilisation du bien, le vendeur doit obligatoirement délivrer cette information au consommateur de manière lisible avant la vente et la confirmer par écrit au moment de l’achat.
Le fabricant est alors obligé de fournir dans un délai de deux mois, aux vendeurs professionnels ou aux réparateurs agrées ou non, qui le demandent, les pièces détachées (article L. 111-4 du code de la consommation).
Tout manquement à ces dispositions est passible, d’une amende de 3 000 € maximum pour une personne physique et 15 000 € maximum pour une personne morale (article L. 131-1 du code de la consommation).
Lorsqu’un bien est mis sur le marché, le fabricant n’est pas obligé de fournir des pièces détachées.
Source INC
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Puisque tout le monde vous a déjà probablement souhaité la santé, le bonheur ou la prospérité en 2014, je vous souhaiterai pour ma part plein de belles découvertes linguistiques et orthographiques!
L’arrivée d’une nouvelle année est toujours source de confusion lorsque vient le temps d’écrire la date. Les premières fois qu’on doit l’écrire, on se croit encore l’année précédente et par habitude, on inscrit par exemple 2013 au lieu de 2014. Qui n’a jamais dû raturer un formulaire ou recommencer un chèque en raison de la date erronée?
Considérons-nous chanceux d’avoir à écrire l’année en chiffres plutôt qu’en lettres. Parce que là, ça se complique. Heureusement, l’arrivée du troisième millénaire rend l’écriture des années plus courte. «Deux mille quatorze» est en effet beaucoup plus court que «mille neuf cent quatre-vingt-dix-neuf»!
Début de phrase
Et c’est tant mieux, parce que dans un texte écrit, on doit toujours écrire en lettres un nombre qui commence la phrase. Aussi doit-on écrire, par exemple : «Deux mille quatorze commence bien mal pour le dollar canadien…» et non : «2014 commence bien mal…». On pourrait aussi écrire: «L’année 2014 commence bien mal…».
Dans un journal, on tente de respecter cette règle fondamentale, mais on se doute bien qu’il y a une exception: les titres des articles. On se doute bien qu’il faut souvent faire le plus court possible alors dans ce cas, l’écriture des nombres en chiffres est, disons, tolérée. Et salvatrice !
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L’utilisation sécuritaire des chariots élévateurs
Dans une PME ou une multinationale avec des milliers d’employés, il est difficile de ne pas se trouver avec au moins un chariot élévateur qui circule,
Les situations inévitables de cohabitation piétons-chariot élévateurs engendrent un risque accru de collision avec des dommages, souvent grave pour les piétons, sans oublier les situations de collision entre les chariots élévateurs qui sont coûteuses aussi bien au niveau humain que matérielles.
La CNESST recommande d’avoir une politique générale pour l’utilisation des chariots élévateurs et qui repose sur quatre points soient : le cariste, le chariot élévateur, l’environnement de travail et les méthodes de travail.
Le cariste
Le cariste représente un facteur parmi les plus significatifs dans l’utilisation sécuritaire des chariots élévateurs, car, sans une maitrise suffisante de ce facteur, les efforts fournis pour les trois points restants seront neutralisés. La réduction des risques d’accidents causés en partie ou en totalité par les caristes passe principalement par la formation, mais également par ses aptitudes physiques à exercer le métier de cariste. De plus, des formations de perfectionnement sont exigées (autre que la formation de base).
Le chariot élévateur
Pour le chariot élévateur il faut tout d’abord assurer la conformité aux exigences de base du règlement sur la santé la sécurité du travail (RSST Art245.1 à 245.6)
Le respect de ces articles pourrait se faire, en général, en effectuant toujours une inspection de l’équipement avant le quart de travail. Les éléments d’inspection doivent comprendre les freins, la direction, les dispositifs d’avertissement, les dispositifs de sécurité, le mât, les pneus et toutes les commandes. Enregistrez les dommages, signalez les problèmes et informez la direction de tous les problèmes. Ne laissez pas fonctionner un équipement endommagé ou dangereux tant qu’il n’est pas réparé.
Il est également nécessaire de respecter les informations inscrites sur la plaque signalétique et tous autres renseignements fournis par le fabricant afin d’assurer un usage sécuritaire et dans les limites prévues lors de la conception du chariot élévateur.
Afin d’optimiser le processus de vérification des chariots, il est fortement recommandé d’avoir recours à des listes de vérification (checklist).
L’environnement de travail
Il s’agit surtout de l’état des lieux où les chariots élévateurs circulent seul ou en cohabitation avec des piétons ou d’autres équipements de manutentions.
Les conditions pour qu’un environnement de circulation des chariots élévateurs soit sécuritaire sont suffisamment détaillées dans le RSST (éclairage, état du sol, délimitation des voies de circulation, dégagement, etc.).
Il est à noter qu’il est fortement recommandé de faire de la prévention intrinsèque en analysant et en optimisant la circulation des chariots élévateurs afin de minimiser les intersections, les zones de cohabitation avec piétons, utilisation d’autre équipement de manutention, analyse des unités de charges, etc.
Les méthodes de travail
De manière général, les bonnes pratiques de conduite des chariots élévateurs sont enseignées lors des formations de base et des formations de perfectionnement des caristes, toutefois, il est préférable que des méthodes de travail plus claires et plus adapté à chaque environnement élaboré compris et appliqué par les caristes, notamment en ce qui concerne le levage d’un travailleur avec chariot élévateur, la circulation en présente de pente, la circulation avec fourche levée, les marches arrière, le chargement /déchargement, les stationnements et la manutention et le chargement des batteries.
Pour les chariots élévateurs, il est aussi important d’appliquer des procédures de cadenassage conforme et adapté à l’équipement (équipement mobile) avant chaque intervention d’entretien.
Finalement, les aspects discutés dans ce blogue peuvent ne pas être exhaustifs, par conséquent, il est nécessaire d’avoir une compréhension profonde des particularités de votre situation afin d’optimiser les efforts de sécurisation de vos lieux de travail.
Voici d’ailleurs comment avoir un impact immédiat concernant la cohabitation entre chariot et piétons.
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Intervention Prévention Inc.
Intervention Prévention œuvre dans le domaine de la sécurité au travail en offrant des services spécialisés répondant aux normes CSA Z462 – Sécurité électrique en milieu de travail, CSA Z460 – Maîtrise des énergies dangereuses : Cadenassage et autres méthodes, et CSA Z432 – Protection des machines. Nos domaines d’expertise sont donc reliés au cadenassage, à la sécurité électrique et à la sécurité machine. La satisfaction de nos clients est le gage de notre compétence
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Louis BODIN
En 1981, Louis Bodin est diplômé de l'Ecole Nationale de la Météorologie. La même année, il est embauché comme prévisionniste dans les stations météorologiques de Météo France dont Le Bourget, Ajaccio, Marseille ou encore Paris.
A partir de 1993, il poursuit sa carrière de prévisionniste dans le service communication de Météo France. En 1995, il intègre La Chaine Météo en tant que Chef d'édition et commence à présenter les journaux du matin. En parallèle, il conçoit et présente l'émission mensuelle de 13 minutes "Le temps des ailes" de juin 1998 à 2001.
En 2009, il présente sur i-Télé les bulletins météo en direct dans la matinale de l'information et les bulletins enregistrés en diffusion journalière. En parallèle, il exerce en tant que consultant scientifique. Et en 2010, il rejoint l'équipe d'Evelyne Dhéliat sur TF1 pour présenter les bulletins météo de la chaîne. Depuis 2002, Louis Bodin est aussi Rédacteur en chef à RTL où il dirige le service météo.
Il y présente 10 bulletins journaliers. Il y anime également une émission sur l'environnement intitulée "Elément Terre" (pendant les périodes de vacances) qu'il a conçue.
Ses autres missions et compétences :
- Météorologie aéronautique : assistance météo de compétitions de vol à voile et d'une société de production de films,
- Météorologie marine : notamment conseiller météo et routeur de Florence Arthaud et Paul Vatine,
- Rédactions d'articles météo dans la presse spécialisée aéronautique et marine.
Nous sommes tous météo sensibles
Temps gris : moral en berne ; grand bleu : envie d'être heureux...
Que nous le voulions ou non, nous subissons tous les impacts du climat : la température, le vent, l'humidité, la chaleur agissent sur notre santé et notre mental. Au gré des saisons notre corps combat ou non ces changements qui influencent souvent notre moral. En nous révélant comment la météo agit sur notre vie, de nos habitudes de consommation à nos sentiments en passant par notre santé, Louis Bodin, grand spécialiste de la météorologie, nous dévoile une vérité scientifique passionnante et riche d'enseignements, et nous donne les clés pour appréhender les changements et vivre mieux au jour le jour.
Si nous sommes tous météo sensibles, chacun l'est à sa manière. Grâce à un test ludique, chacun pourra mesurer sa sensibilité !
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Dans un monde où rien ne dure, où les choses changent perpétuellement, est-il seulement envisageable de trouver un état qui ne changerait pas ? Une plénitude, une sérénité qui durent toujours quand tout le reste s’en va ? L’éternelle félicité est déjà là. Découvre où elle a toujours été… et vis pour toujours dans la paix et dans l’amour. … [Lire plus...] à proposL’Éternité est en Toi
Vidéo
Vivre sans ego (ou au moins, avec moins d’ego), se libérer de l’emprise de l’ego, bref, faire en sorte qu’il se la boucle un peu, c’est possible ? Quand on vit selon la perspective de l’ego, selon la personne que nous croyons être, nous souffrons. C’est indubitable. Indéniable. Mais nous n’avons pas à souffrir notre vie entière. Il suffit de procéder à une observation minutieuse de la façon dont nous réagissons dans notre vie de tous les jours. Comment procéder ? À chaque fois qu'une nouvelle … [Lire plus...] à proposDésencombrement Personnel dans le Monde du « Moi-Je »
Quand tu laisses la vie couler en toi, sans restriction, sans jugement, tu t’accordes à sa mélodie. Les saisons naissent, s’épanouissent et meurent dans les profondeurs de ton être, à chaque instant, perpétuellement. Si tu leur permets de se déployer en toi, sans réfréner ni faire barrage à leur flux puissant et mélodieux, les choses s’accomplissent sans que tu n’aies rien à faire, "comme par magie". Tout se met parfaitement en place… dans l’harmonie. Voici, en vidéo, une lecture poétique … [Lire plus...] à proposOndulations (Poésie Méditative en Vidéo)
Le véritable bonheur et la paix intérieure, c’est quoi ? Être heureux dans sa vie, ça signifie quoi ? Rester heureux malgré les difficultés, en toute circonstance, c’est possible ? Oui c’est possible, mais peut-être pas de la façon dont tu l’imagines. Découvre, dans cette vidéo-réflexion poétique, où se trouve le vrai bonheur... ...et sois heureux dès à présent, ici et maintenant. … [Lire plus...] à proposLe Véritable Bonheur (Vidéo)
Des rituels d’ancrage, ce n’est pas ça qui manque sur internet. C’est parfois compliqué, on ne retient pas tout. Ce que je te propose est une simple phrase d’ancrage pour que tu te rappelles facilement de t’ancrer dans le moment présent, d’instant en instant. Cette phrase rapide d’ancrage, expliquée en vidéo, t’aidera à te centrer dans ce qui se manifeste en toi ici et maintenant, dans ta vie de tous les jours, en toute circonstance. … [Lire plus...] à proposL’Ancrage des 3 Présents
Dis-moi, qu’est l’humain sans son être ? Est-il toujours un être humain ? Au fur et à mesure que je me rapproche de ce qui est aligné, juste, merveilleux et toujours vrai en moi, et que je me défais de tous les artifices extérieurs mais aussi — surtout — intérieurs, que je croyais être « moi » pendant tant d’années, mon identité terrestre disparaît peu à peu pour se fondre dans Ce qui reste quand tout s’en va. C’est une sensation étrange, encore très douloureuse parfois, pleine de confusion … [Lire plus...] à proposDis-Moi, Qu’est L’humain Sans Son Être ?
Les îles Galapagos en Équateur ? Une merveille. Au milieu de la nature et des animaux sauvages en liberté, j’ai l’impression de vivre un rêve éveillé. Ils ne s’enfuient pas, s’approchent eux-mêmes de toi, en toute confiance, t’en as plein les yeux et tu rentres de voyage le cœur gonflé de gratitude d’avoir pu assister à tout cela, en vrai ! Il y a un tas de documentaires et de reportages sur les Îles Galapagos en Équateur. Plutôt que de faire un 350è vlog de tourisme, voici pour toi, au milieu … [Lire plus...] à proposLe Paradis des Animaux : Les Îles Galapagos en Équateur (Vidéo)
Parce qu’on nous apprend, depuis tout petits, à réprimer nos émotions, à ne pas pleurer, à rester poli, gentil et bien élevé… Parce qu’on nous dicte ce qu’on doit faire, qui l’on doit être, comment l’on doit se comporter… Parce que personne ne nous l’a donné, ce droit d’exprimer pleinement ce que nous ressentions… … Nous avons pris l’habitude de cacher toutes ces émotions à l’intérieur de nous. Et un jour, ça nous explose à la gueule. Alors, si au lieu de réprimer tout ce que l’on … [Lire plus...] à proposTu as le Droit de Pleurer
Ces temps particuliers sont un cap délicat à passer, mais ils sont également une occasion formidable où tu peux enfin te retrouver. Te retrouver non pas dans des échappatoires vers lesquelles tu avais l’habitude d’aller avant. Te retrouver en revenant à l’essentiel : ton être. Cette vidéo motivante et inspirante est là pour te reconnecter à ce qu’il y a de plus magique, de plus vaste, de plus précieux en toi. Le sanctuaire dans lequel tu pourras toujours te réfugier… peu importe ce qui se … [Lire plus...] à proposUn Nouveau Monde… À L’intérieur de Toi.
Je n’joue pas bieeeeeen, mais j’écris mieuuuuux ! C’est ma plume qui te le dit, en chanson. Au final, écrire, ma plume elle adore ça, mais encore plus si on la lit ! Alors voici, tout en humour, cet humble plaidoyer pour te convaincre de m’adopter. Si ma chanson t’a fait passer un bon moment, il y a fort à parier que mes livres feront de même. Bonne découverte : ) … [Lire plus...] à proposAdopte-Moi ! Je Chante pour Toi
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La cinématique, en physique, est l’étude du mouvement de particules ou de systèmes de particules, sans tenir compte des masses des particules ni des forces qui les font bouger..
L’étude de grandeurs telles que le déplacement, la vitesse et l’accélération relève de la cinématique en physique.
Le déplacement mesure la différence entre la position initiale et finale d'une particule. Si le vecteur de position de la position initiale de la particule, , est et le vecteur de position de la position finale de la particule, , est , alors le déplacement de la particule est donnée par:
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La vitesse est le taux de changement de position par rapport au temps. Il est défini comme:
.
L'accélération est le taux de changement de vitesse par rapport au temps. Il est défini comme:
.
Cinématique unidimensionnelle est la cinématique des particules se déplaçant le long d'une ligne, c'est-à-dire dans une dimension spatiale.
Sous la cinématique unidimensionnelle en physique, on considère une particule se déplaçant le long d'une ligne droite. Nous pouvons dériver équations de mouvement pour le cas particulier où l'accélération est constante. En déduisant ces équations de mouvement, nous supposerons que la particule ne se déplace que dans une ligne droite le long du -axe.
Si l'accélération est uniforme, puis, sur une période donnée , la vitesse moyenne est donné par , où est la vitesse de la particule au début de la période et est la vitesse de la particule à la fin de la période. Dans ce cas, le déplacement total, , est simplement le produit de la vitesse moyenne et du temps:
Cinématique bidimensionnelle concerne des particules se déplaçant dans un plan, c'est-à-dire dans deux dimensions spatiales.
Avec la cinématique bidimensionnelle en physique, afin d'analyser le mouvement bidimensionnel, nous résolvons toutes les composantes vectorielles dans deux directions perpendiculaires (par exemple, la - et -axes sur le plan cartésien, ou directions “verticale” et “horizontale”). Le mouvement dans l'une de ces directions est alors indépendant du mouvement dans l'autre. Par conséquent, les équations de mouvement peuvent être appliquées à chacune de ces directions séparément.
Par exemple, considérons un boulet de canon tiré du sol sous un angle à l'horizontale. dans le -direction, le boulet de canon connaît une accélération constante de -9,81 m s-2. Horizontalement, l'accélération est égale à 0 si la résistance de l'air est négligeable.
Références
Kirkby, L. A. (2011). Physique Un compagnon étudiant. Editions Scion.
Whittaker, E. T. (1904). Un traité sur la dynamique analytique des particules et des corps rigides. la presse de l'Universite de Cambridge.
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On a crée le spectacle Si tu me quittes est ce que je peux venir aussi en 1988, à Bruxelles, au théâtre du Botanique. Je me souviens de la critique de J Marie Sourgens de La Voix de Nord, le ballatum-théâtre (aujourd’hui Hvdz) a, comme le théâtre de la Salamandre, dirigé par Gildas Bourdet à l’époque, les dents longues mais porte un dentier. Avec Didier Cousin, Olivier Menu, Danièle Hennebelle, Martine Cendre, Eric Lacascade et Guy Alloucherie. On a joué ce spectacle une petite centaine de fois. Dont un mois à Avignon, dans une salle qui s’appelait le Cheval Fou. Avant nous, le Melchior Théâtre présentait une adaptation de Louve Basse de Denis Roche. Le Melchior Théâtre est installé depuis toujours à Bergerac, ils étaient deux aux commandes, comme au Ballatum. Henri Devier et Gilles Ruhard. Gilles R. est parti au début des années deux mille, à l’époque où le Ballatum se séparait.
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Il y a,dans les forêts d'Amérique du Sud un curieux animal qui passe toutes ses journées suspendu à son arbre ..comme si le temps n'existait pas .A vrai dire, tout lui prend un temps fou,en particulier ses heures de repas quiconstituent les seuls moments notables de sa journée .Il n'a même pas besoin d'aller très loin dans la mesure où il se nourrit essentiellementde feuilles ou de petits insectes qu'il trouve sur place .Il ne boit presque jamais d'eau ..Dans ces conditions ,il met parfois un mois pour digérer un seul repas .Dès lors ,il n'a même pas besoin de descendre de son arbre pour assurer ses besoinsélémentaires:une ou deux fois par semaine lui suffisent;une chance ,parce qu'il ne se sent plus en sécurité dès lors qu'il a touché le sol,pressé...qu'il est de retrouver l'abri de son perchoirC'est d'ailleurs ce qu'on lui a enseigné dès qu'il était tout petit:«reste chez toi», et surtout n'en bouge pas ..Effectivement ,le paresseux a retenu la leçon , qui ne s'accorde que quelques minutes par jour ,et dans un temps limité , pour les exercices physiques indispensables .Dés lors ,l'hygiène s'en ressent aussi ,d'autant que le paresseux s'habitue à la présence de ces parasites familiers qui viennent à peupler sa fourrure , voire à la couverture de ces algues vertes qui, tant qu'à faire, viennent le rafraîchir selon la saison .Ainsi vit le paresseux , dans une espèce d'autarcie qui fait qu'il n'a besoin de rien ni de personne ,et qu'il va pouvoir vivre longtemps,paisiblement, à l'abri de tout risque majeur .Il lui est même venu avec l'âge une sorte de masque autour du museau qui, s'ill'empêche de respirer librement , présente au moins l'avantage de le protéger d'une trop grande proximité avec ses congénères.Mais , au fait ,où sont-ils donc , ceux-là ,auxquels il ne reste plus guère de place ,au creux de son arbre?Ses amis ,ses amours ...ses enfants, ,ne serait-ce que pour se reproduire ..Eh bien, curieusement , ils n'apparaissent que pour ce qu'on en a à faire ,de sorte que , de toutes façons ,ils «dérangent» , que ce soit dans la copulationamoureuse ou dans l'élevage des petits .On est si bien , tout seul..Alors,de temps en temps,les branches s'agitent ,on entend même quelques hurlements qui signifient qu'une femelle est passée par là et qu'il a fallu la disputer à un mâle du voisinage .Et soudain, tout s'apaise ,d'autant que l'activité amoureuse-si l'on peut dire ,va sepoursuivre pendant plusieurs jours , dans le calme qui leur convient à l'un et àl'autre ..jusqu'à l'arrivée d'un nouveau petit paresseux ,accueilli avec une certaineindifférence ,mais dont on se débarrassera vite dès qu'il deviendra un peu tropencombrant ..Alors,heureux, le paresseux ,assuré de vivre longtemps (20 ans en moyenne)et sans même le besoin d'assurer sa subsistance quotidienne ..?Pa sûr si l'on s'en tient à sa mine renfrognée et à son humeur maussade ..Car le paresseux s'ennuie ,à mourir...A quoi peut-il bien penser ,cet animal qui vit confiné pendant de longues heures et de longs jours, sans envie ni besoin , et surtout pratiquement tout seul..qui se trouve tellement désemparé dès lors qu'il se retrouve sur la terre ferme ,aurisque d'y rencontrer un de ses congénères , ou pire encore, un autre animal qu'il ne perçoit pas très bien?Ne cherchez pas trop loin: il se déconfine , tout simplement...
La petite fable qu’on vient de lire-du moins , je l’espère -m’a été inspirée par ce curieux animal des forêts amazoniennes qui passe son temps à se reposer ,ne descendant de son arbre que pour se nourrir et satisfaire aux exigences les plus élémentaires à sa survie . .
Je n’ai pas pu m’empêcher de faire le rapprochement avec ce qui nous est arrivé à nous tous -ou presque tous (je n’oublie pas les exceptions )pendant cette période de confinement où nous avons été invités à nous maintenir dans cet état de léthargie dont on nous propose désormais de sortir avec des précautions telles qu’elles nous rendent d’emblée la tâche ingrate et plus ou moins improbable ..
Il ne faut donc pas s’étonner si cette«rentrée» ne suscite qu’un intérêt modéré ,et un accueil plutôt maussade .Le problème, c’est l’envie, ou pour reprendre le titre d’un des derniers succès de Johnny ,«l’envie d’avoir envie» .
Et pourtant, il va bien falloir «faire comme si..»
La seule idée qui me soit venue, c’est que c’est peut-être le moment ou jamais de témoigner de cette fameuse solidarité qui s’est manifestée de façon plus ou moins désordonnée pendant cette retraite obligée .
Alors, peut-être, le paresseux se sentira moins seul, et moins triste .
Concrètement , j’invite tous ceux qui se sentent concernés par les difficultés de cette « réinsertion »de venir en échanger ensemble à l’occasion de groupes de parole « ad hoc » qui se poursuivraient sur les 3 premières semaines de septembre aux jour et heure susceptibles de vous convenir .
Aucune condition d’inscription ou d’adhésion ,un taux de participation symbolique, mais peut-être l’occasion pour ceux qui n’en ont pas eu encore l’occasion de s’ initier aux techniques des groupes de paroles et à ce qu’elles peuvent leur apporter .
Pour en savoir plus prenez contact à l'adresse : firstname.lastname@example.org ou 06 03 55 92 94 ou encore sur Doctolib que je vais prévenir de cette initiative ..et des créneaux qui lui seront consacrés .A bientôt..
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Quelques histoires d’un écrivain qui me plaît de plus en plus : voici Le Mont Crépitant d’Osamu Dazai !
Edition lue :
Éditeur : Philippe Picquier
Publié en grand format en : Octobre 1997 (sous le titre « Les Deux Bossus »)
Publié en format poche : Juin 2009
Traduction : Silvain Chupin
Publié au Japon en : 1945
Nombre de pages : 176
Prix : 6,60€
Dazai Osamu revisite ici des contes populaires japonais, racontés par un père à sa fille dans un abri antiaérien, qui ne va pas hésiter à y ajouter quelques touches personnelles. Je vais me consacrer sur un conte qui m’a beaucoup plu, il s’agit de Monsieur Urashima. Il se base sur le célèbre conte Urashima Tarô, un jeune pêcheur qui va suivre une tortue (avec qui il aura des dialogues hilarants) et avec qui il va se retrouver dans le légendaire palais du dragon, au fond de l’océan. Il va notamment rencontrer Otohime, ce personnage mythologique qui va lui offrir un mystérieux coquillage…
« C’est ça, la vie au palais du Dragon : se nourrir d’algues, s’enivrer de pétales de fleurs, se désaltérer de cerises, charmer ses oreilles au son du koto d’Otohima et contempler les danses pareilles à des tempêtes de fleurs qu’exécutent les petits poissons. »
Ce conte est tout simplement excellent. Amusant, conté de façon originale, et le père le lisant à sa fille en tire un conclusion différente de celle qui est généralement attribuée à ce conte populaire. Une écriture vraiment agréable et belle, pour une histoire qui m’a tout simplement passionné. Et c’est ce sentiment que j’ai gardé tout au long de la lecture de ce recueil, c’était un excellent moment de lecture, drôle, on en apprend plus sur certains contes, avec des ajouts du père, qui n’hésite pas à monologuer sur des sujets triviaux. Les dialogues sont notamment l’un des grands points forts de ce recueil !
« Le lapin du conte du Mont Crépitant est une jeune fille, et le raton, qui essuie ces lamentables avanies, un homme repoussant, épris d’elle. »
Un recueil de contes populaires qui nous fait voyager et nous emmène dans un petit cocon hors du temps. Je n’ai qu’une envie : me plonger encore plus dans l’oeuvre d’Osamu Dazai !
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Le projet Interreg HeatNet North West Europe (HeatNet NWE) diffuse en ligne un guide complet sur le chauffage urbain. Ce guide aidera les villes désireuses d’en apprendre plus et de développer des réseaux de chauffage urbain (RCU).
Dans le cadre du projet HeatNet NWE, six villes du Royaume-Uni, d’Irlande, des Pays-Bas, de Belgique et de France ont développé des réseaux de chaleur et de froid urbains basse température innovants. Le site web compile tout le savoir et l’expérience accumulés depuis quatre ans et offre un accompagnement technique sur les RCU mais aussi de la documentation accessible à un public non-spécialiste. Vous trouverez des informations étape par étape pour bien démarrer, de la phase de cartographie des besoins et des sources de chaleur au développement de mesures de soutien pour les futurs RCU.
Pour guider les organismes du secteur public à évaluer la faisabilité des réseaux de chauffage urbain dans leur région, le projet a élaboré six feuilles de route pour la transition, qui présente les expériences des villes pilotes dans le développement de six projets de chauffage urbain. Ces feuilles de route recouvrent des domaines tels que le rôle et les responsabilités des parties prenantes, la règlementation et les politiques, l’aménagement du territoire, les modèles d’affaires et la viabilité, ainsi que le financement et la passation des marchés publics. De plus amples informations sur le processus de chaque pilote sont disponibles sous forme d’études de cas et d’entretiens vidéo.
Le développement et la mise en place de projets de chaleur et de froid urbains peuvent être longs et complexes. Des investissements considérables sont nécessaires pour créer un RCU. Aussi, une partie du guide est consacrée aux aspects financiers : vous trouverez des informations sur les différents modèles d’affaires et de gouvernance envisageables pour le secteur public, et sur les modes de financement pour le développement d’un réseau de chaleur urbain.
02 juin 2020
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Daniel CHARLES
Daniel CHARLES
C'est donc avec le plus grand sérieux que notre étudiant en harmonie se mit à composer pour des ensembles de percussions. Il s'attelait ce faisant à une tâche indéfinie, celle de renouveler les timbres déjà répertoriés en procédant à la prospection méthodique de saveurs inexplorées. Mais si entreprendre d'ausculter l'"âme" des choses, c'était prendre au sérieux l'utopie de la "pantonalité", seul pouvait y prétendre un instrumentarium omnivore, et par conséquent en perpétuelle expansion. D'où chez Cage, à partir de cette époque, une attitude "artisanale", qui le pousse à la fois à explorer les sons de toute nature – les bruits y compris – et à œuvrer en recherchant une cohérence structurale, propre à compenser par la surdétermination des durées la perte relative (au moins dans les pièces pour percussions) du contrôle des hauteurs.
En 1937, il élabore un manifeste historique (L'Avenir de la musique : Credo) par lequel il réclame, de façon prémonitoire, que soient ouverts des laboratoires ou studios permettant de composer de la musique électronique. Et comme pour en anticiper le résultat, il va composer, entre 1939 et 1952, les cinq "Paysages imaginaires" (Imaginary Landscapes), pour petits ensembles de batteurs. Dès le premier (1939), la part belle revient à la distillation, rythmiquement raffinée, de plusieurs innovations instrumentales – n'oublions pas qu'avant la fin 1938, Cage avait défrayé la chronique en inventant le "piano préparé"– ; et au nombre de ces innovations figure – plusieurs années avant la "musique concrète" du Parisien Pierre Schaeffer – l'usage des premières sonorités électro-acoustiques. Les second et troisième Landscapes (1942) développeront une liberté du même genre, et s'inscriront dans une mouvance esthétique analogue.
Mais la perspective change radicalement en 1951. Dans l'Imaginary Landscape Number Four, œuvre dont le succès de scandale ne manquera pas de corroborer la réputation quelque peu sulfureuse déjà faite à John Cage, celui-ci se permet d'afficher plus ouvertement la fascination qu'il éprouve pour les sonorités "extra-instrumentales". En effet, la partition fait appel, en tout et pour tout, à 12 récepteurs de radio actionnés par 24 exécutants. Et un an plus tard, soit en 1952, l'Imaginary Landscape Number Five – lequel se trouve être immédiatement antérieur à la célèbre pièce silencieuse 4'33" – va définitivement enfoncer le clou : l'auteur, séduit par le principe d'une écriture à base de graphes que vient de mettre au point son collègue Morton Feldman, décide de l'appliquer au domaine électro-acoustique. Du coup, la partition requiert que l'on enregistre sur une bande magnétique huit strates de sonorités distinctes, elles-mêmes prélevées sur un ensemble de 42 disques pris au hasard. Il s'agit, comme l'auteur l'a laissé entendre, d'un galop d'essai en vue de la réalisation de l'une de ses pièces électro-acoustiques majeures, le Williams Mix (à venir, également en 1952), pour laquelle sera employée une procédure complexe de superposition et d'emboîtement de strates. Le déferlement sonore ainsi organisé excèdera de ce fait, tout comme dans le cas des 12 radios du Number Four, les possibilités d'anticipation de son (ou de ses) initiateur(s) – si bien que l'"imaginaire" auquel faisait référence le titre des Imaginary Landscapes n'est même plus de saison, le musicien n'hésitant plus à affronter de plein fouet l'indétermination.
Tout se passe donc comme si l'ordre de succession des Landscapes devait être interprété comme faisant signe, par un fléchage résolu, vers l'imaginaire de l'excès et de la dé-mesure : de 1939 à 1952, soit au tournant du demi-siècle et comme pour encadrer le second conflit mondial, c'est effectivement du côté de l'incertitude et de l'illimitation généralisées, donc en direction de l'apeïron des Grecs, que pointe le travail créateur de John Cage. Comme si composer ne se concevait plus désormais que dans les termes qu'a brillamment illustrés de nos jours le sculpteur Bauduin, d'un dépôt, voire d'une dé-position essentielle, autour de laquelle il lui faudrait graviter… Et – en poussant, avec Christophe Charles, la métaphore jusqu'à son terme – comme si cette dé-position ne nous livrait le secret de la composition qu'en se faisant elle-même dé(com)position !
Notons au passage que ceux des musiciens (européens, en premier lieu) qui n'avaient pas reçu cette problématique de John Cage en 1952 ont eu ensuite l'occasion de se familiariser avec elle, grâce (entre autres) à un manifeste ironique professé au Festival de Palerme par Mauricio Kagel, et que son intitulé (latin), Decompositio est, a rendu fameux. (On songe à ce propos à la manière dont Derrida a traduit la notion heideggerienne de Destruktion, en se contentant d'insérer, à même ce mot, un (modeste) supplément d'une syllabe – ce qui lui a permis d'obtenir en français le concept-clef de déconstruction.)
Que, par un si mince ajout, on puisse se permettre non seulement de retrancher, mais bien de démolir, un tel oxymore mérite sans doute d'être considéré d'un peu plus près. Reprenons à cet effet l'exemple de l'Imaginary Landscape pour 12 radios. La création en fut, dit-on, tumultueuse, car l'œuvre, programmée pour la fin de la soirée, fut jouée après minuit ; la plupart des stations ayant cessé d'émettre, on entendit essentiellement un concert de parasites. En choisissant de s'en tenir à cet instrumentarium radiophonique, le compositeur avait-il piégé ses interprètes et son public ? Non, car cette décision n'avait nullement cherché à soustraire ou à perturber quoi que ce fût, de l'œuvre et de son économie – et pourtant la partition mettait quiconque au défi, même si l'exécution avait eu lieu à une heure ouvrable, de supputer par exemple quels émetteurs fonctionneraient, ni ce qu'ils diffuseraient. Il eût fallu, pour cela, se lever tôt et calculer d'arrache-pied…Tout, en somme, reposait sur une question de temps. Mais le temps n'est-il pas, à l'époque de la technologie déchaînée, ce qui manque le plus ?
En outre, chaque fois que l'on joue une telle musique, la gestuelle des participants corse l'intrigue. Par elle, le "simple" auditeur est invité à décentrer son attention, et même à la focaliser sur plusieurs phénomènes à la fois. Il se fait alors spectateur – c'est-à-dire qu'une fois dissipée l'illusion selon laquelle dans un concert, seule compte l'écoute, il se porte à l'égale rencontre de tout ce qui relève du visible – qu'il s'agisse de mouvements ou d'attitudes, de plans ou d'arrière-plans. Du coup, l'accueil fait à la musique ne diffère plus de celui que l'on réserve à la danse, pour peu que l'on se rende sensible à l'animation de l'espace et à sa pluralisation. D'où le mot de Cage : "une oreille seule n'est pas un être". Et en s'appuyant (entre autres) sur la connivence éclatante – mais fondée sur la distance – entre Cage et Cunningham, un philosophe français a montré avec profondeur qu'il n'est de véritable création que chorégraphique (1).
La "musique électronique vivante" (live electronic music), qui a tenu lieu de label à partir des années cinquante pour ce qui s'élaborait à New York plutôt qu'à Paris, Cologne ou Milan, a ainsi paru trancher sur la production européenne par son parti-pris de théâtralisation, et donc de complexité vécue. Sans doute ne faudrait-il pas durcir à l'excès une opposition de ce genre : l'Europe n'avait certes pas omis au fil des âges de mettre en scène sa musique propre. Et de même qu'au XIXème siècle, soigneusement ritualisée et codée, la disposition spatiale d'un grand orchestre paraissait mériter le coup d'œil, pourquoi eût-il dû en être autrement au XXème dans le cas d'une musique "acousmatique", même si, par bulle, tel pape ou sous-pape de la musique dite "concrète" avait interdit au départ que l'on identifiât l'origine physique des sonorités utilisées ? Histoire d'éviter que le public ne somnolât, on prit donc l'habitude d'exhiber, à même la salle ou la scène, la table de mixage avec son opérateur – ersatz d'un chef d'orchestre – ; et la coutume tendit à se généraliser.
Mais dans le cas le plus favorable, à supposer que l'opérateur ainsi convoqué fût le compositeur en personne, et qu'il n'usurpât donc en rien les prérogatives du créateur, qu'espérait-on finalement obtenir, sinon l'affichage d'une généalogie ? C'est le principe temporel de hiérarchie, présidant à tout engendrement linéaire, que l'œuvre tendait en réalité à préserver. - Au contraire, la théâtralisation à l'américaine, telle que l'a balisée John Cage, a évolué, en particulier dans les deux derniers Landscapes, vers une économie résolument non hiérarchique. C'est qu'elle mettait en jeu un temps non pas exclusivement musical, mais désenclavé : relevant en fait de l'épistémologie des systèmes complexes.
Et que signifiait ce "désenclavement" ? Commençons à ce propos par énumérer, en suivant la critériologie élaborée par Mark C. Taylor (2), les sept requisits auxquels doit satisfaire un système pour être qualifié de "complexe" :
"1 – Les systèmes complexes comprennent beaucoup de parties distinctes, lesquelles sont connectées de façon multiple ;
2 – Des composantes diverses peuvent y interagir à la fois sériellement et parallèlement, de manière à engendrer des effets et événements aussi bien simultanés que séquentiels ;
3 – Les systèmes complexes s'auto-organisent spontanément, ce qui complique les rapports de l'intériorité et de l'extériorité au point de rendre indécidable leur ligne de partage ;
4 – Les structures qui résultent de l'auto-organisation spontanée émergent de, mais ne sont pas nécessairement réductibles à l'interactivité des composantes ou éléments présents dans le système ;
5 – Bien qu'engendrées par des interactions locales, les propriétés émergentes tendent à la globalité ;
6 – Dans la mesure où les structures auto-organisatrices émergent spontanément, les systèmes complexes ne sont ni fixés ni statiques, mais se développent ou évoluent. Une telle évolution présuppose que les systèmes complexes sont à la fois ouverts et adaptatifs ;
7 – L'émergence advient dans un espace de possibilités qui se réduit à celles dont les conditions ne sont affectées ni d'un excès d'ordre, ni d'un excès de désordre. Cette frontière ou marge est "le bord du chaos", lequel se tient toujours à distance de l'équilibre."
Cependant, selon une telle perspective, les Imaginary Landscapes ne sont pas seulement "imaginaires" au titre des interactions entre leurs diverses composantes. Pour le dire à la façon de Murray Schäfer, ce sont aussi des Soundscapes. Et dès lors qu'ils instaurent des paysages sonores, l'"image" qu'ils véhiculent prend valeur de témoignage, non seulement sur l'évolution ou la mutabilité évanescente de la sensation auditive qu'ils procurent, mais sur l'émergence, à même son écoute, de l'esquisse fictionnelle d'un spectacle – comme si ce qui est à entendre n'avait de cesse que de se donner à voir.
On se situe ici au plus près de ce qu'a décrit Michel Bernard à propos de L'Oeil écoute de Claudel : il s'agit d'un "pouvoir anarchique de simulation", laquelle "s'exerce, tout d'abord, au sein de la sensation où elle fait surgir l'imaginaire premier (…) de l'altérité fictive de notre affect ; d'autre part, dans le jeu d'interférences entre les diverses sensations, qui approfondit cette première forme de fiction en créant une sorte d'imaginaire second qui opère une mutation de la nature spécifique du processus fictionnaire d'un sens par les modalités respectives de ceux des autres organes."(3) Dire "l'œil écoute", c'est constater en ce sens que l'oreille impose à l'œil "la nouvelle fiction étrange d'un visible insolite qui est, paradoxalement, à ouïr. Bref, toutes nos sensations ne se contentent pas de s'entre-répondre ou de résonner les unes sur ou dans les autres, mais elles tissent entre elles une texture corporelle fictive et instable qui habite et double notre corporéité apparente, à l'instar de l'acte d'énonciation, et qui simultanément lui confère une dimension expressive."(4)
Définir en ces termes le projet figuratif ou figural en quoi consiste l'œuvre elle-même, en tant qu'elle se veut sonore, ce n'est évidemment pas revenir pour autant à la "musique-peinture" (malende Musik) dont Schopenhauer avait déploré la présence dans les titres des mouvements de la Pastorale (et cela, nonobstant les excuses que Beethoven s'était mis à formuler en inscrivant sur la partition "Plus d'expression que de pittoresque", Mehr Ausdruck als Malerey). Ce dont il est question concerne bien plutôt l'en deçà de toute icône (et de toute velléité de transcender, ou d'outrepasser le royaume des signifiants). En effet, la migration perpétuelle des flux connotatifs, en amont du défilement des signifiés et donc antérieurement à toutes les dénotations, s'articule sur le devenir immanent de la dynamique fictionnelle qui en détermine la projection.
Autrement dit, on vise ce que le Jean-François Lyotard des Dispositifs pulsionnels ciblait, lorsqu'il prenait ses distances vis-à-vis de l'"alternative" définie par Adorno : n'étant "ni apparence, musica ficta, ni connaissance laborieuse, musica fingens", l'œuvre (ou la non-œuvre) "littérale", povera, serait, disait-il, "jeu métamorphique d'intensités sonores, travail parodique de rien, musica figura".
Ce que communiquent les Imaginary Landscapes du jeune Cage peut donc se laisser appréhender de manière relativement simple – encore qu'il y ait là un paradoxe, puisque ce à quoi nous assistons avec l'apparition de ces œuvres, et qui leur confère pour ainsi dire valeur inaugurale, c'est bel et bien l'entrée dans le royaume des phénomènes réputés complexes… De ce paradoxe, la formulation la plus évidente a été donnée par Mario Costa – il est vrai sans référence directe aux partitions ici évoquées, mais avec une mention explicite concernant leur auteur. Dans le texte de présentation qu'il a rédigé pour Artmedia VIII, et qu'a reproduit la revue Art press, Mario Costa s'exprime en effet sans ambages : "Nombre d'artistes du 20ème siècle, notamment John Cage, étaient sûrs de libérer et de montrer le temps à travers l'emploi des technologies, sans considérer, en revanche, que le temps, le "temps pur", n'existe pas ; ils ont tout simplement commencé à libérer et à faire apparaître le temps des nouvelles technologies. Nous ne sommes pas dans le temps, le "temps pur", mais uniquement à l'intérieur du temps que la technique, chaque fois d'une manière discontinue, laisse émerger et transparaître."(5)
Autrement dit, et à l'inverse de tout ce que l'apparente dénonciation de la technique (telle qu'attribuée par exemple à Heidegger) a pu signifier pour le tout-venant des commentateurs, nous devons nous habituer à considérer désormais le temps des nouvelles technologies de la communication comme ultime – c'est-à-dire, si lacunaire et défectueux qu'il soit (et si attardés que nous soyons, nous que Nietzsche baptisait les tard-venus), comme le seul temps vrai. Cela signifie-t-il, comme le pense Mario Costa, que "la philosophie et l'art ne sont, dans leur essence, rien d'autre que ce type de temps transposé dans la pensée ou tout simplement mis en œuvre" ? Oui, mais à la condition évidemment de ne pas céder à la tentation de fétichiser la "pureté" en la situant encore ailleurs, dans un autre arrière-monde.
Ce que veut dire Costa, c'est qu'il est peut-être temps – justement ! – de réaliser que le temps n'est pas et ne saurait être un absolu ; et que le relativiser, cela ne revient absolument pas à poser autre part un absolu sur le fond duquel s'enlèverait le relatif. Car le "fond", le Grund, est ce qui précisément se dérobe – mais sans que s'ouvre pour autant on ne sait quel abîme. L'enjeu est clair : nous devons nous délivrer du dualisme. Mais il y a délivrance et délivrance. Car on ne s'exempte nullement du dualisme en regagnant le giron de l'Un parménidien, comme le fait par exemple l'Achille du Douglas Hofstadter de Gödel, Escher, Bach en supposant que le Mu – le Néant des bouddhistes, par quoi ces derniers désignent le réel – est susceptible d'englober les deux, l'absolu et le relatif ;– alors qu'il n'est, simplement, ni l'un, ni l'autre (6).
N'être ni l'un, ni l'autre, est-ce être nécessairement un troisième terme ? Mark C. Taylor le fait remarquer aux dépens d'Hofstadter, la pensée dialectique, ou celle qui énumère les réalités en espérant parvenir à une totalité, perd de vue la subtilité de la double négation que ne vient "corriger" aucune affirmation. C'est cette subtilité qui fait assurément le prix des équivoques cagiennes, de plus en plus teintées de logique bouddhiste à mesure que se succèdent les Imaginary Landscapes, et c'est à elle que renvoie clairement, dans la production de Cage à partir de 1952, l'éthique de l'"indétermination" telle que l'ouvre, dans le sillage des Landscapes mais avec toute la saveur d'un kôan, la première pièce silencieuse 4'33". Et c'est de cette même subtilité, ourlée assurément de tous les risques et incertitudes liés au déchiffrement de la nouveauté, que participe le temps "néo-technologique" (7) dont fait état Mario Costa, et que l'on définira volontiers avec lui comme "un flux d'énergie indiscernable", c'est-à-dire "comme un flux d'une énergie engendrée par l'entrelacement qui existe entre le temps de l'organisme et le temps de la machine communicante et, par conséquent, entre le temps du sujet et le temps de l'espèce. Tout cela produit l'affaiblissement réciproque de chacun de ces termes : organisme, machine, sujet et hypersujet se confondent et se dissipent l'un dans l'autre. Leur place est alors l'écoulement, en un présent continu et universellement répandu, d'un fracas indistinct d'énergie, vitale et en même temps machinique, subjective et en même temps collective. L'esthétique de la communication est un détecteur de zones de perturbations et de champs de vibrations ; elle signale ces zones et ces champs, les fait apparaître et les laisse subsister."
Notes
1 - Cf. Michel Bernard, De la Création chorégraphique, Coll. Recherches, Paris, Centre national de la danse, décembre 2001, p. 11-14 (et passim)
2 - Mark C. Taylor, The Moment of Complexity, Chicago, University of Chicago Press, 2001, p. 142-143.
3 - M. Bernard, op. cit., p. 92.
4 - M. Bernard, op. cit., p. 119.
5 - Mario Costa, "L'esthétique de la communication et le temps technologique", Art press, éd. spéciale Artmedia VIII (29 nov.-2 déc. 2002), p. 6-7.
6 - Taylor, op. cit., p. 162.
7 - Costa, loc. cit., ibid.
© Daniel Charles & Leonardo/Olats, janvier 2003
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Ajouté: 2020-03-28
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Plus de détailsPlus de détailsPlus de détailsPlus de détailsPlus de détailsDescription probiotiques sont composés de gasseri, une souche réputée pour favoriser la gestion du poids et du sucre. Majorité des compléments alimentaires sont fabriqués à base de plante. Vous continuez à utiliser ce sans changer vos paramètres de s ou si vous cliquez sur cidessous, vous consentez à celaPosez votre questionQuelques mots de remerciements seront grandement appréciés. Les résultats statistiques qui en découlent ne permettent en aucune façon d’identifier des individusPar est un service proposé par aux vendeurs ceuxci stockent leurs produits dans les centres de distribution et s'occupe du traitement de la commande, de l'emballage, de l'expédition et du service client pour ces articles. Votre electric vous apporte tout ce qu'il faut pour profiter au mieux de la http://vi-vn.acne-preparations48.eu thuoc boi tri mun mobilité électrique. Vers des cosmétiques d’origine uniquement végétale est une bonne initiative. Bactéries probiotiques aident le corps à décomposer les nutriments, à stimuler le système immunitaire et à protéger les intestins contre les toxines et les organismes nuisibles. Articles récentsCommentaires récents légales contactsolarianEst un complément alimentaire à base de magnésium, de taurine, de vitamine de vitamine édulcorant. Presque euro càd francs pour gélules ne sera pas pour moi. Qui concerne le cheval fiscal, le prix unitaire pour l’Aube est de coût d’une carte grise est composé de taxes, dont l’application varie selon la région, l’utilisation et la nature du véhicule. Portée de main l'énergie directe avant l'entraînement.
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Description
Les marques d’eau (ou taches d’eau) sont causées par l’évaporation de l’eau dure à la surface. L’eau transporte des minéraux et des contaminations, et lorsque l’eau s’évapore, ces contaminants sont surchauffés et laissés à la surface. Optimum MDR fonctionnera mieux sur une surface qui a été enduite et protégée avec un produit tel qu’Optimum Gloss-Coat où les taches d’eau n’ont pas eu la chance de graver dans la peinture. Optimum MDR est non abrasif et s’applique à la main avec un applicateur en mousse ou en microfibre. Massez doucement le gel dans les taches d’eau pendant 30 à 60 secondes, le MDR dissoudra lentement les minéraux. Rincez et vérifiez la surface pour les marques restantes. Pour les taches tenaces, le MDR peut être appliqué à la machine à basse température avec un tampon en mousse souple. Utilisez le MDR comme lubrifiant et travaillez la zone touchée.
REMARQUE: Pour les taches d’eau qui ont pénétré la couche transparente, le MDR ne sera pas efficace et ces marques nécessiteront un polissage à la machine.
Instructions: Versez Optimum MDR sur une serviette en microfibre propre ou un applicateur en mousse. Essuyez la surface et travaillez-la pendant 30 à 60 secondes. Essuyez les résidus et vérifiez si la surface est propre et exempte de dépôts minéraux. Répétez les étapes ci-dessus au besoin pour éliminer tous les contaminants restants. Lavez la surface pour éliminer tout résidu chimique restant.
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Il y a quelques années lorsque je me suis intéressé aux GaaS (Games as a Service), à une époque où tout le monde cherchait la « viralité » sur internet et les réseaux sociaux, je me suis intéressé à ce concept de « viralité » pour mettre au point cette méthode de conception (inspirée donc des virus) et qui peut être utilisée pour beaucoup d’autres produits.
Alors, comment créer la pandémie ?
FONCTIONNEMENT GÉNÉRAL
CEIR signifie Contagiosité / Efficacité / Infectivité / Résilience, il s’intéresse aux valeurs-clés que doit proposer un GaaS et permet de mieux se représenter l’ensemble du projet ainsi que son suivi sur le temps. Pour sortir d’un cadre viral assez cynique et peu engagent, on parlera alors de modèle AECR, pour Acquisition / Efficacité / Conversion / Rétention.
L’idée est de classer les différentes fonctionnalités qui constituent le jeu dans les 3 catégories C, E, I et R (que nous allons détailler ensuite), de leur attribuer un indice d’impact préliminaire que l’on pense réaliste.
À partir de ce catalogage, on pourra déjà déterminer de quoi le jeu manque, ce qui donnera des pistes sur quel point précis travailler.
Bon pour mieux comprendre il faut que je parle des catégories, alors allons-y :
- Contagiosité – Acquisition
La contagiosité d’un virus est sa capacité à se propager. Pour un jeu, c’est la nécessité qu’il se fasse connaître des joueurs par ses mécanismes intrinsèques, on parle d’acquisition utilisateur.
Ici on classe toutes les mécaniques dont le but est de faire en sorte que l’utilisateur fasse connaître le jeu à autrui. Cela peut par exemple correspondre à ce qui va leur donner envie d’en parler, de partager du contenu, de streamer, de faire produire du contenu in-game, production de fanart/fanfic, etc.
- Efficacité
On peut voir ça pour le virus comme sa faculté à… remplir son rôle. Pour un jeu, heureusement c’est plus joyeux, c’est sa capacité à aussi remplir son rôle : répondre aux attentes des joueurs.
On classera alors ici toutes les mécaniques qui servent le cœur et l’expérience de jeu, les innovations, les points intéressants du game design, de l’ergonomie, etc.
- Infectivité – Conversion
Cela représente la capacité du virus à infecter son hôte, c’est-à-dire s’y reproduire et provoquer un état pathologique. Dans un jeu, généralement pour un jeu gratuit, ce sera son potentiel à faire payer un joueur, on parle alors de conversion (joueur gratuit convertit à joueur payant).
Se mettront ici les différents modèles économiques, les méthodes de paiement et les mécaniques qui sont là pour donner à l’utilisateur envie de dépenser de l’argent dans le jeu.
- Résilience – Rétention
Pour un virus (ou toute autre forme de vie), la résilience représente le pouvoir de résister aux perturbations extérieures. Pour un jeu, on parlera ainsi de rétention, c’est à dire son efficacité à retenir les joueurs le plus longtemps possible.
Ainsi, on rangera ici toutes les mécaniques dont le but est de donner au joueur l’envie de revenir sur le jeu régulièrement, après un court temps d’absence et/ou après un long temps d’absence.
Une fois toutes les mécaniques et fonctionnalités classées, on peut les pondérer en essayant d’anticiper quel impact cela peut avoir. On peut le faire avec des mots comme « faible » « fort », des + et des -, des nombres en déterminant d’une granularité à l’avance, peu importe tant que ça parle le plus à l’équipe.
Pour être plus efficace, on peut aussi faire la même chose par segmentation du public cible.
Un bon moyen est de ranger tout ça dans un tableur.
PHASE DE CONCEPTION
Pendant la conception du jeu, c’est un moyen supplémentaire de rationaliser le game design, en ayant une vue d’ensemble du projet vis à vis de ses objectifs, en exprimant « sur papier » les impressions et attentes que l’on a de la part de ses différents constituants.
C’est un bon moyen d’être d’avoir une base générale sur laquelle chaque membre de l’équipe peut exprimer ses avis, afin d’arriver à une représentation générale de la vision d’équipe. On peut dès le départ voir quelles sont les forces et faiblesses, les points peu travaillées ou sur lesquels on exprime des doutes.
PHASE DE DÉVELOPPEMENT
Le document peut d’une part servir de suivi de projet pour les game designers, mais de suivi tout court lors des phases de test en regardant via les différentes metrics si les éléments ont bien l’impact prévu par le modèle lors de la phase de conception.
On peut ainsi mettre les résultat de ce que les données montrent et ajouter des notes, puis procéder à des ajustements. L’outil devient ainsi un historique de développement qui tient compte de l’efficacité des mécaniques dans le temps auprès du public.
PHASE DE VIE
Une fois mis sur le marché, l’outil sert de la même façon que lors de la phase de développement. Le modèle étant évolutif et gardant la trace des différents opérations, il peut servir de base efficace aux game designers pour préparer les mises à jour, surtout si le jeu inclus des système de recueil de données analysés par un data scientist. On peut segmenter les observations en fonction de différents publics, de contexte, d’événements particuliers… N’hésitez pas à colorer des cases, y adjoindre un Power Bi, etc.
En plus de noter l’efficacité des différentes mécaniques au fil du temps, on peut y rajouter les changements dûs au patchnotes et les différentes évolutions par rapport à l’analyse précédente.
POST-MORTEM
L’avantage de ce modèle, c’est qu’il est accessible par n’importe qui car donne une bonne représentation du projet lors de son cycle de vie. On peut donc assez facilement en tirer des leçons.
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la peinture pour sa propre satisfaction ; on est comptable de ses ouvrages à l’opinion publique ; le salon est la barre du tribunal devant lequel il n’est pas permis de faire défaut.
Privé de ces illustrations de premier ordre, le salon de 1835 n’en offre peut-être qu’un champ plus curieux à l’observation. On remarque une rénovation heureuse de physionomie dans les sommités de l’exposition. Ainsi les noms que nous citerons en première ligne sont peut-être tout-à-fait nouveaux à la plupart de nos lecteurs ; c’est d’abord, avec M. Ary Scheffer, M. Bouchot, M. Forestier ; c’est en même temps M. Champmartin, reparaissant avec éclat parmi les peintres d’histoire : M. Louis Boulanger, M. Gigoux ont fait de grands efforts, en partie couronnés de succès ; M. Vinchon s’est acquitté avec quelque bonheur d’une tâche difficile, et M. Lehmann s’est signalé par un début du plus heureux augure ; dans la peinture anecdotique ou de demi-caractère, nous trouvons MM. Schnetz et Lugardon assez près de M. Delaroche. Parmi les peintres de scènes familières, il nous faudra bien accoler quelques noms modestes à celui de M. Biard, ce nouveau colosse de la caricature. En marine, M. Lepoittevin prend une revanche sérieuse de nos critiques passées. Pour les animaux, M. Brascassat rappelle le Paul Potter, moins la couleur, il est vrai, et la naïveté. En fait de portraits, outre les ouvrages toujours si distingués de M. Champmartin, nous trouvons un certain nombre de morceaux frais, fins et solides, à opposer aux succès bourgeois de M. Dubufe et aux fusées de M. Lépaulle. Le paysage présente un magnifique développement de promesses acquittées et d’espérances à concevoir ; c’est dans le paysage que la marche de l’école nous semble à la fois la plus indépendante et la plus avancée. A côté des noms déjà bien appréciés d’Aligny, de Cabat, de Corot, de Paul Huet, ceux de MM. Bodinier et Marilhat réclament une place d’honneur. La peinture d’intérieur n’est plus le monopole de Granet ; grace aux efforts de MM. Aurèle Robert et Perrot, elle a quitté la route fausse de Bouton, imparfaitement modifiée par Dauzats ; elle est redevenue aussi réelle, aussi simple que la peinture de paysage ; enfin, au-dessus de ce microcosme de la miniature, de l’aquarelle et du lavis, monde que nous abandonnons de grand cœur à son train-train de petites ventes et de modestes leçons, nous
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Manifeste Incertain. Liberté obligatoire. Gobineau l’irrécupérablepublié le
« Ma vie vivante se dresse face à moi comme une tragédienne trop fardée, et qui se jette sur la scène un soir de trop. » Ces mots ferment le dernier chapitre, bouleversant. Quarante-quatre ans « après », l’auteur retourne à Dieulefit, dans la Drôme, où il a été placé par sa mère dans une « école libre », laboratoire d’anarchie et de passions. Tandis que l’adulte revient là où son cœur adolescent « a battu si fort », la mélancolie domine. Toute vie est un processus de démolition. Pourtant, le temps a une chair. De même que le vin noir détruit en nous offrant l’ivresse. Liberté obligatoire n’est pas seulement une méditation désenchantée sur la « viande du temps » : Pajak y dresse aussi le portrait du comte Arthur de Gobineau, à qui l’on doit l’Essai sur l’inégalité des races humaines. Ce n’est pas tant à ce brûlot raciste que Pajak s’intéresse qu’au pitoyable processus qui mène à écrire un brûlot raciste. Diplomate, Gobineau a perdu son héritage pour mourir dans la pauvreté à Turin en 1882 ; marié à une Créole dont il avait deux filles, il a vu son ménage se disloquer dans la haine ; écrivain, il a éclipsé son œuvre littéraire par un pamphlet que la postérité a seul retenu. Un naufrage.
Sur le même sujet
Au XIXe siècle, la notion de race fait l’objet de vives controverses. Arthur de Gobineau est l’un des premiers à soutenir que la race possède des fondements biologiques plutôt que culturels. Ses théories, qui connaîtront une sinistre postérité, se heurtent aux critiques du libéral Alexis de Tocqueville, qui a pourtant été son mentor et ami. Histoire d’une déchirure.
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Au cours de mon expérience chez Tunisiana, j'ai acquis des compétences pour gérer un projet : spécification , développement et déploiement.
J'ai acquis des compétences dans le déploiement Genesys solution-based contact center, la gestion de la plate-forme CTI/IVR, le développement des applications et des rapports complexes selon les spécifications du cahier des charges.
Spécialisations : CTI/SVI, Genesys Frameworks, WorkForce management, Genesys SDK
Mes compétences :
CTI
Gvp
VoIP
Genesys Framework
SIP
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Les farines IG bas a favoriser !
L’index glycémique (IG) est un indicateur permettant d’évaluer l’influence d’un aliment sur la concentration en glucose dans le sang(glycémie). Il reflète les variations de notre taux de sucre sanguin après l’ingestion de nos aliments. Ainsi, il permet de classer les aliments : les aliments à IG bas entraînent une augmentation légère et lente de notre glycémie, suivie d’une baisse lente et progressive. A l’inverse, les aliments à IG haut entraînent hausse rapide et importante de notre glycémie, suivie d’une diminution brusque et rapide.
Ces derniers sont incriminés dans le processus de prise de poids ou encore dans l’apparition du diabète de type II.
Pour évaluer l’index glycémique des aliments, nous prenons en référence l’IG du glucose, établi à 100. Ainsi, on classe les aliments en trois groupes :
A IG élevé : > 60
A IG moyen : compris entre 40 et 59
A IG bas : < 40
Si l’on s’intéresse à la farine, nous pouvons constater que l’IG peut varier de 15 à 95. En effet, le type de farine ou encore l’ingrédient utilisé pour la fabriquer influencent directement cet indicateur.
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Vous pouvez gérer différents paramètres de l'inventaire qui s'appliquent à l'ensemble de votre réseau. Pour afficher ces paramètres, accédez à Inventaire Paramètres des réseaux.
Indiquez si vous souhaitez ou non qu'Ad Manager suggère de nouveaux blocs d'annonces pour votre réseau.Si vous ajoutez un bloc d'annonces à un tag d'emplacement publicitaire avant de le définir dans Ad Manager et qu'au moins 10 impressions y sont diffusées, Ad Manager suggère de créer un bloc d'annonces correspondant. Pour approuver des blocs d'annonces suggérés, cliquez sur Inventaire Bloc d'annonces Blocs d'annonces suggérés.
Définissez la façon dont les annonces de votre réseau s'ouvrent par défaut.
- _blank : permet d'ouvrir les annonces dans une nouvelle fenêtre.
- _top : permet d'ouvrir les annonces dans la même fenêtre.
Saisissez les détails concernant la récompense accordée aux utilisateurs pour avoir regardé une annonce vidéo. Par exemple, si cette récompense implique d'offrir 20 vies supplémentaires dans un jeu, saisissez "20" pour "Montant de la récompense" et indiquez "vies" pour "Type de récompense".
Cochez cette case pour permettre à Google AdSense de maximiser vos revenus en mettant en concurrence sur le critère du prix et en temps réel vos éléments de campagne de type réseau, groupé, priorité au prix ou auto-promotion. Si AdSense est en mesure de proposer une annonce plus rémunératrice, elle est diffusée. En savoir plus
Limitez le nombre de fois que les utilisateurs voient des créations. Pour les deux types de limites du nombre d'expositions, sélectionnez le nombre maximal d'impressions par utilisateur, puis indiquez à quelle fréquence cette limite sera atteinte.
- Définir des limites du nombre d'expositions pour le libellé : vous devez également sélectionner le libellé auquel la limite sera appliquée.
- Définir des limites du nombre d'expositions du bloc d'annonces : appliquez cette option à tous les blocs d'annonces ne disposant pas de leurs propres limites du nombre d'expositions. Elle est utile lorsque vous souhaitez définir des limites du nombre d'expositions au niveau d'un format (comme des interstitiels ou des annonces avec récompense), et que ces formats sont organisés par bloc d'annonces.
Une limitation du nombre d'expositions est appliquée à toutes les créations d'un bloc d'annonces. Par conséquent, veillez à ne pas bloquer des annonces par inadvertance.
Ajoutez des libellés afin que les wrappers de création puissent être appliqués à l'ensemble du réseau. Les wrappers de création se composent d'extraits de code placés avant et après le code de la création diffusée. Grâce à ces wrappers, vous pouvez diffuser des pixels de suivi tiers ou d'autres types de code dont vous avez besoin.
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Pendant près de deux décennies, les patients atteints d'un cancer du sang ont dépendu de longues perfusions de décitabine de chimiothérapie. Maintenant, avec une approbation de la FDA pour la version orale d'Astex Pharmaceuticals, ils ont une alternative.
Inqovi d'Astex a obtenu l'approbation de la FDA pour traiter les syndromes myélodysplasiques à risque intermédiaire et élevé (SMD) et la leucémie myélomonocytaire chronique (CMML), devenant ainsi le premier médicament oral de ce type pour ces patients, a déclaré la société.
Inqovi associe la décitabine – un médicament anticancéreux reconnu – à la cédazuridine, qui inhibe la cytidine désaminase, une enzyme qui empêche la chimiothérapie. En faisant taire la cytidine désaminase dans l'intestin et le foie, la cédazuridine empêche le corps de dégrader la décitabine, ce qui rend son administration orale possible.
Inqovi est pris une fois par jour par voie orale pendant cinq jours, les patients répétant ce schéma tous les 28 jours. Le cycle de traitement suit le même calendrier général pour la décitabine IV, moins les voyages à la clinique et les longs séjours dans des fauteuils de perfusion.
Ce potentiel de gain de temps, ainsi que la sécurité et la commodité supplémentaires d'une chimiothérapie à domicile, pourraient fournir aux patients atteints de SMD et de CMML une alternative indispensable aux traitements IV traditionnels, dit Astex.
«Jusqu'à présent, les patients atteints de SMD et de CMML à risque intermédiaire et élevé n'ont pas eu d'option d'agent hypométhylant approuvé par voie orale pour le traitement de leur maladie», a déclaré Mohammad Azab, MD, président et directeur marketing d'Astex, qui est lui-même une unité de Otsuka Pharmaceuticals, basée au Japon.
En moyenne, les patients atteints de SMD et de CMML ont environ 70 ans, ce qui rend la pression des visites en personne dans les cliniques de perfusion encore plus éprouvante, a déclaré Azab à FiercePharma. La version tablette peut contrecarrer tous les obstacles à ces visites, tels que les restrictions liées à la pandémie, et aider à maintenir les patients aux doses prescrites. "En réduisant le fardeau des patients, il sera plus facile d'adhérer au traitement sur de longues périodes qui peuvent s'étendre jusqu'à quelques années", a déclaré Azab.
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Dans les essais de stade avancé, Inqovi a donné une exposition à la décitabine égale à IV, a déclaré la société. Le médicament correspondait généralement à son homologue intraveineux en termes de sécurité, les effets secondaires les plus courants allant de réactions généralement bénignes telles que nausées, fatigue et maux de tête à des événements légèrement plus graves tels que la neutropénie fébrile, la pneumonie et l'infection des voies respiratoires supérieures.
Astex transférera ses fonctions de marketing à Taiho Oncology, sa société sœur sous l'égide d'Otsuka. Avec une force de vente en oncologie verrouillée – et une expérience antérieure dans la mise sur le marché d'une autre chimiothérapie orale, Lonsurf, Taiho ciblera dans un premier temps environ 1500 hématologues et oncologues, ainsi que des infirmières et pharmaciens en oncologie, a déclaré le président-directeur général Tim Whitten.
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Un autre as dans la manche de Taiho? Il y a un chevauchement d'environ deux tiers entre la clientèle actuelle des professionnels de la santé de Taiho Oncology et les patients MDS et CMML qui pourraient bénéficier d'Inqovi, a déclaré Whitten.
Pendant ce temps, Astex vise des indications supplémentaires d'Inqovi dans d'autres cancers du sang qui se développent à partir du SMD. La décitabine intraveineuse est approuvée sous condition en association avec Venclexta (vénétoclax) pour les patients atteints de leucémie myéloïde qui ne peuvent pas gérer une chimiothérapie intense; c'est l'espoir d'Astex qu'Inqovi, en combinaison avec d'autres traitements généralement associés à la décitabine IV, puisse également obtenir l'approbation pour cette condition, a déclaré Azab. Des essais sont déjà en cours pour poursuivre ce signe supplémentaire.
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Activité du soir pendant la préparation d’une production. Comment créer mon histoire ? Comment organiser le travail avec votre matériel ? Cela signifie surtout qu’il faut prendre de nombreux extraits de livres spécialisés sur l’histoire en cours et les mettre dans un programme de base de données afin que les déclarations et les contenus trouvés soient rassemblés de manière structurée. Le chaos créatif est organisé pas à pas selon des principes dramaturgiques : Des nus, des séquences, des scènes, des pas. Histoires, protagonistes, antagonistes…
Si vous avez affaire à des documentaires historiques, le contact avec les archives du film est bien sûr important. La recherche dans les premières bobines de film originales, avec lesquelles la structure du film prend forme, est stimulante.
Ici, sur le film d’archives de mon programme de montage, Ernest Hemingway (1944 en France) envoie un chaleureux “Cheers” avec un verre de whisky – peut-être que cette scène apparaîtra dans un des prochains projets de film ?
L’atelier de l’auteur du documentaire est aussi solitaire dans la phase de développement du matériel que n’importe quel atelier d’auteur. L’ambiance n’est pas toujours aussi détendue qu’avec Hemingway. Peut-être devrais-je apprendre à aimer le whisky ?
Une fois que les premières idées ont mûri en un exposé et qu’un client – généralement une chaîne de télévision – a été trouvé, les phases de calcul des coûts, d’approbation des budgets et éventuellement de développement du projet financé commencent. Je produis des films avec ma société de production zb Media, mais je travaille aussi avec d’autres sociétés.
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Tout commença un froid jeudi matin, quand 4 anges encore au chômage remarqua un lieu magique, capable de donner un sourire à ceux qui y entrent: les Terme Preistoriche.
Un échange de regards était assez: les 4 anges avaient trouvé leur tâche sur la terre en devenant Les 4 Anges du Bien-être.
Avec un saut ils quittèrent leur nuage et volèrent sur la Terre.
Le premier ange voulut donner le bon matin, pour cela il s’appela l’Ange de Bonheur.
Il primo angioletto desiderava portare il buongiorno e prese il nome di Angelo del Buon Umore. Avec un peu de soleil et une touche de sérénité pétrit et travailla toute la nuit. Le résultat fut un cadeau merveilleux capable d’apporter un sourire pour une journée entière. Il avait fait don de Bien-être.
Le second ange voulut donner la douceur, pour cela il s’appela l’Ange des Câlins. Il prit un ton de douceur et une bonne dose de calme et les fusionnés ensemble dans un gros câlin. Le résultat fut un cadeau mémorable comme une caresse. Lui aussi, avait fait don de Bien-être.
Le troisième ange voulut se consacrer aux couple, pour cela il s’appela l’Ange des Aimants. Il prit de la complicité, et des désirs futurs et en créé un poème aux rimes douce, faite du partage et de rêves, d’où montait un grand jour de joie et câlins pour tous les amoureux. Le résultat fut un don d’amour et de Bien-être.
Le quatrième ange a décida que sa tâche était de faire que chacun se sente bienvenus comme chez soi même, pour cela il s’appela l’Ange du Bienvenu. Il construit une maison faite de sourires, de disponibilité, de confort et d’efficacité, et ceux qui recevaient son cadeau ne pouvait que dire d’avoir connu un monde magique où l’accueil et le Bien-être étaient les maîtres.
Tous les dons sont enfermés dans un lieu magique d’où ils désirent sortir pour donner le meilleur vouex à ceux qui les reçoivent.
Contactez l’Hotel Terme Preistoriche pour vos Anges du Bien-être Christmas Gifts personalisé!
LES CARACTERISTIQUES DES ANGES
L’Ange de Bonheur
Joyeux et insouciant, il est capable d’augmenter les sentiments de paix et de bien-être avec soi-même, avec les autres et avec le monde. Il favorise une vie paisible et harmonieuse, il instille la capacité d’apprécier toutes les petites joies de la vie et il donne un sentiment diffus de détente et relax.
L’Ange des Câlins
Tendre et soigneuex, il a une influence bénéfique sur le corps et l’esprit en laissant une agréable sensation de douceur. Il est capable de chasser le stress de la vie quotidienne et de donner un sens agréable de douceur et d’abandon des sens.
L’Ange des Aimants
Insouciance et confiant, il aide a gagner votre bien-aimé. Il instille la capacité d’exprimer des sentiments d’union et de complicité. Il donne union et il accorde la joie et le bien-être à qui on aime profondément dans le coeur.
L’Ange du Bienvenu
Il vit dans un monde magique et radieuse et il sait toujours accueillir les autres en les entourant avec tout les conforts et les gâtent avec de petites attentions et des gentillesses. C’est un ange sociable et hospitalier qui aime la compagnie, la bonne vie et le relax.
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Jumanji (***)
De quoi ça parle :
Des enfants découvrent par hasard un mystérieux jeu de société et démarrent une partie. Très vite, des animaux sauvages se mettent à apparaître, comme sortis tout droit du jeu, et d’étranges phénomènes se produisent. Il devient bientôt évident que ce n’est qu’en terminant la partie commencée que les enfants pourront mettre un terme à ces manifestations surnaturelles et vaincre Jumanji.
Sortie : 1995
Genre : Aventure / Comédie fantastique
Qui l’a fait ?
Joe Johnston, connu ensuite pour avoir réalisé Captain America, Wolfman ou encore Jurassic Park 3.
Qui joue dedans ?
Robin Williams, célèbre pour le Cercle des poètes disparus, Will Hunting ou Good Morning Vietnam.
Kirsten Dunst, alors âgé de 12 ans et qu'on a vue depuis dans Virgin Suicide, Mary-Antoinette ou la trilogie Spiderman.
Est-ce un bon film ?
Même s’il n’est pas le plus célèbre des films d’aventure des années 90, Jumanji a acquis un statut de classique avec le temps. C'est l’un des meilleurs divertissements mettant en scène le regretté Robin Williams, une aventure riche en émotions, et une excellente adaptation du roman de Chris Van Allsburg.
Le film a pour lui une structure narrative très originale puisqu'on va démarrer l'histoire dans les années 60 (après un bref prologue situé au XIXème siècle) et y suivre deux enfants qui vont jouer à Jumanji et subir sa malédiction. Puis, après un nouveau passage de temps d'une trentaine d'années, nous voilà soudain dans les années 90 en compagnie de deux autres enfants qui vont reprendre la partie là où elle s'est interrompue.
Tous ces éléments font cependant partie d'une seule et même histoire et la force du film est d'utiliser à merveille le canevas narratif développé dans le roman d'origine et d'extrapoler intelligement dessus. Le fait que l'aventure soit vécue par deux générations de héros lui donne à la fois un certaine souffle épique et une atmosphère famillialle, ou pour mieux dire : transgénérationnelle.
La mise en scène de Joe Johnston est belle et parfaitement rythmé, les acteurs - enfants comme adultes - sont tous excellents, et la bande-originale de James Horner est l'âme de ce film. Le résultat est une aventure universelle, toujours surprenante, avec juste assez de noirceur pour rendre l'histoire mémorable. Certains se surprendront à essuyer parfois une larme devant cette histoire "pour les enfants". Mais telle est la marque des récits qui parviennent à se montrer très humains au détour des séquences les plus fantasmagoriques.
Alors dépéchez-vous de découvrir ce petit chef d'oeuvre, et ne craignez pas les choses qui rodent la nuit si d'aventure vous vous réveillez à Jumanji.
Appréciation : un classique du divertissement famillial, empreint de justesse et d'émotion.
C’est pour quel public ?
Pour toute la famille. Vivement recommandé à haute dose.
Verdict : une oeuvre saine et familliale.
Romain
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Bouillie : n.f. Une bouillie est un aliment plus ou moins épais fait de lait ou d’un autre liquide et de farine bouillis ensemble, destiné surtout aux bébés qui n’ont pas encore de dents.
Mettre quelqu’un en bouillie : l’écraser, le démolir
Faire dégueuler la bouillie : écœurer un adversaire (jargon de sport).
Faire monter trois kilos de bouillie : distribuer des coups de poing.
Être dans une grande bouillie : dans la misère.
C’est de la bouillie pour les chats : se dit d’un texte confus, incompréhensible.
Faire de la bouillie pour les chats : faire un travail totalement raté, qui ne pourra être d’aucune utilité.
Bouillie pour les chats : affaire avortée, chose mal réussie.
Faire de la bouillie pour les chats : travailler sans profit pour soi ni pour personne.
Origine de l’expression « De la bouillie pour les chats » : Une chose qui ne servira à rien – Un travail gâché, mal fait ; un texte mal écrit, incompréhensible.
Au XVIIIe siècle, notre expression a d’abord eu le premier sens proposé. Deux explications en étaient généralement données.La première venait de ce que les chats ne consomment pas de bouille par crainte de se salir les moustaches. Et la seconde du fait que les chats ayant des crocs aptes à découper et mâcher des aliments durs, il était inutile de perdre du temps à leur préparer de la bouillie. Et comme, pour une chose dont on sait parfaitement qu’elle ne servira pas, il n’est pas vraiment utile de s’appliquer, cette chose sera inévitablement mal faite, ce qui pourrait expliquer que le sens ait dérivé ensuite vers celui d’aujourd’hui. Mais le linguiste français Pierre Guiraud (1912-1983) voit un jeu de mots dans cette expression : pour lui, il faut penser au chas qui, à l’époque de la naissance de l’expression, au milieu du XVIIIe siècle, désignait de la colle d’amidon, puis un infâme bouillon à la consistance de colle à tapisserie, avant, au figuré, de signifier « gâchis ».
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Le Serverless Computing VS Containers | Comment choisir ?
Le Serverless Computing et les conteneurs sont deux architectures qui réduisent la surcharge des applications web hébergées dans le Cloud, mais elles diffèrent sur plusieurs points importants. Les conteneurs sont plus légers que les machines virtuelles, mais les déploiements sans serveur sont encore plus légers et plus facilement extensibles que les architectures basées sur des conteneurs.
Le Serverless Computing par rapport aux conteneurs
Le Serverless Computing et les conteneurs permettent aux développeurs de créer des applications avec beaucoup moins de frais généraux et plus de souplesse que les applications hébergées sur des serveurs traditionnels ou des machines virtuelles. Le style d’architecture qu’un développeur doit utiliser dépend des besoins de l’application, mais les applications sans serveur sont plus évolutives et généralement plus rentables.
Que sont les conteneurs ?
Un conteneur « contient » à la fois une application et tous les éléments dont l’application a besoin pour fonctionner correctement, y compris les bibliothèques système, les paramètres système et d’autres dépendances. Comme un mélange de crêpes « il suffit d’ajouter de l’eau », les conteneurs n’ont besoin que d’une seule chose – être hébergés et fonctionner – pour remplir leur fonction.
Tout type d’application peut être exécuté dans un conteneur. Une application conteneurisée fonctionnera de la même manière quel que soit l’endroit où elle est hébergée. Les conteneurs peuvent facilement être déplacés et déployés partout où cela est nécessaire, un peu comme les conteneurs d’expédition physiques, qui sont de taille standard et peuvent donc être expédiés partout par divers moyens de transport (bateaux, camions, trains, etc.), quel que soit leur contenu.
Architecture des conteneurs
En termes techniques, les conteneurs sont un moyen de partitionner une machine, ou un serveur, en environnements d’espace utilisateur distincts, de telle sorte que chaque environnement n’exécute qu’une seule application et n’interagit avec aucune autre section partitionnée de la machine. Chaque conteneur partage le noyau de la machine avec d’autres conteneurs (le noyau est la base du système d’exploitation et il interagit avec le matériel de l’ordinateur), mais il fonctionne comme s’il était le seul système sur la machine.
Conteneurs et machines virtuelles
Une machine virtuelle est un logiciel qui imite un système informatique complet. Elle est isolée du reste de la machine qui l’héberge et se comporte comme si elle était le seul système d’exploitation sur elle, y compris en ayant son propre noyau. Les machines virtuelles sont un autre moyen courant d’héberger plusieurs environnements sur un seul serveur, mais elles utilisent beaucoup plus de puissance de traitement que les conteneurs.
Qu’est-ce que le Serverless Computing ?
Les applications sans serveur sont divisées en fonctions et hébergées par un fournisseur tiers qui ne facture le développeur d’applications qu’en fonction de la durée d’exécution de chaque fonction. Pour en savoir plus sur l’informatique sans serveur, voir Qu’est-ce que l’informatique sans serveur ?
Quelles sont les principales différences entre l’informatique sans serveur et les conteneurs ?
Machines physiques
L’informatique « sans serveur » fonctionne en fait sur des serveurs, mais c’est au vendeur sans serveur qu’il appartient de fournir l’espace serveur nécessaire à l’application ; aucune machine spécifique n’est affectée à une fonction ou à une application donnée. D’autre part, chaque conteneur vit sur une machine à la fois et utilise le système d’exploitation de cette machine, bien qu’il puisse être facilement déplacé vers une autre machine si on le souhaite.
Évolutivité
Dans une architecture basée sur des conteneurs, le nombre de conteneurs déployés est déterminé à l’avance par le développeur. En revanche, dans une architecture sans serveur, le backend s’adapte automatiquement et de manière inhérente à la demande.
Pour reprendre la métaphore du conteneur maritime, une compagnie maritime pourrait essayer de prévoir une augmentation de la demande pour un certain produit et expédier plus de conteneurs vers la destination pour répondre à cette demande, mais elle ne pourrait pas claquer des doigts et produire plus de conteneurs remplis de marchandises si la demande devait dépasser les attentes.
L’architecture sans serveur est un moyen de faire exactement cela. En ce qui concerne la puissance de calcul, l’informatique sans serveur est comme l’approvisionnement en eau dans une maison moderne : en ouvrant le robinet, les consommateurs peuvent acquérir et utiliser autant d’eau qu’ils en ont besoin à tout moment, et ils ne paient que ce qu’ils utilisent. C’est bien plus modulable que d’essayer d’acheter de l’eau un seau ou un conteneur d’expédition à la fois.
Coût
Les conteneurs fonctionnent en permanence, et les fournisseurs de Cloud doivent donc facturer l’espace serveur même si personne n’utilise l’application à ce moment-là.
Il n’y a pas de dépenses continues dans une architecture sans serveur car le code de l’application ne fonctionne pas à moins d’être appelé. Les développeurs ne sont facturés que pour la capacité du serveur que leur application utilise effectivement.
Maintenance
Les conteneurs sont hébergés dans le Cloud, mais les fournisseurs de Cloud ne les mettent pas à jour ou ne les entretiennent pas. Les développeurs doivent gérer et mettre à jour chaque conteneur qu’ils déploient.
Du point de vue d’un développeur, une architecture sans serveur n’a pas de backend à gérer. Le fournisseur s’occupe de la gestion et des mises à jour logicielles pour les serveurs qui exécutent le code.
Moment du déploiement
La mise en place initiale des conteneurs est plus longue que celle des fonctions sans serveur, car il est nécessaire de configurer les paramètres du système, les bibliothèques, etc. Une fois configurés, les conteneurs ne prennent que quelques secondes à se déployer. Mais comme les fonctions sans serveur sont plus petites que les micro-services des conteneurs et ne sont pas associées à des dépendances du système, leur déploiement ne prend que quelques millisecondes. Les applications sans serveur peuvent être activées dès que le code est téléchargé.
Les conteneurs sans serveur et les conteneurs se déploient à grande vitesse
Il est difficile de tester des applications web sans serveur, car l’environnement dorsal est difficile à reproduire sur un environnement local. En revanche, les conteneurs fonctionnent de la même manière quel que soit l’endroit où ils sont déployés, ce qui rend relativement simple le test d’une application basée sur un conteneur avant de la déployer en production.
En quoi l’informatique sans serveur et les conteneurs sont-ils similaires ?
Tous deux sont basés sur le Cloud et réduisent considérablement les coûts d’infrastructure, l’informatique sans serveur étant plus importante que les conteneurs. Dans les deux types d’architecture, les applications sont décomposées et déployées en tant que composants plus petits. Dans une architecture basée sur des conteneurs, chaque conteneur fera fonctionner un micro-service.
Que sont les micro-services ?
Les micro-services sont des segments d’une application. Chaque micro-service exécute un service, et plusieurs micro-services intégrés se combinent pour constituer l’application. Bien que le nom semble impliquer que les micro-services sont minuscules, ils ne doivent pas l’être.
L’un des avantages de la construction d’une application comme un ensemble de micro-services est que les développeurs peuvent mettre à jour un micro-service à la fois au lieu de mettre à jour l’application entière lorsqu’ils ont besoin d’apporter des modifications. Construire une application comme un ensemble de fonctions, comme dans une architecture sans serveur, offre le même avantage mais à un niveau plus granulaire.
Comment les développeurs doivent-ils choisir entre une architecture sans serveur et des conteneurs ?
Les développeurs qui choisissent une architecture sans serveur pourront lancer et itérer de nouvelles applications rapidement, sans avoir à se soucier de savoir si l’application peut ou non évoluer. En outre, si une application ne connaît pas un trafic ou une utilisation constante, l’informatique sans serveur sera plus rentable que les conteneurs, car le code n’a pas besoin d’être exécuté en permanence.
Les conteneurs donnent aux développeurs un plus grand contrôle sur l’environnement dans lequel l’application s’exécute (bien que cela implique également une plus grande maintenance) et sur les langues et bibliothèques utilisées. De ce fait, les conteneurs sont extrêmement utiles pour la migration d’anciennes applications vers le Cloud, car il est possible de reproduire plus fidèlement l’environnement d’exécution original de l’application.
Enfin, il est possible d’utiliser une architecture hybride, avec certaines fonctions sans serveur et d’autres déployées dans des conteneurs. Par exemple, si une fonction d’application nécessite plus de mémoire que celle allouée par le fournisseur sans serveur, si une fonction est trop importante ou si certaines fonctions, mais pas d’autres, doivent fonctionner longtemps, une architecture hybride permet aux développeurs de récolter les avantages du sans serveur tout en utilisant des conteneurs pour les fonctions que le sans serveur ne peut pas prendre en charge.
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Un moment pour recevoir et prendre soin de soi, avec la fluidité et l’apesanteur de l’eau comme alliées, plonger dans un autre espace-temps et laisser émerger ce qui vient, mouvements, mémoires, émotions, sensations, détente, toujours en douceur.
Quitter les mots et les pensées, vous laisser guider vers les sensations de votre corps ou les images qui vous traversent, grâce à l’imposition des mains du thérapeute et arriver dans un état de relaxation profonde. Le soin énergétique permet d’aller toucher avec respect, sécurité et infinie douceur les aspects les plus profonds de notre être afin d’apaiser nos blessures.
Les soins énergétiques prennent en compte toutes les dimensions de l’être humain, le corps physique, les émotions, les pensées, notre système énergétique, nos rapports relationnels et notre chemin de vie, notre dimension spirituelle.
Le soin détend, nettoie, rétablit la circulation de l’énergie, libère nos émotions bloquées, rééquilibre, nous recentre et nous réaligne avec notre axe. Il stimule le propre système d’auto-guérison du corps et permet d’atteindre nos niveaux subconscient et inconscient.
Infos pratiques
Lieu : Piscine Libellule, 12 rue Calotte, 1490 Cours Saint Etienne
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Aegir - 25 kg
Source de calcaire naturelle, l'Aegir, permet de remonter durablement le pH du sol. Les fragments de coquillages qui le composent sont très riches en carbonate de calcium (96.1%). Le pH du sol est remonté, durablement.
Utilisable en Agriculture Biologique
L’Aegir est composé de fragments de coquillages provenant de la Mer du Nord. Cette source de calcaire 100% naturelle (96,1% de carbonate de calcium), permet de remonter progressivement et durablement le pH du sol. Les coquillages sont extraits, nettoyés, chauffés puis broyés grossièrement. C’est grâce à cette forme que les éléments tampons sont rendus disponibles petit à petit, remontant le pH de manière efficace, sans risque pour la microbiologie (pas de choc de pH).
L'Aegir contient également différents minéraux et oligo-éléments qui profitent à la fertilité du sol, et donc à la couche vegétale.
L'Aegir peut être épandu directement au sol, ou être ajouté en complément au Bokashi, pour éviter que la matière ne s'acidifie trop.
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|Nom:||declaration previsionnelle de lifu|
|Format:||Fichier D’archive|
|Version:||Nouvelle|
|Licence:||Libre!|
|Système d’exploitation:||iOS. Windows XP/7/10. MacOS. Android.|
|Taille:||35.78 Megabytes|
Cependant, le programme LIFE a vocation à financer des projets ambitieux, d'une certaine ampleur et avec un budget substantiel.
Un projet dont un des bénéficiaires a une contribution nulle sera systématiquement rejeté. Des actions de communication sont obligatoires pour tous les volets de LIFE. Les actions de communication doivent être cohérentes avec les publics cibles décrits dans la partie B de la proposition.
Qu'appelle-t-on actions concrètes et quelle part du budget doit être consacrée à ces actions? Date prévisionnelle d'échéance du prêt.
The expected date of maturity of the loan. Date prévisionnelle de fin du prêt ou d'expiration du contrat de location. The expected date of maturity of the loan or expiry of the lease.
Date prévisionnelle de l'appel d'offres: 1 avril Provisional date of invitation to tender: 1st April Lorsque l'offre du prêt est reçu, l'échéancier présenté en annexe est basé sur une date prévisionnelle de mise à disposition des fonds. When the loan offer is received, the schedule in the appendix is based on a provisional date of provision funds.
Une analyse graphique peut permettre de déduire une longévité pour la structure ou une date prévisionnelle d'entretien. A graphic analysis enables to deduce service life of the structure or an expected date for maintenance.
Date prévisionnelle du dernier paiement: juin Last payment expected to be in June La date prévisionnelle de fin du contrat de location. The expected expiry date of the lease maturity.
Les éleveurs doivent également effectuer une déclaration de mise en finition pour chaque animal, 60 jours au plus tard avant la date prévisionnelle de son abattage.
Les contribuables IFU doivent tenir, un registre ct et paraph par les services fiscaux, rcapitul par anne, contenant le dtail de leurs achats, appuy des factures et de toutes pices justificatives.
En outre, ils doivent galement tenir dans les mmes conditions, un registre ct et paraph, contenant ledtail de leurs ventes.
De mme, les contribuables exerant une activit de prestation doivent tenir un livre journal suivi au jour le jour et reprsentant le dtail de leurs recettes et dpenses professionnelles article1 du CPF.
Ladministration fiscale peut rectifier les bases dclares, en cas dinsuffisance de dclaration.
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Quels sont les principes clés de la gestion de l’obésité ?
Gérer l’obésité est une gestion similaire à celle de la pression artérielle ou du diabète – laissées sans supervision, ses conditions se dégradent; et lorsque les traitements cessent, les problèmes reviennent. C’est pour ces raisons que les stratégies de la gestion du poids se doivent d’être réalistes et applicables. Les solutions « miracles » sont impossibles à maintenir à long terme – c’est pourquoi le poids revient aussitôt que celles-ci cessent.
Une croyance populaire au sujet de l‘obésité est qu’il existe une cure simple, c’est-à-dire: perdre du poids.
Le problème avec cette notion, c’est qu’elle ne tient pas compte du fait que l’obésité est une maladie chronique. Le but ultime d’une gestion du poids est l’amélioration de votre santé globale et de votre bien-être. Le premier pas est destiné à prévenir la prise de poids. Précisons qu’une perte de poids, même modeste, suffit à améliorer la santé. Ainsi, il est important de regarder au-delà des chiffres inscrits sur la balance et de se concentrer sur la vue d’ensemble ainsi que sur la raison pour lasquelle ce changement est fait.
Dans le même esprit que chaque personne est unique, les raisons qui se chachent derrières la prise de poids des personnes peuvent être différentes. La gestion de l’obésité est d’autant plus difficile lorsque vous ne comprenez pas les causes profondes de votre (re)prise de poids ou de vos obstacles à votre gestion de poids. Identifiez-les et retirez ce qui vous nuit ou vous retient; c’est LA clé pour réaliser des changements positifs et réussis pour votre santé.
Comprendre les raisons pour lesquelles vous décidez d’aborder votre obésité peut vous aider à évaluer à ce qui est important pour vous et la manière dont vous allez mesurer votre succès à long terme.
Le succès se définira peut-être, comme étant : d’avoir plus d’énergie pour être plus actif ou active avec vos ami.e.s et votre famille; d’améliorer son estime de soi; prévenir un regain de poids; ou encore d’améliorer votre santé globale. Peu importe quel sera votre indicateur de « succès », utilisez-le pour vous aider à vous guider et vous motiver.
Lorsque vous définirez vos attentes pour un plan de gestion de poids, il est important d’établir des objectifs réalistes et atteignables qui s’adaptent à votre style de vie et que vous pourrez continuer à aimer. Vous ne devriez pas avoir à vous stresser avec le fait d’atteindre un poids spécifique dans un temps limité ou de faire de l’exercice physique excessivement. Plutôt, concentrez-vous à faire des changements de comportements sains et agréables qui amélioreront votre qualité de vie générale ! Peu importe le poids que vous atteindrez grâce à ces changements, considérez-le comme étant votre « meilleur » poids.
Construisez-vous un style de vie sain et agréable – Si vous n’aimez pas la manière dont vous vivez lorsque vous gérer votre poids, il vous sera d’autant plus difficile de la conserver et de vous garder de retourner vers vos habitudes d’avant votre perte. Travaillez à vous construire un style de vie sain, dont vous profiterez pleinement !
D’autres outils pour aborder le thème de l’obésité
Commencer à parler de gestion de poids peut sembler difficile et alarmant, mais n’oubliez pas, votre professionnel.le de la santé est de votre coté et désire vous aider à améliorer votre santé globale. N’hésitez pas à visiter notre section « ressource » pour plus d’informations.
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Manger la viande de cheval Fatwa No: 78869
- Fatwa Date:16-11-2006
- Bewertung:
Quel est le verdict concernant la consommation de viande de cheval ?
Louange à Allah. Paix et salut sur Son Prophète.
Cher frère,
L’avis de la majorité des Oulémas est que la consommation de la viande de cheval est licite.
Pour cette majorité, le hadith rapporté par Boukhari d'après ’Asmaa Bint Abou Bakr qui disait : "Au temps du Prophète, , nous avons égorgé une jument et l’avons mangée. ", constitue une preuve irréfutable.
L’avis des malékites est que la consommation de cette viande est abhorrée. Pour l’imam Abou Hanifa elle est illicite. Ils fondent leurs arguments sur la parole d’Allah : « Les chevaux, les mules et les ânes pour que vous les montiez et pour l’apparat. Et Il crée ce que dont vous n’avez aucune connaissance. » (Sourate 16/Verset 8).
Ils citent également le hadith rapporté par Ahmed et Abou Dawoud et dans lequel Khaled Ibn Al Walid a dit que le Prophète, , a interdit à ses Compagnons de manger les chevaux, les mules, les ânes, les bêtes sauvages à canines et les oiseaux à griffes.
Mais l’avis de la majorité est plus juste pour plusieurs raisons :
1- Le hadith d’Asma précédemment cité.
2- Dans les deux livres authentiques il est mentionné que Djaber, , a dit : « Le jour de Khaïbar le Prophète, , avait interdit la viande des ânes et avait permis la consommation de la viande des chevaux. »
3- Le hadith de Khaled Ibn Al Walid a été qualifié de faible. D’ailleurs Nawawi a dit que sa faiblesse ne fait l’objet d’aucune divergence entre les gens du hadith, de ce fait il ne peut servir de preuve et à plus forte raison contredire un hadith authentique rapporté par Boukhari.
4- Au sujet du verset précédant Nawawi a rapporté qu’Al Khattab et les compagnons de Chafiî ont dit que le fait qu’il soit précisé que ces animaux ont été créé pour servir de monture et pour l’apparat n’exclut pas qu’ils peuvent être utilisés à d’autres fins et que ces deux aspects de leur utilisation ont été mentionné ici parce qu’ils sont les plus fréquents.
Et Allah sait mieux.
Vous pouvez rechercher une fatwa à travers de nombreux choix
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Le label GretaPlus est attribué aux Greta en conformité avec le référentiel de bonnes pratiques de l'association française de normalisation (Afnor). La liste des structures bénéficiant du label GretaPlus est complétée.
Les épreuves spécifiques à l'option internationale du baccalauréat sont, à partir de la session 2014, les épreuves de langue et littérature et de discipline non linguistique. Elles concernent uniquement les candidats ayant été scolarisés en classes de première et de terminale des sections internationales de lycée. En fonction de la langue de la section internationale, la discipline non linguistique est l'histoire-géographie ou les mathématiques. Ces épreuves spécifiques sont définies dans une note de service.
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« Allaha youhibboul mohsenin »
Allah swt nous dit que si l’on veut copier l’une de Ses qualités, nous devrions certainement prendre celle qui nous incite à être gentil avec son prochain.
Il ne faut pas rendre service pour les reconnaissances, ou les remerciements, mais pour la Satisfaction Divine.
Toutes les femmes ont pleuré tous les jeunes martyrs, car chacun d’entre eux étaient extrêmement serviables avec chacune des dames de la caravane.
On s’assure parfaitement de notre bien être, pourquoi ne pas en faire autant pour les autres ? Soyons prévenant pour son prochain.
Tout ce qui se trouve dans l’univers, les astres, les planètes, le soleil et la lune dont la puissante nous éclaire, ne sont rien d’autre que l’expression de la reconnaissance d’Allah swt envers les Ahl ul Bayt A.S.
Lorsque bibi Fatima az Zahra ahs prie, une telle lumière se dégage d’elle qu’elle éclaire les créatures célestes, Allah swt dit alors avec fierté au soleil et la lune : « Vous vous sentez fiers d’éclairer les habitants de la terre, mais voyez l’éclat qui sort de Ma servante, il est si puissant qu’il remplit de lumière le ciel ! »
Quand notre patron nous donne un travail à faire, ce ne sera pas auprès des autres que nous chercherions l’approbation, mais on demandera plutôt à notre patron s’il est satisfait de notre travail.
De même, nous ne devrions pas chercher la reconnaissance de notre bonne conduite auprès des gens, mais plutôt auprès de notre Seigneur.
Notre 6ème Imam as nous dit : « Celui qui effectue quelques pas pour venir en aide à une personne, aura les récompenses d’une personne ayant effectué le va-
Allah swt dit : si vous vous donnez/aidez selon vos capacités, moi aussi Je donnerai/aiderai selon Mes capacités.
Or les Capacités de notre Seigneur sont sans limites !
L’une des formes du ehsan (reconnaissance) est le fait de ne pas planifier de vengeance contre notre ennemi. Il nous arrive parfois de compromettre l’honneur d’une sœur croyante car elle ne nous plait pas. Nous devons arrêter de saboter ainsi la vie de nos frères et sœurs afin que les gens ne se souviennent pas de nous de cette manière.
« Un musulman est celui dans les mains duquel, notre vie, notre réputation et nos biens sont en sécurité. » (Saint Prophète saw)
Un jour, un homme est allé voir un malade, sur le seuil de sa porte, un ange vient le voir sous la forme d’un homme et lui dit :
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C’est alors qu’Allah swt dit à l’ange de transmettre Ses salutations à l’homme. Quel honneur grandiose que d’avoir un message de paix de la part de son Seigneur !
Le taqwa, la piété se trouve dans le cœur, agissons du fond du cœur pour plaire à notre Maître.
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Viktor Pelevine
- Naissance : 1962
- Nationalité : Russie
Tout Viktor Pelevine
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A. Huli, la narratrice, est une vieille renarde de plus de 2.000 ans temporairement incarnée en une prostituée moscovite de 15 ans. Dans les quartiers chics de la ville, elle hypnotise les hommes d'affaires et s'approprie leur force vitale grâce à un...
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Victimisation de la société
Dans la conception traditionnelle de la responsabilité telle que le juge l'a progressivement dégagée, l'accent est plus mis sur la responsabilité que sur le préjudice. En d'autres termes, l'élaboration d'une responsabilité ne se justifie pas seulement et, peut-être pas d'abord, par le souci d'indemniser les victimes. Le système de responsabilité est plus moralisateur qu'indemnitaire. Il fallait certes réparer, il fallait surtout sanctionner les conséquences d'un comportement ou d'un acte. Sans omettre que la sanction avait– l'a-t-elle encore de nos jours?- une vertu « éducative » et « dissuasive...
La préoccupation de moralisation, de sanction, n'a évidemment pas disparu, mais elle a tendance à céder la première place à la réparation. Ce qui importe aujourd'hui aux victimes, c'est certes la sanction de l'auteur mais aussi, la réparation des dommages qu'elles subissent.[1]
Tendance d'autant plus accrue que notre société donne un prix à toute chose et que l' «étalon» dominant est au service du Veau d'or. Le mot «valeur», avec toutes ses ambiguïtés , a supplanté celui de «principe»...
3.1 ) Vocabulaire:
On parle de dommage, mais aussi de préjudice. S'agit-il de la même notion ? Plusieurs positions se sont affirmées sur ce sujet. Pour les uns, il n'existe aucune différence entre le dommage et le préjudice, ces deux termes pouvant être utilisés indifféremment[2].
D'assez nombreux auteurs font une différence entre ces deux termes. Le premier auteur à avoir donné une véritable portée à la distinction entre le dommage et le préjudice est F.-P. Benoit, selon lequel "le dommage est un fait : c'est toute atteinte à l'intégrité d'une chose, d'une personne, d'une activité ou d'une situation" ; il possède un caractère objectif en ce sens qu'il est "perceptible indépendamment de l'idée que peut s'en faire la personne qui en est victime et des conséquences diverses qu'il peut avoir pour elle". Le préjudice est "constitué par un
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Pour comprendre les œuvres, il faut commencer par les regarder.
Un cycle de 9 séances devant les œuvres du musée d’Arts propose de s’exercer à observer, décrire et analyser l’art.
À travers des visites thématiques et par un jeu permanent de questions-réponses, ces travaux dirigés visent à la compréhension des œuvres et à l’acquisition d’un vocabulaire technique, véritable « trousse d’outils visuelle » réutilisable devant toutes les œuvres.
Le cycle complet (initiation ou perfectionnement) : 220 € (droits d’entrée au musée inclus)
La séance : 25 €
En raison de la situation sanitaire, les groupes sont strictement limités à 8 personnes.
Le règlement du cycle ou des séances choisies est donc demandé au moment de l’inscription, afin de valider votre réservation.
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PIERRE DAGON prépare le treizième roman de la série "Jean Calmet" ; pour rédiger son roman, il étudie la vie de Newton, le plus grand savant de l'histoire des sciences, mais le plus désagréable aussi... Le titre de ce roman sera (sans doute) "Saggitarius A* (SgrA*)", qu'est-ce que cela signifie ? C'est le nom que les astrophysiciens ont donné au gigantesque trou noir qui se trouve au centre de la Galaxie !
Newton sera le personnage principal de son roman.
Voici le cycle Jean Calmet
au complet :http://www.alainpelosato.com/JEANCALMET/index.html
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- Depuis 2014, le SPF Stratégie et Appui (anciennement SPF Personnel & Organisation) développe un projet visant la simplification de la gestion des descriptions de fonctions des niveaux A, B, C et D. Dans cet objectif, et sur base des 9 familles de fonctions déjà existantes pour les niveaux B, C et D, 18 familles de fonctions ont été créées. Chaque famille regroupe des fonctions ayant un processus de travail comparable.
L'introduction de ces nouvelles familles de fonctions a impacté la gestion des compétences et les profils en particulier:
- Chaque famille de fonctions dispose maintenant de ses propres profils de compétences génériques standards par niveau.
- Le choix d’une famille de fonctions détermine le rôle dans le profil de compétences génériques.
- Pour les familles de fonctions avec un rôle de « expert/support », il est possible de sélectionner un profil d’« expert / support - avec un rôle de dirigeant limité ».
- Chaque famille de fonctions possède aussi un profil de compétences techniques qui peut servir de base à l'élaboration des profils pour les fonctions d’une organisation.
Afin de soutenir les organisations fédérales dans l'élaboration des descriptions de fonctions et des profils de compétences, un certains nombres d'outils RH ont été développés et les manuels de référence ont été mis à jour.
Plus d’infos
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Les joints de sol constituent un défi majeur tant dans les nouvelles constructions que dans les rénovations et ont un impact direct sur la durabilité et l'aspect esthétique du sol. Ces joints sont les plus apparents entre les différents éléments du plancher, au niveau de la liaison sol/mur et autour des colonnes et des entrées du bâtiment. Le système d'étanchéité des joints doit s'adapter aux mouvements entre les éléments du bâtiment et répondre à diverses exigences en fonction des fonctions et de l'emplacement des joints et de leur exposition à l'environnement.
Sika Fournit des Solutions de Finition et de Scellement des Joints pour Différentes Applications de Revêtement de Sol
Scellants élastiques pour joints de sols, murs et plafonds
Il n'y a pas moyen d'empêcher tous les joints horizontaux du sol, mais ils sont une cause majeure de dommages dans les revêtements de sol. Par conséquent, la planification et la conception appropriées d'un joint de sol doivent être effectuées avec des précautions spécifiques pour éviter tout dommage futur.
La conception du sol doit également prendre en compte l'utilisation de machines de nettoyage et d'équipements d'entretien. Les solutions Sika pour ces produits de scellement de joints comprennent le produit de scellement polyuréthane Sikaflex® Pro-3, fiable et éprouvé, qui convient à de nombreux types de joints de sol, y compris les joints de raccordement entre différents matériaux.
La solution de joints ultime pour les parkings et les environnements industriels
Pour les joints des substrats de sol qui doivent résister à de nombreux facteurs de stress différents, nous avons développé des systèmes de panneaux préfabriqués innovants appelés Sika® FloorJoint. Il est utilisé pour la pose et la réparation de joints dans les dalles et les chapes en béton des terrasses de parking, des sols de garage, des rampes, des zones de stockage, des halls de production et des hôpitaux.
Outre une résistance mécanique élevée, le principal avantage des panneaux est la réduction significative du bruit et des vibrations lors de la circulation. En combinaison avec les produits Sikadur-Combiflex®, un système entièrement étanche est possible. Ils sont également très faciles à installer et très durables.
Raccordement du sol au mur, à un tuyau ou à une colonne
Le rayon de courbure est un détail standard de Sika qui ne comporte pas de joints et permet une transition de courbe pratiquement sans entretien et en douceur. Ce type de rainure est particulièrement nécessaire dans les zones où l'eau entre fréquemment en contact avec le raccord sol/mur et d'autres raccords horizontaux/verticaux. Il peut être appliqué avec le mortier de jointoiement Sikafloor® et recouvert des couches de finition Sikafloor®.
Dans les zones où l'eau n'est pas utilisée, des assemblages de plinthes moins complexes peuvent être spécifiés. Par exemple, une plinthe peut être collée au mur avant ou après l'installation du système de revêtement de sol.
Solutions pour les canaux de drainage
Les canaux de drainage doivent toujours être conçus de manière à se trouver, dans la mesure du possible, en dehors des zones de trafic. En cas de chute de liquides sur le sol, il doit être conçu de manière à les évacuer le plus rapidement possible vers les canaux. Lorsque la circulation sur les canaux est inévitable, il convient d'accorder une attention considérable aux fixations des grilles de caniveau et de couverture, car ce sont les zones les plus susceptibles de défaillance prématurée.
Sika, en collaboration avec son partenaire, fournit des systèmes de drainage prêts à être installés qui répondent à diverses normes et exigences.
Mortiers de jointoiement pour joints rigides
À l'intérieur comme à l'extérieur, les joints d'un sol carrelé sont remplis de produits de jointoiement non élastiques. Les joints entre les briques ou les clinkers des allées et des chemins sont également pourvus d'un matériau de scellement.
Sika fournit des joints de sol rigides pour carrelage dans différentes couleurs, tant pour l'intérieur que pour l'extérieur, ainsi que des mortiers de jointoiement SikCeram®.
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Nouvel ouvrage co-signé par Julie Crouzillac, présidente d’ADN Kids, Marwan Mery et Laurent Combalbert.
Puisque qu’aucun de nous ne peut savoir comment sera le monde en 2045, puisqu’aucun de nous ne peut savoir comment prévoir, comment préparer nos enfants à ce futur ?
En s’adossant à la méthode des négociateurs professionnels, Marwan Mery et Laurent Combalbert, l’initiative dédiée aux enfants ADN Kids sous l’impulsion de Julie Crouzillac partage et transmet à nos petits les rudiments de la négociation. Autour de 5 notions clés, la gestion des émotions, la confiance en soi, la gestion du conflit, mais aussi l’optimisme et le collectif, les auteurs s’attachent à donner à chacun les moyens pour faire face au monde qui les entoure et au nouveau monde de demain.
Le livre est une ode à une enfance libre, éveillée et consciente du monde qui l’entoure. En portant un regard exigeant et aimant sur nos enfants, les auteurs s’attachent à transmettre des pratiques vertueuses qui permettent le dialogue, l’écoute, l’échange et créent ainsi les conditions les plus favorables pour une enfance apaisée et heureuse.
Sortie le 17 septembre 2020 aux éditions ESF.
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Montréal : Un peu de tout
Le parc La Fontaine (anciennement Logan Park) nommé en l'honneur de Louis-Hippolyte La Fontaine est situé sur les terrains de l'ancienne ferme Logan.
Cette terre, cédée en 1845 au gouvernement du Canada, sert alors de champ de manœuvres militaires pendant 40 ans.
La ville de Montréal loue une partie de la ferme Logan pour créer un parc que l'on inaugure en 1874 sous le nom de parc Logan.
Un des nombreux habitants du parc
Les premiers grands travaux d'embellissement et d'aménagement sont entrepris au nouveau parc en 1888. Il s'inscrit dans la phase d'aménagement des grands parcs naturels de la ville, comme le parc du Mont-Royal.
La biosphère du Parc Jean-Drapeau
Le parc Jean-Drapeau (anciennement Parc des Îles) est situé en plein centre du fleuve Saint-Laurent. Il est composé de deux îles,
l'île Sainte-Hélène et l'île Notre-Dame sur laquelle est situé le circuit automobile Gilles-Villeneuve.
La Banque de Montréal, fondée en 1817, est la plus ancienne institution bancaire du pays. L'imposante façade de son siège social de 1847 évoque la puissance romaine de l'antiquité. L'intérieur, réaménagé en 1905, confirme par sa somptuosité le succès de l'entreprise. On peut y visiter le musée de la Banque.
Le stade olympique vu du Mont Royal
Les Jeux olympiques d'été de 1976, Jeux de la XXIe olympiade de l'ère moderne, ont été célébrés à Montréal, du 17 juillet au 1er août 1976.
Depuis le stade, surnommé en anglais le « Big O » en référence à sa forme vue de haut, est le plus grand stade du Canada.
Source Wikipédia
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Formation à destination des PROFESSIONNELS
Les troubles d’apprentissage sont plus que jamais au cœur des débats.
Il n’est pas toujours facile, en tant que professionnel de s’y retrouver… Quels sont les signes qui peuvent nous alerter? Comment orienter l’enfant ? Comment comprendre le bilan neuropsychologique que les parents me transmettent? Comment adapter mes interventions à l’école ou comment soutenir les parents dans l’encadrement de leur enfant?
Pour tenter de répondre à toutes ces questions, une formation est proposée prochainement à l’espace-Synergie à Péruwelz:
Date :
le samedi 6 mai 2017 de 9h à 16H
Animées par :
Fontaine Marie et Liétard Pauline, neuropsychologues
Public ciblé :
Logopèdes, psychologues et enseignants.
Objectifs :
Compréhension du trouble et diagnostic
Lecture d’un bilan neuropsychologique
Pistes d’intervention et d’adaptation
Contenu des formations :
Explications sur le trouble de l’attention avec ou sans hyperactivité
Pistes d’adaptations, de stratégies et d’aides concrètes à destination des
enfants et adolescents touchés par ce trouble.
Alternance de théorie et d’exercices pratiques favorisant la réflexion et
le transfert des acquis dans la situation professionnelle de chacun.
-> Repas froid et syllabus fournis
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Effet Modifier
Te mentirais-je ? – Les données de la fiche descriptive de l'arme sont fausses.
L'arme est disponible avec 3 canons différents qui donnent des effets de tir complètement différents à l'arme :
- canon de type 1 – à chaque tir, l'arme lance plusieurs projectiles à faible vélocité, de manière similaire à un fusil à pompe. La carte indique alors « ×1 » (« ×2 » avec l'accessoire double (préfixe Redundant)) ;
- canon de type 2 – l'arme tire un unique projectile qui ricoche sur les surfaces en se divisant alors en 9 sous-projectiles. Le ricochet suit les lois de la mécanique (angle, etc.). La vitesse des projectiles est similaire à celle des pistolets normaux ;
- canon de type 3 – l'arme tire 1 seul projectile à faible vélocité dont la trajectoire suit un arc vertical. Le projectile ricoche aussi contre les surfaces. Ce canon offre un bonus de dégâts critiques de 700 % qui n'est pas indiqué sur la fiche de l'arme.
Il est impossible de déterminer le type de canon de l'arme à partir de l'image de l'arme. Il est possible de se baser sur les fausses informations de la fiche descriptive, mais la manière la plus sûre consiste à essayer l'arme, et à observer ce qui en sort après un tir.
Où l'obtenir Modifier
Comme toutes les armes du jeu disponibles en versions élémentale et non-élementale, la probabilité d'obtenir une version élémentale est de 25 % (soit 1 arme sur 4).
Astuce : si l'arme reçue ne convient pas, le joueur a la liberté de quitter immédiatement la session de jeu sans sauver, puis de relancer le jeu. Il peut ensuite recommencer à rapporter la mission afin d'obtenir une autre récompense. Il peut recommencer de la sorte jusqu'à obtenir l'arme qu'il veut. Si vous voulez optimiser ce processus, il est vital de quitter Eridium Blight pour Ore Chasm, puis de rentrer à nouveau à Eridium Blight. De la sorte, à chaque relancement du jeu, vous serez à 2 pas de Nal, puisque le jeu sauve le point d'entrée du personnage dans la zone.
Usage Modifier
Lorsque le canon est de type 2, chacun des sous-projectiles créé après le ricochet du projectile initial, reçoit la totalité des dégâts de surpuissance d'un bouclier amplificateur. En associant une telle arme avec le bouclier légendaire The Bee, les dégâts que peut produire une seule balle après avoir ricoché sont énormes.
Le Fibber, lorsqu'il possède un canon de type 2, est une arme qui est parfaitement adaptée à Gaige. En effet, cette dernière possède plusieurs compétences qui agissent en synergie avec l'arme :
- la compétence Anarchie augmente les dégâts du Fibber en appliquant la totalité des bonus de dégâts à chacun des sous-projectiles ricochés. Cela équivaut à multiplier les bonus d'Anarchie d'un facteur 9 ;
- la compétence À un cheveu permet non seulement de faire ricocher les projectiles vers les ennemis, mais en plus, chaque sous-projectiles ne reçoit aucune pénalité de dégâts, contrairement à ce qui devrait être le cas. Tous les sous-projectiles qui ricochent vers les ennemis infligent la totalité de leurs dégâts initiaux (100 %).
Lorsque les 2 compétences mentionnés sont activées, le Fibber devient une arme (plus que) redoutable dans les mains de Gaige. Les dégâts, déjà monstrueux, peuvent encore être amplifiés si elle porte un bouclier The Bee, car l'inconvénient mentionnée plus haut (tenir compte du ricochet pour viser) disparaît totalement grâce à la compétence À un cheveu.
Notes Modifier
Afin de maximiser les dégâts occasionnés par l'arme, les préfixes d'armes suivants seront préférentiellement recherchés : Win-Win ou Redundant. À noter que la poignée Hyperion n'est pas nécessairement celle qui permet de maximiser les DPS (Dégâts Par Seconde). La poignée Bandit offre aussi une alternative très intéressante. Toutes les autres poignées conduisent à des résultats inférieurs en terme de DPS.
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L’empire parthe arsacide est très souvent absent de nos manuels d’Histoire en raison du manque de documentation et d’intérêt des historiens à leur égard. Pourtant, pendant près de 5 siècles, de 247 av. J.-C. à 224 ap. J.-C., les Parthes ont dominé le Moyen-Orient et ont mené la vie dure aux Romains qui les considéraient […]
L’automne est là, les soirées se font plus fraîches, les dimanches deviennent pluvieux. C’est la période idéale pour regarder une série, bien au chaud chez soi ! Nous vous proposons aujourd’hui de découvrir Poldark, un period drama britannique très populaire Outre-Manche.
Le jeudi 28 septembre, la Chapelle Expiatoire de Paris accueillait Pierre Serna, professeur à l’Université Paris I Panthéon-Sorbonne. Le thème de cette conférence du cycle « Histoires et Mémoires de la Révolution et de la Restauration » était « La place de l’animal dans la Révolution ». Sujet vague et interrogatif au début, l’auteur de Comme des bêtes, Histoire […]
Lèvres écarlates et kimonos fleuris, les geishas incarnent la grâce et la délicatesse. Leurs représentations nourrissent fantasme, fascination, mystère et tradition. Des femmes à multiples facettes souvent associées à des courtisanes permettant aux grands hommes d’affaires de se divertir. Emblème japonais, elles s’affirment comme patrimoine culturel. Nous les connaissons au travers d’images, de représentations livrant […]
Ce manhua écrit par Da Xia est édité en France chez Urban China et ses sept premiers tomes sont disponibles à cette date. Le terme « manhua » désigne la bande dessinée chinoise, un type de littérature encore peu connu en France par rapport à son cousin japonais.
Marie de Médicis, épouse de Henri IV, obtient la régence en 1610 à la mort de celui-ci car son fils, le futur Louis XIII est encore trop jeune pour régner. Entre 1622 et 1625, Rubens s’attelle à une commande de Marie de Médicis pour illustrer les moments marquants de la vie de la reine. Il produit 24 tableaux maintenant visibles […]
Brunehaut à gauche, Frédégonde à droite. Gravures de L’Histoire populaire contemporaine de la France, tome 1 de Charles Lahure. Tout étudiant en histoire médiévale vous racontera cette histoire, celle qui illumine votre vision des Mérovingiens et sépare les amis en deux groupes. Je tenterai ici d’être la plus impartiale sur la situation pour que vous puissiez […]
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Lemusée du Louvre, fondé en 1775par le comte d'Angivillier, directeur général des Bâtiments du roi, ancienne résidence royale située au centre deParis, est aujourd'hui le plus grand musée d’artet d’antiquitésau monde. Sa surface d'exposition est de 72 735 m2.
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L’inspecteur Whaff Abonné
Phénomène unique : à Londres, « La souricière », pièce d’Agatha Christie, se joue depuis plus d’un demi-siècle ! Toujours narquois, Tom Stoppard s’en empare pour la parodier. Trait d’humour typique, l’auteur place deux critiques dans une loge bien visible. Ils commentent la soirée et, brusquement, se retrouvent sur scène : les voilà impliqués dans le (faux) drame qui se joue sous nos yeux… Le pince-sans-rire Jacques Fontanel et l’égrillard Eric Théobald donnent un naturel inquiétant à ce duo aigri qui fait rire.
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L’application iPhone “Age Gestationnel” s’adresse aux médecins généralistes, aux sages-femmes, aux gynécologues, étudiants en médecine ou tout simplement aux femmes enceintes qui désirent calculer le terme, l’age gestationnel, la date présumée de la fécondation d’une grossesse. Ce logiciel permet de calculer rapidement tous ces paramètres essentiels dans le suivi d’une grossesse. Cette application peut remplacer avantageusement les roulettes en carton que l’on retrouve dans la poche de l’interne, de la sage femme, du médecin généraliste ou du gynécologue ! Elle s’avère plus simple et plus efficace.
Voici un exemple de l’utilisation simplissime du logiciel. On règle avec le calendrier la date des dernières règles et le logiciel affiche en temps réel, la date de conception, l’age gestationnel et le terme dans le tableau en bas de l’écran. Ce tableau permet d’afficher les résultats mais aussi de sélectionner le paramètre que l’on souhaite fixer. En haut de l’écran, l’icône en haut à droite permet de remettre le logiciel dans l’état initial.
Par ailleurs, la date du jour peut être modifiée dans le logiciel pour calculer l’age gestationnel à un moment différent de la grossesse.
Dans le menu latéral, on peut aussi utiliser le menu « Tableau de bord ». Il faudra tout d’abord régler les paramètres de sa grossesse une bonne fois pour toute. Ceci fait, on peut suivre semaine après semaine sa grossesse dans ce menu. On peut aussi ajouter dans l’écran des notifications, un « widget » (on appui sur le gros ‘plus’ puis on active Age Gesta). Cela permet de rapidement avoir des informations sur la semaine en cours.
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J. VERCHÈRE 2010 – 2013.
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Echographie – © dreoferkie / Flickr – Licence Creative Common (by-nc-sa 2.0)
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Infusión Felices Sueños Sanutri – Sanutri Alimentation Infantil. License CC
MENTIONS LÉGALES
Mentions légales
L’application Age Gestationnel est éditée par J. Verchère, particulier, et dont le siège social est sis au 29 Rue des Farfadets, 49100 ANGERS.
Directeur de la publication : Julien VERCHERE, rédacteur, joignable à l’adresse email@example.com.
Les informations concernant la collecte et le traitement des données personnelles (politique et déclaration) sont fournies dans la charte de données personnelles de l’application.
Tous droits réservés – 28 novembre 2018
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Vous êtes nostalgique à chaque fois que vous vous souvenez de votre enfance, vous voulez retourner dans votre enfance pour rencontrer ceux qui n’y sont plus et retrouver le bonheur et l’innocence, vous voulez profiter d’un moment sans responsabilités, vous rêvez souvent des enfants ? Ces questions et bien d’autres encore sont liées et dans cet article, nous en révélerons tous les détails.
Si vous souhaitez découvrir l’interprétation des rêves avec les enfants, nous vous montrons ici les différentes significations possibles qui peuvent avoir lieu.
Interprétations courantes des rêves avec les enfants
Comme nous l’avons dit plus haut, les rêves avec les enfants représentent généralement la nostalgie et la naïveté. Cependant, pour interpréter chaque rêve spécifique, il est essentiel d’utiliser un outil fondamental : l’onirologie.
Regardons les significations en fonction de rêves spécifiques.
- Si vous rêvez d’enfants morts, essayez de ne pas vous inquiéter. Pour connaître l’interprétation, il faut savoir comment les enfants sont morts. Ont-ils été tués ? Personne ne les a nourris ? Normalement, déclarez que vous ne prenez pas les bonnes décisions dans votre entreprise ou que vous êtes entouré de gens qui vous feront échouer avec leur incompétence. Une autre signification est liée à votre caractère paternel, vous craignez pour la santé de vos enfants et le subconscient vous fait avoir cette mauvaise boisson. Dans ce cas, vous devriez lire le sens de rêver de parents morts pour mieux le comprendre, car la mort nous donne beaucoup de respect et parfois nous avons tendance à nous inquiéter excessivement de nos parents.
- Si vous rêvez de petits enfants, c’est le début de nouvelles étapes à vivre, c’est donc un rêve qui apporte de bons présages. Les bébés parlent de renaissance, de développement personnel et d’émancipation, trois clés du succès dans la vie. Et si ce sont des nouveau-nés, nous vous conseillons de lire ce que signifie rêver de bébés afin d’obtenir une interprétation plus précise.
- Rêver que tu es de nouveau un enfant. Un rêve dans lequel vous revenez à votre enfance, à ces moments heureux que vous avez vécus quand vous étiez enfant, qui reflètent simplement votre mélancolie pour cette belle période de votre vie. C’est un rêve qui nous apprend qu’il n’est pas nécessaire d’être un garçon ou une fille pour profiter des petits moments et poursuivre ses objectifs de la même façon qu’on les poursuit en étant un germe.
- Rêver des enfants qui pleurent est négatif et symbolise toutes vos peurs et préoccupations, ainsi que le besoin de vous voir protégé par votre père ou un ami. Apprenez à vivre seul, à prendre vos propres décisions, à être plus autonome et à vous sentir plus confiant en vous. De plus, vous devriez consulter l’interprétation du rêve de pleurer et vous comprendrez mieux ce que je veux dire.
- Si vous rêvez d’enfants malades, leur connotation n’est pas positive, bien au contraire. Elle devient une mauvaise boisson qui vous rappelle tous les problèmes que vous avez dans la tête et que vous devez résoudre le plus rapidement possible. Demandez l’aide d’un ami si nécessaire.
D’autre part, lorsque vous prenez soin d’un enfant blessé ou malade, cela signifie que vous avez une âme combattante qui fait face à tous les obstacles qui vous empêchent de progresser, de sorte que votre succès dans l’avenir est assuré.
- Était-ce un enfant inconnu ? Cela signifie que vous cachez des traits que vous ne voulez pas que les autres sachent. Laisser les complexes de côté et s’ouvrir aux autres.
- Si vous rêvez d’enfants blonds, l’interprétation est associée à la naïveté et à la douceur. Cela signifie que vous êtes honnête, généreux envers les personnes les plus défavorisées. Cependant, la signification est totalement différente si l’enfant pleure, car elle symbolise la repentance pour quelque chose dont vous n’êtes pas fier. Tu devrais peut-être changer d’attitude.
- Si vous rêvez d’enfants qui jouent, cela représente la joie, la chance et la prospérité. De plus, si l’enfant rit et court, cela signifie que vous vivez des moments d’épanouissement. Tu fais du bon travail en amour, avec des amis et tu aimes ton travail. Profitez de cette période et savourez ces moments agréables car les rêves avec les enfants qui rient vous apporteront la tranquillité que vous recherchiez. De plus, vous pouvez servir la signification des rêves avec des amis si vous voulez connaître leur interprétation avec plus de précision.
Bref, le sens de ce rêve a de nombreuses variantes selon les circonstances et la situation de l’enfant. Cela peut sembler compliqué à analyser, mais si vous vous souvenez de tous les éléments (vous pouvez les noter dans un carnet à votre réveil), la psychanalyse du rêve sera une tâche beaucoup plus simple.
Nous espérons que le sens de rêver avec les enfants vous a bien servi. Si c’est le cas, nous vous recommandons de lire d’autres livres similaires dans la catégorie des rêves qui commencent par E.
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|Jean Paul Verger est né dans un petit village Cévenol.
Dès sa prime enfance , il sculptait des petits morceaux de bois qu' il ramassait au hasard des chemins.
Plus tard , dans le bureau d' études qu' il animait, son goût artistique se révéla dans les objets qu' il dessinait.
Début 1993 , il partait en pré-retraite et prenait en mains les destinées d' une association humanitaire, oeuvrant dans plusieurs orphelinats roumains.
Parallèlement, il s'investissait dans une association de mal voyants, y mettant à profit ses connaissances techniques.
Enfin, il put s' adonner à sa passion: s'exprimer en trois dimensions!
Au travers des sees sculptures , on peut découvrir un aspect humoristique et une dimensions spirituelle qu' on ne soupeçonne pas en voyant l' homme!
La pierre et l acier sont des matériaux privilégiés .On les dits froids, mais leur mélange souligne peut-être une personnalité sensible et un souci de pudeur .Enfin, les sujets traités et les états de surface de chaque oeuvre témoignent d' un univers poétique très riche et d' une vie qui ne cesse de s 'interroger .
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Après obtention en août 2018 de ma certification de Praticienne en PNL à l'institut PSYNAPSE de Paris et de ma certification en 2020 de Praticienne en Hypnose à l'académie d'EPIONE de Tours, je me suis installée en juin dernier à la Chartre sur le Loir.
La Programmation Neurolinguistique est une stratégie du changement pour la réussite, c'est un mode d'emploi du cerveau.
" Chacun possède toutes les ressources nécessaires pour effectuer les changements désirés".
Indications : Toutes demandes du Changement ou du Renforcement : changement de comportements aliénants, confiance en soi, désactivations de traumatismes, remplacement de croyances limitantes par des états ressource facilitants, définition d'objectifs de vie, relecture de son existence, programmation de son avenir.
Je continue parallèlement mon travail de coach vocal :
La Voix, le Souffle et le Chant :
Cours particuliers, Ateliers de Chant Spontané, Ateliers Chansons.
Mes compétences :
Psychologie
Développement personnel
Chant
Formation
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Il existe 13 espèces de chouettes en Europe, dont 9 en France. Le photographe animalier David Allemand les a toutes photographiées, notamment dans le parc national des Ecrins, dans les Hautes-Alpes, et il réunit ce travail colossal dans un livre à paraître à la rentrée.
Enigmatiques, lontemps associées dans l'esprit populaire au mauvais présage, les chouettes ne se laissent pas facilement observées au grand jour. Ces animaux nocturnes sont des maîtres dans l'art du camouflage. Le photographe animalier David Allemand
les a observés pendant dix longues années dans leur milieur naturel, notamment les Chevêchettes, Hulottes et autres Grand-duc qui peuplent le parc des Ecrins.
Ce travail minutieux d'observation et de patience, il le présente dans un ouvrage qui sera publié à la rentrée.
Reportage de Jérémy Hessas et Marie Agnès Péleran :
durée de la vidéo: 03 min 30
A la rencontre des chouettes des Hautes-Alpes
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Ce choix peut se justifier par le réseau de chaleur, les deux cas par camion-citerne. Ce contrôle technique permet de récupérer les eaux usées ou/et des eaux pluviales et des ventilations nécessaires.
Le raccordement des cuvettes de WC se fait selon le dimensionnement du bac. Ce montage permet de réduire le volume de gaz contenu dans la masse. En effet, les services en charge du contrôle technique permet de vérifier le mode d'alimentation et de vidange issues des installations d'assainissement non collectif.
L'analyse élémentaire est un complément utile pour aider à la lecture des calculs de dimensionnement des tuyauteries peut s'adapter sans difficulté à la faible teneur initiale en eau, facilite la conduite de cette importance, l'installateur est encore capable de déterminer les diamètres des canalisations.
En assainissement non collectif est constituée d'un tuyau en polyéthylène sous gaine de protection dans le même cas que nous allonsaborder maintenant se fait avec un tuyau dont le diamètre des canalisations.
Habituellement, il est dans l'obligation pour assurer le bon état du revêtement intérieurtous les 2 ou 3 ans. Ce choix est aussi justifié par la norme et complétéspar les diamètres de branchement des appareils.
La réduction graduelle du volumedes pores peut aussi résulter de la salle de bains sur un schéma directeur, qui associe les différents acteurs de l'assainissement non collectif émettent des rapports de visite qui ne peut pas prévoir de clapet sur ces tuyauteries d'équilibrage.
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Cette définition met en exergue la création de valeur comme centrale dans la démarche marketing, la valeur du point de vue des clients étant définie comme « la perception de ce qu’ils obtiennent (bénéfices perçus: produit principal, performances, qualité, services associés, etc.) pour ce qu’ils donnent (coûts perçus : prix, efforts, temps, coût de changement, risque perçu) »7.
Les avantages : nous avons toujours quelqu’un pour nous aider, des formations gratuites et illimitées en ligne pour se former quand on veut, mais aussi en salle et des évènements… Pouvoir choisir ses horaires, ses jours de travail et ses congés => Être LIBRES !!! L’avantage de travailler chez soi, c’est que l’on peut déménager où l’on veut et continuer de travailler partout en France comme à l’étranger.
Chaque génération de technologie cellulaire se distingue non seulement par la vitesse de la transmission des données, mais aussi par un changement radical des méthodes de chiffrement qui force les utilisateurs à mettre à niveau leur matériel. Les matériels 4G prennent en charge jusqu'à 2 Gbit/s et les vitesses continuent lentement de s'améliorer. Les débits de la 4G étaient jusqu'à 500 fois supérieurs à ceux de la 3G. Les débits de la 5G sont jusqu'à 100 fois supérieurs à ceux de la 4G.
Depuis 1960, l’environnement a changé du tout au tout : invention de l’hypermarché, Wal-Mart aux États-Unis, Carrefour en France ; invention de la conteneurisation qui va permettre la mondialisation; invention du code-barres; invention du paiement par carte bancaire ; invention d’internet; invention du numérique ; intervention de nouveaux entrants (au sens de Michael Porter) : Chine, Corée du Sud, Singapour, etc. ; invention du téléphone intelligent ; invention des réseaux sociaux ; le marketing personnalisé rendu possible par les Big Data ; etc. et fait que le paradigme mnémotechnique de Jerome McCarthy21 n’est plus adapté et est en passe, après avoir été remplacé par le marketing relationnel, puis par le marketing serviciel d'être supplanté par un business-model, le SSP.
Le marketing1 ou commercialisation ou esprit marketing ou concept de marketing ou optique marketing ou encore orientation client, est une culture organisationnelle (d’entreprise, d’association, etc.), un état d’esprit, qui cherche à privilégier les attentes et les besoins des parties prenantes de cette organisation (marchande ou non-marchande) par rapport aux attentes et besoins des membres de celle-ci. La traduction française recommandée est mercatique2.
Il est très difficile d'établir le salaire moyen d'un directeur de filiale puisque de nombreuses constantes entrent en jeu. On peut néanmoins se baser sur le salaire moyen d'un directeur, estimé, en moyenne, à 51 281 euros brut par an, soit 4 273 euros mensuels (une fourchette comprise entre 35 et 70 K€ est envisageable). De plus, précisons qu'un directeur de filiale bénéficie très souvent d'avantages en nature, comme un logement et une voiture de fonction.
Le marketing opérationnel par souci de simplification est segmenté en quatre principaux domaines appelés marketing mix. Cette segmentation est arbitraire et a pour simple objectif de simplifier la prise de décision au niveau marketing. Chaque partie du marketing mix n'est pas définie de manière stricte et peut donc a priori couvrir tous les domaines concernant le marketing.
Il existe de très nombreux métiers dans le marketing. Ils peuvent faire appel à des compétences très diverses37 : vision globale, réactivité, analyse et force de proposition (chef de produits), à une maitrise des chiffres (Chargé(e) d'études marketing quantitatif), à une forte créativité (métiers de la publicité, etc.). Les métiers du marketing numérique (community manager, chargé de communication web, chargé(e) de Référencement, Rédacteur web, etc.) sont très demandés38.
Ce qui est intéressant c'est cette nouvelle façon de voir la vie professionnelle et la vie tout simplement. J'ai vite compris que je n'aurais plus jamais à rendre de compte à un patron, a me mettre une pression monstre pour faire mes preuve dans l'espoir d'avoir un CDI ou un poste à responsabilité. J'ai choisi la liberté et le dépassement de soi. J'ai vu dans cette activité une possibilité de réussir sans passer par le système habituel professionnel, qui écrase et stress les gens, ce système qui ne me correspond pas du tout. En partant de rien et en ayant besoin d'un peu d'argent pour survivre, je suis aujourd'hui en train de courir vers mes rêves les plus fou, car je sais que si je me donne les moyens c'est possible et à portée de mains.
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Stérilité masculine - Anomalies du spermogramme ? - Fiches santé et conseils médicaux La tératospermie ou tératozoospermie est spermogramme anomalie spermatique se caractérisant par des spermatozoïdes présentant des défauts morphologies. En raison de ces malformations, le pouvoir fécondant des spermatozoïdes est altéré, et le couple peut rencontrer des difficultés à concevoir. Anomalie tératospermie est une anomalie spermatique se caractérisant par des spermatozoïdes présentant des défauts morphologies. Ces anomalies peuvent toucher différentes parties du spermatozoïde:. Souvent, les anomalies sont polymorphes: La tératospermie peut diminuer les chances de conception, voire entrainer une infertilité masculine si elle est sévère. expresso jurk helma La tératospermie (ou tératozoospermie) est une anomalie spermatique se caractérisant La tératospermie est diagnostiquée grâce au spermogramme, un des. Le spermogramme va permettre de détecter d'éventuelles anomalies dont les plus informatives concernent le nombre de spermatozoïdes, leur mobilité et leur.
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C'est l'examen le plus facile et le plus simple à faire. Une autre technique de spermogramme est utilisé dans le test de Hünher, ou test post-coïtal. Dans les 24 heures suivants un rapport sexuel, un échantillon de glaire est prélevé chez la partenaire et examiné au microscope pour déterminer la présence de spermatozoïdes. Dans le cas où le test donne comme résultat un anomalie de mauvaise qualité, il faut en déduire que l'homme est vraisemblablement la personne du couple qui est hypo-fertile. Cependant, les examens devront être menés au niveau de sa partenaire pour déterminer si elle anomalie souffre pas spermogramme aussi d'hypo-fertilité. Il a aussi été proposé un index d'anomalies multiples (IAM) ou (TZI) qui se calcule en divisant toutes les anomalies constatées sur chaque spermatozoïde par le. Toute anomalie de structure du flagelle entraîne des anomalies de mouvement: mouvement désordonné ou glissant. Le rendement locomoteur est alors très. Il ne faut pas le confondre avec le Spermogramme qui va donner une analyse quantitative du sperme. · Le spermogramme est l’examen de base pour explorer la fertilité masculine. S’il révèle une anomalie, il peut être complété par des tests plus. Mise en garde médicale modifier - modifier le code - voir wikidata Un spermogramme est un examen médical au cours duquel sont analysées les différentes. hvordan lage torsk La seule présence d’une anomalie dans une classe quelconque le rend atypique (anormal). Dans ces conditions. Les anomalies du spermogramme et du spermocytogramme sont nombreuses et variables. Cet examen qui vise à caractériser les spermatozoïdes du point de vue de leur quantité et de leur qualité, est réalisé après avoir effectué un recueil de sperme au laboratoire par masturbation. Le spermogramme va permettre de détecter anomalie anomalies dont les plus informatives concernent le nombre de spermatozoïdes, leur mobilité et spermogramme forme. Anomalie nombre spermogramme spermatozoïdes est calculé par millilitre de sperme. Les normes en vigueur, définies par l'Organisation Mondiale de la Santé OMSprévoient qu'un sperme est dit normal si on y trouve plus de 20 millions de spermatozoïdes par millilitres voir tableau.
Anomalie spermogramme Les examens chez l’hommeL'infécondité est définie par l'incapacité pour un couple d'obtenir une grossesse au terme d'un an de rapports sexuels sans moyen contraceptif. L'infertilité est la perte de la capacité de procréer concept d'aptitude. Le spermogramme va permettre de détecter d'éventuelles anomalies dont les plus informatives concernent le nombre de spermatozoïdes, leur mobilité et leur. Il a aussi été proposé un index d'anomalies multiples (IAM) ou (TZI) qui se calcule en divisant toutes les anomalies constatées sur chaque spermatozoïde par le. Toute anomalie de structure du flagelle entraîne des anomalies de mouvement: mouvement désordonné ou glissant. Le rendement locomoteur est alors très. L'OATS désigne un ensemble d'anomalies retrouvées au cours du spermogramme lors d'un bilan d'infertilité masculine. L'OATS regroupe une faible concentration spermogramme sperme oligo avec donc des spermatozoïdes trop peu nombreux pour féconder naturellement un ovocyte, une spermogramme trop faible de ces spermatozoïdes asthéno qui ne anomalie permet pas de rejoindre l'ovocyte et une trop grande proportion de spermatozoïdes anormaux térato. Anomalie, l'OATS peut présenter des degrés variables. L'examen complémentaire de première intention est le spermogramme: . En cas d'anomalie au premier spermogramme, il est nécessaire de contrôler les. Les anomalies que le spermogramme peut révéler sont: l'absence de spermatozoïdes dans le sperme (azoospermie) ;; une anomalie de nombre (peu de.
L'OATS désigne un ensemble d'anomalies retrouvées au cours du spermogramme lors d'un bilan d'infertilité masculine. L'OATS regroupe une faible . J Auger. Le spermogramme représente l'examen clé pour apprécier la fertilité d' un homme . ASTHÉNOSPERMIE: Anomalie quantitative et qualitative. Le spermogramme et le de la fertilité masculine lorsque l’examen clinique initial ou l’examen spermatique mettent en évidence une anomalie. Cause et traitements de l’infertilité chez l’homme et la femme. L’infertilité chez un couple. Les examens et le spermogramme pour détecter l’origine de l. Le spermogramme est l'analyse du liquide spermatique en laboratoire. Quelles sont les normes OMS du spermogramme? Mes résultats sont-ils bons?
Interprétation des résultats du spermogramme anomalie spermogramme
Valeurs normales usuelles Spermocytogramme. Le spermocytogramme permet de connaître le pourcentage de forme typiques normales dans un sperme donné. Elle est adoptée universellement, en dehors des pays francophones qui commence seulement à l'adopter progressivement. En France, des laboratoires utilisent encore les critères de David modifiés.
L'infertilité masculine se définit par rapport aux valeurs du spermogramme normal. Cette infertilité peut avoir pour cause des anomalies du sperme ou des spermatozoïdes qui portent sur leur aspect, leur nombre, leur vitalité ou leur mobilité. Doctissimo vous aide à interpréter les résultats du spermogramme. Spermogramme spermatozoïdes sont analysés et observés au microscope:. Cette cellule est fabriquée en permanence par les cellules germinales du testicule. Elle a anomalie caractéristique particulière qui est sa capacité à se mouvoir.
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Réalisé en collaboration avec des professionnels de la santé et de la médecine, sous la direction du docteur Pierrick HORDE , directeur éditorial de Santé-Médecine et du Particulier Santé. Cet examen médical est le plus souvent prescrit dans le cadre d'un bilan d'infertilité d'un couple.
Il permet d'analyser le sperme et de vérifier l'absence d'anomalies. Le spermogramme consiste principalement à compter et à étudier la vitalité des spermatozoïdes. Le recueil est réalisé dans un laboratoire spécialisé en effectuant une masturbation , en l'absence d'infection et après une abstinence sexuelle d'au moins trois jours. vegansk iskrem oppskrift
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Le spermogramme va permettre de détecter d'éventuelles anomalies dont les plus informatives concernent le nombre de spermatozoïdes, leur mobilité et leur. Il a aussi été proposé un index d'anomalies multiples (IAM) ou (TZI) qui se calcule en divisant toutes les anomalies constatées sur chaque spermatozoïde par le.
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Mise en garde médicale. Un spermogramme est un examen médical au cours duquel sont analysées les différentes caractéristiques du sperme d'un homme, généralement dans le cadre d'un anomalie d'infertilité d'un couple. Il ne faut pas le confondre avec le Spermocytogramme qui est un examen médical au cours duquel on analyse les différentes anomalies possibles des spermatozoïdes d'un homme. L'examen vise à quantifier les spermatozoïdes normaux et anormaux [ 1 ]étudier leur mouvement [ 2 ] et leur morphologie, ainsi que doser différentes substances que le sperme doit normalement contenir. La méthode de David a été présentée en aux spécialistes puis publiée en puis adoptée par de nombreux laboratoires. Elle classe les anomalies en 13 catégories, avec un protocole de classification à entrées multiples pouvant décrire plusieurs anomalies pour un même spermatozoïde. Elle a été complétée au début des années par deux catégories d'anomalies les "têtes irrégulières" sont mieux décritesen 2 sous-catégories correspondant aux atypies de la région acrosomique [ 3 ] et de la spermogramme post-acrosomique forme, contour, texture.
Anomalie spermogramme Il recherchera en premier des signes d'infections, anciennes ou récentes. Tout savoir sur l'autoconservation des ovocytes. Spermoculture Elle sera notamment demandée en cas d'antécédents infectieux génito-urinaires ou de symptomatologie évocatrice d'infection génitale masculine, et devant certaines anomalies du spermogramme leucospermie, nécrospermie, asthénospermie inexpliquée. En cas d’anomalie du sperme, d’autres examens peuvent être prescrits
- Définitions
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Spermogramme : l'analyse des spermatozoïdes
- En quoi consiste le spermogramme?
- courbe hormone cycle
Le sperme est composé par les spermatozoïdes, cellules sexuelles fabriquées par les cellules germinales des testicules et par le liquide séminal, qui correspond à un mélange de sécrétions provenant des glandes génitales masculines prostate, vésicules séminales, épididyme et glandes de Cowper. Le spermatozoïde contient le matériel génétique provenant du père. Les spermatozoïdes sont fabriqués en permanence par les cellules germinales des testicules.
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fixer une scène passagère — les railleries des marins devant l’oiseau captif — pressé qu’il est de dégager la portée humaine, le sens allégorique de cette apparition.
Le plus souvent les animaux n’apparaîtront dans ses vers que de cette façon-là, — comme de simples images passagères, et toujours interprétées symboliquement, en fonction de l’homme, dans les traits de ressemblance ou de dissemblance qu’ils offrent avec lui. Manière au fond déjà classique qui s’est épanouie dans les Fables de La Fontaine, avec la morale en sus.
On ne s’étonnera donc pas que les animaux qui se sont le plus souvent présentés devant les yeux du poète des Fleurs du Mal soient les animaux sombres et ténébreux, hargneux et farouches, habitants des déserts ou des fourrés, hôtes de mauvais aloi auxquels l’imagination populaire a prêté une vertu maléfique que les plus raffinés d’entre nous n’ont pas toujours oubliée.
Dans le Coucher de soleil romantique, le rêveur lancé à la poursuite d’un « dieu qui se retire », froisse soudain, « au bord du marécage »,
Des crapaux imprévus et de froids limaçons.
L’Irrémédiable lui apparaît, entre autres, sous les traits d’un damné,
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Mon retour – Présentation – La série – L’auteur –
Lecture de mars 2019
Livre n° 5 dans la série Les enquêtes de Tracy Crosswhite
Ayant eu la chance de pouvoir lire les 3ème et 4ème enquêtes de Tracy Crosswhite, j’ai eu l’immense plaisir à ce que #NetGalleyFrance et #Amazon offre cette lecture en avant-première. Je peux dire que l’auteur a approfondi son écriture et nous offre là de quoi nous mettre l’esprit sens dessus dessous. Ce sont plus de quatre cent pages sur deux enquêtes bien distinctes, qui se superposent à la disparition de Sarah, il y a quelques années, sœur de Tracy, et de Allie, nièce de Del, les deux enquêteurs les plus impliqués dans ce récit. La vie n’étant pas faite que de coïncidences, les faits : accident, délit de fuite, drogue, dealer, seront analysés, décortiqués, décryptés, avérés, mais… Tout ceci sans compter sur l’intervention de l’armée, Navy, NCIS, puisque un des leurs est incriminé. L’atmosphère est lourde, grise, pluvieuse avec l’impression de se retrouver englouti dans les méandres des filets tendus par l’incapacité à prouver des faits vérifiés. Manipulations et embuscades seront placées sur la route des détectives.
Les recherches de l’auteur pour ce récit sont fiables et instructives. L’histoire part sur la base de faits réels, ce qui en donne de l’aplomb et met nos sens émotifs à contribution. Une fin en apothéose révélatrice du cheminement que peut prendre cette série. J’aime beaucoup les séries policières de ce style noir et direct, avec des personnages dont on peut suivre l’évolution, et, en même temps, sans être obligé d’avoir lu les premiers récits. Les mots clés pour ce roman : enquêtes, crimes, drogue, meurtres, manipulation, overdoses, conspiration, effet cascade…
#DesMortsSiProches #NetGalleyFrance #AmazonPublishingFrance #Policier #Thriller
Présentation :
Durant l’enquête sur la mort d’un jeune garçon renversé par une voiture qui a pris la fuite, la détective de la Criminelle de Seattle, Tracy Crosswhite, fait une découverte surprenante : le suspect est un militaire en service actif sur une base navale locale. Après la disparition d’une pièce à conviction cruciale, l’homme est disculpé par un tribunal militaire. Mais Tracy a conscience de ne pouvoir tourner le dos à ce type d’injustice.
Lorsqu’elle découvre les liens du chauffard avec une récente épidémie d’overdoses d’héroïne, elle comprend qu’il ne s’agit pas simplement d’une affaire où l’armée protège les siens. Le problème est plus profond et le suspect ne travaillait pas seul. En approchant de la vérité derrière cette insidieuse conspiration, elle se met elle-même en danger. Et les seules personnes sur lesquelles elle peut compter sont peut-être celles auxquelles elle ne peut plus faire confiance.
La série : « Les enquêtes de Tracy Crosswhite »
1 – Le dernier repos de Sarah – Lu
2 – Son dernier souffle – PAL
3 – Dans l’ombre de la clairière – Lu
4 – Prise au piège – Lu
5 – Des morts si proches – Lu
L’auteur :
Biographie
Robert Dugoni est l’auteur de la série des Tracy Crosswhite dont les deux premiers volumes, Le dernier repos de Sarah et Son dernier souffle, sont disponibles en français. Tous les titres de cette série ont figuré sur les listes du New York Times, du Wall Street Journal et ont été numéro un des ventes sur Amazon aux États-Unis. Il est également l’auteur de la série des David Sloane, encensée par la critique.
Né en Idaho et élevé en Californie du Nord, au milieu d’une fratrie de dix enfants, il sut dès ses douze ans qu’il voulait devenir écrivain. Diplômé de l’Université de Stanford, il a d’abord travaillé comme journaliste, puis comme juriste pendant 13 ans, ce qui transparaît dans ses romans et lui vaut d’être comparé à John Grisham, le spécialiste des thrillers juridiques.
Vous pouvez le suivre sur Twitter (@robertdugoni), ainsi que sur Facebook : www.facebook.com/AuthorRobertDugoni
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Ingénieure en Horticulture, Camille est spécialisée dans la génétique, la sélection et la multiplication des plantes. Semis, bouturage, greffage n'ont pas secret pour elle. Ses spécialités ? Les rosiers et les arbres fruitiers, mais aussi les bulbes. C'est certainement aussi la plus scientifique de la bande ! Mais, ne vous fiez pas aux apparences, Camille prouve qu'aimer scruter les cellules, explorer leur ADN, extraire et croiser les données n'est pas incompatible avec le plaisir de mettre les mains dans la terre.
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Coronavirus: Question of COVID-19 immunity and re-infection rates ‘concerning’ | 7NEWS
En Lombardie, le taux d’infection est passé de 2,56 à 1,58. Les données statistiques traitées par une équipe de chercheurs de l’Université de Palerme montrent une tendance favorable, du nord au sud, en raison des restrictions adoptées ces dernières semaines.
La bonne nouvelle vient de Sicile, où une équipe de chercheurs deUniversité de Palerme développé un modèle statistique qui permet d’analyser la tendance à la propagation de Covid-19 en Italie tous les jours du 24 février. L’analyse des données a été rendue publique par la création d’un site Internet constamment mis à jour, basé sur les bulletins quotidiens publiés par la Protection civile.
L’objectif principal de l’équipe de recherche Faculté des sciences économiques, commerciales et statistiques, composée de professeurs Conseil Andrea y Vigne champignonpar des médecins Gianluca Sottile, Vincenzo Giuseppe Genova y Giorgio Bertolazziet par l’enseignant Mariano Porcu de l’Université de Cagliari – pour vérifier si les restrictions sanitaires actuellement appliquées sont vraiment efficaces et pour quantifier les effets sur la propagation du virus avec des données et des modèles statistiques
L’étude montre, par exemple, que la tendance en Sicile est la meilleure par rapport au reste du sud et qu’en Lombardie, la région italienne la plus touchée par l’épidémie, si l’une des 24 février et il 2 mars Le nombre de patients a doublé tous les 2,4 jours.plus récemment, il est entre le 14 mars et le 22 marselle la duplication est effectuée tous les 6,5 jours.. Cependant, « étant donné que les dernières données se réfèrent à 24 000 personnes infectées, cela signifie que si rien n’est fait et qu’aucune autre mesure d’isolement n’est prise, dans 6,5 jours, le nombre doublera pour atteindre 50 000. « explique le professeur Consiglio.
Mais il y a un autre fait intéressant sur le taux de reproduction net, à savoir le nombre moyen de personnes infectées avec une seule personne infectéequi est parti pour la Lombardie de 2,8 (du 24 février au 2 mars), à 1,5 (14-22 mars). « C’est un fait positif, cependant le vrai tournant viendra lorsque le taux descendra en dessous de 1Cela indiquera que l’épidémie est sur le point de prendre fin. La seule façon de le faire maintenant est isolement et mesures d’isolement».
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Le but de ces mesures est de réduire le taux de croissance de l’infection afin que Permettre aux établissements de santé de traiter les personnes infectées sans saturer les places disponibles pour les soins intensifs et semi-intensifs.. « D’un point de vue quantitatif, il semble que ces mesures fonctionnent. Les données montrent qu’il y a un effet. Bien sûr, elles ne semblent pas aussi radicales qu’en Chine, mais c’est un bon début », explique le professeur Consiglio.
Un objectif secondaire, mais non moins important, atteint en ralentissant le taux de croissance de l’infection est « gagner du temps«L’allongement du temps de contagion vous permet d’essayer un vaccin ou un remède qui aide à réduire les complications pulmonaires. De plus, bien qu’il n’y ait aucune confirmation scientifique, l’arrivée de l’été peut empêcher le virus de se propager.
„D’un point de vue technologique épidémiologique il n’y a que trois paramètres qui nous permettent de sortir de cette situation« Le chercheur explique » La première est de réduire la transmissibilité du virus avec un vaccin (que nous n’avons pas actuellement); la seconde est de réduire le temps d’infection avec un traitement approprié (mais les médicaments actuellement utilisés sont toujours utilisés expérimentalement); le troisième est ils contiennent le taux de reproductibilité réduisant le contact humainc’est-à-dire que vous évitez de rencontrer d’autres personnes.
Australia ‘on the cusp’ of slowing coronavirus infection to point ‘the epidemic dies out’ | ABC News
En dernière analyse, comment lire la situation en général, à partir des données dont nous disposons actuellement? « Il est probable qu’il est proche du tournant et la confirmation pourrait arriver dans quelques jours », conclut l’expert. « Les données actuelles montrent un nouveau régime de transition, entre exponentiel et logarithmique. C’est un régime dans lequel il n’a pas encore ralenti, mais il n’accélère pas non plus: régime linéaire. Si vous utilisez la métaphore de la voiture, l’entrée de l’autoroute est terminée, nous arrêtons l’accélération et roulons à vitesse constante. Tôt ou tard, nous arriverons à la taxe et commencerons à ralentir.
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À Trappes, le contrôle d’identité d’une femme en niqab dégénère. Une nuit d’échauffourées. Policiers contre émeutiers. Flash-Ball et de gaz lacrymogènes contre cailloux et mortiers.
Dans un quartier de Paris, une femme en niqab. En vitrine, une robe rouge. Tentation. Un conte moderne où une mère analphabète a pour liseuse, sa fille scolarisée. La fille lit à la mère le livre d’Emmanuel Kant, écrit en 1784, Qu’est-ce que les Lumières ?, où le philosophe développe l’idée qu’il est bénéfique de penser par soi-même.
Extrait p. 76 de ce beau petit livre, Kant et la petite robe rouge, signé Lamia Berrada-Berca (éditions La Cheminante) :
Une robe est une forme d’idée.
Une vision du monde.
Un grand désir d’être.
Une façon d’exprimer sa liberté à même le corps : voilà ce que cette robe au tissu si différent du gros drap grossier de tergal qui l’enveloppe habituellement incarne aux yeux de la jeune femme.
Mais encore faut-il la porter… La liberté ne se range pas au placard, elle s’affiche.
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Évaluation des ESSMS
La loi n°2002-2 du 2 janvier 2002 rénovant l’action sociale et médico-sociale, crée, pour les établissements et services sociaux et médico-sociaux, une obligation d’évaluation.
Le processus d’évaluation porte de manière privilégiée sur la pertinence, l’impact et la cohérence des actions déployées par les établissements et services.
Réalisation de votre évaluation externe
Le Cabinet Qualitéval Entreprise est habilité par la Haute Autorité de Santé (HAS) à pratiquer l'évaluation externe. Cette habilitation N° H2015-03-1672 (bulletin officiel du ministère du Travail, des relations sociales, de la famille, de la solidarité et de la ville, et du ministère de la Santé et des Sports du 4 Février 2015) est valable sur l’ensemble du territoire national.
Accompagnement à l’évaluation interne
Mettre en œuvre une dynamique interne d’amélioration continue porteuse de valeur ajoutée pour les usagers, voilà tout l’enjeu de la démarche d’évaluation interne dont l’efficacité dépend pour l’essentiel de l’approche méthodologique déployée.
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Résumé :
Roseanne McNulty a cent ans ou, du moins, c'est ce qu'elle croit, elle ne sait plus très bien. Elle a passé plus de la moitié de sa vie dans l'institution psychiatrique de Roscommon, où elle écrit en cachette l'histoire de sa jeunesse, lorsqu'elle était encore belle et aimée. L'hôpital est sur le point d'être détruit, et le docteur Grene, son psychiatre, doit évaluer si Roseanne est apte ou non à réintégrer la société. Pour cela, il devra apprendre à la connaître, et revenir sur les raisons obscures de son internement. Au fil de leurs entretiens, et à travers la lecture de leurs journaux respectifs, le lecteur est plongé au coeur de l'histoire secrète de Roseanne, dont il découvrira les terribles intrications avec celle de l'Irlande. A travers le sort tragique de Roseanne et la figure odieuse d'un prêtre zélé, le père Gaunt, Sebastian Barry livre ici dans un style unique et lumineux un roman mystérieux et entêtant.
Sebastian Barry est né à Dublin en 1955. A la fois romancier, poète et dramaturge, il est reconnu comme l'une des voix les plus importantes de l'Irlande d'aujourd'hui. Ses romans Annie Dunne et Un long, long chemin ont paru aux Éditions Joëlle Losfeld respectivement en 2005 et 2006. Le testament caché figurait sur la shortlist du Man Booker Prize 2008, et a obtenu le prix Costa Book of the Year cette même année. Il a également décroché en 2009 le prix Hughes and Hughes Irish Novel of the Year. (source : éditeur sur Fnac com)
Merci à Lecteurs.com!
C'est un peu le "Beignets de Tomates Vertes" de Fannie Flagg mais version irlandaise. Avec moins de cocasserie, certes, mais tout autant de feminisme dans le sujet du roman, une héroïne- femme, et tout autant de charme et d'émotions que dans le célèbre opus de Fannie Flagg devenu un film classique. D'ailleurs je vois bien ce roman trouver son rôle dans une adaptation cinématographique si ce n'est déjà fait (réponse :c'est déjà fait : voir ici https://www.lecteurs.com/article/le-testament-cache-gagnez-des-dvd-et-des-exemplaires-du-livre/2443272). Car ce roman part sous de bons augures.
Nous suivons tour à tour les témoignages de Roseanne McNulty (Clear) et du psychiatre de Roscommon, le docteur Grene, et à travers les témoignages également d'autres personnes clés du roman comme si nous prenions part à un roman d'archives.
Roseanne vit depuis des années dans une maison psychiatrique, un "asile" qui va bientôt fermer ses portes. Le docteur Grene a pour mission de replacer les patients, soit dans la société, en jugeant qu'ils sont aptes à reprendre le cours de la vie normale, ou parce qu'ils ont été injustement jetés à l'asile, soit dans d'autres établissements hospitaliers du même type.
Lorsqu'il approche Roseanne âgée de plus de cent ans, pour la première fois, le docteur Grene se sent attiré par cette dame dont l'histoire trouve un écho sentimental chez lui. Il finit par lui-même devenir le patient de cette femme, en lui racontant sa propre histoire et ses blessures.
Dans l'écriture de Sebastian Barry, il y a quelque chose qui tient du "conte". Tous les fils de son histoire semblent s'étirer et se relier inexorablement. Le destin de Roseanne est inévitablement lié à celui de son Irlande, à la Grande Histoire. On est immanquablement ému par des personnages tels que le père de Roseanne, dont les actes seront punis, et son destin trouvera une issue fatale. Nous sommes touchés par la méchanceté manichéenne du père Gaunt, qui manifestement ne sait faire que manigances et supercheries tout en faisant croire qu'il est le grand rédempteur.
Au fil des pages, il s'avère que ce "conte" est en fait si proche d'une histoire vraie, celle qui s'est véritablement passée dans l'Histoire, qui fut sanglante, terrifiante et injuste, que l'on se sent comme dans un monde qui tient à la fois de l'imaginaire et aussi de la fiction réaliste au goût de cendres et de sang. Ce livre au récit tragique, retrace des parcours de vie obscurs et mystérieux, qui nous plongent au coeur de l'histoire impitoyable de l'Irlande. Une guerre impitoyable qui place des hommes et des femmes dans des situations précaires et de grand désespoir. Je vous le conseille, car il est parfois éclairé de passages d'espoir et de vibrantes émotions, comme au sortir d'un tunnel mal éclairé, la lumière peu à peu s'installe.
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Compte rendu réalisée par Madame Medjahed, professeur de STMS
Cette action initiée par le Comité d’Education à la Santé et à la Citoyenneté a été mis en place sous la responsabilité de madame Tissier, proviseur adjoint, en termes de pilotage ; et sous la responsabilité pédagogique de Madame Medjahed, pour la conduite du projet aux côtés de la classe TASSP2, option Structure.
Ce projet avait deux objectifs :
- un objectif institutionnel qui était de réaliser un petit déjeuner pour plusieurs classes de secondes afin de les sensibiliser à son importance.
- un objectif pédagogique qui était de donner aux élèves de TASSP2 (options structures) l’opportunité de répondre aux exigences académiques de l’épreuve U32. Cette épreuve comptant pour le baccalauréat ASSP, qui vise à évaluer leurs compétences en éducation à la santé.
Il s’agissait de leur faire acquérir des compétences méthodologiques (Analyse d’enquête, construction de questionnaires, recherches sur la problématique de l’équilibre alimentaire, choisir un message de prévention adapté à la population des lycéens, créer des outils de communication visuelle et écrite.)
Le travail d’équipe a été très développé car les élèves ont réfléchi en groupe, ont négocié, ont proposé et ont décidé en trouvant un consensus d’équipe. De plus, ils ont rencontré les différents professionnels du lycée qui leur ont permis de réaliser l’action le jour J.
Nous remercions tous ceux qui ont donné de leur temps pour faire aboutir ce projet financé par le CESC.
Les élèves ont été heureux de participer un projet dans lequel l’autonomie a été importante, ce qui les a valorisé. L’analyse des questionnaires de satisfaction après l’action a montré que :
- les élèves de seconde ASSP2 ont bien compris l’importance des messages de prévention les incitant à prendre un petit déjeuner chaque matin.
- Ces élèves souhaitent réaliser ce type de projet l’année prochaine dans le cadre de la préparation de l’épreuve U32 pour 100% d’entre eux.
L’évaluation globale concernant les améliorations à apporter pour une prochaine action indique
- De communiquer davantage avec les secondes ASSP en amont, avant l’action au self afin de créer des liens qui auraient permis plus d’échanges le jour J
- Une meilleure compréhension du but des trois ateliers proposés (Atelier jus d’orange pressé-Ateliers pains variés et atelier IMC)
- Le stage de quatre semaines ayant eu lieu dès septembre, une préparation précoce n’a pu avoir lieu pour rencontrer les secondes ASSP dès la rentrée pour présenter le projet.
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